Interstellar Main Theme – Extra Extended Pour profiter pleinement de cette publication, activez le lecteur audio en premier. Bonne visite. De toutes les choses que nous percevons seul l’amour transcende les dimensions temporelles et spatiales. » Quand on vous a eus, Tom et toi, ta mère m’a dit un truc que j’ai jamais vraiment compris. Elle m’a dit A partir de maintenant, il faut qu’on devienne des souvenirs pour eux. » Dès qu’on est parents, on devient le fantôme de l’avenir de ses enfants. » Si une catastrophe peut arriver, elle finira obligatoirement par arriver. » On reste dans l’illusion que la Terre nous appartient. » Méfie-toi des bonnes actions pour de mauvaises raisons. » N’entre pas docilement dans cette douce nuit. [1] Le vieil âge doit gronder, tempêter au déclin du jour. Hurler, hurler à l’agonie de la lumière. Si le sage sentant la fin sait que les ténèbres sont justes car ses mots n’ont point forgé de foudre, il n’entre pas docilement dans cette douce nuit. Hurle, hurle, à l’agonie de la Lumière. » Source Note [1] Vous pourrez trouver l’intégralité du texte ici Do not go gentle into that good night [Audios] Film Interstellar Réalisation Christopher Nolan Sortie 2014 Sur le même concept Hunger Games Citations et Phrases cultes Matrix Phrases cultes et Significations Photo Pour illustration
N'entre pas docilement dans cette douce nuit. Le vieil âge doit gronder, tempêter au déclin du jour. Hurler, hurler. à l'agonie de la lumière. Si le sage sentant la fin. sait que les ténèbres sont justes. car ses mots n'ont point forgé de foudre, il n'entre pas docilement dans cette douce nuit. Hurle, hurle, à l'agonie de la Lumière."
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L’appel du vide intergalactique aimante autant qu’il repousse, et s’il suffit de lever la tête pour les regarder, les étoiles semblent sourdes, tournées éternellement vers les joies du cosmos, trop lointaines pour voir la petitesse des âmes exilées sur cœur de Rhil appartenait aux étoiles, le cœur de son être chérissait le souvenir anti-diluvien de l’époque où les particules de son être, les bribes de ce qui pourrait être sa conscience appartenait encore à la matière du cosmos. Faire corps avec ce que l’on chérissait. Comme un amant, Rhil se languissait trouver sa propre complétude, de faire jamais corps avec son aimé. Il était toujours trop loin. Pourtant, il était là, presque les deux pieds au sol. Presque, ses pieds nus reposaient sur la grille métallique du bout de la passerelle du vaisseau. Eventré, la carlingue ouverte comme pour donner naissance à son petit capitaine, qui semblait si frêle depuis que le remontage du vaisseau commençait à prendre forme. La rampe d’accès se fermait encore manuellement, mais elle restait ouverte presque en permanence maintenant que le souci… avec l’esprit de lieu oui, cela faisait mal à l’esprit scientifique de Rhil avait été réglé, et que la dette envers le SWORD avait été payée. Le capitaine prenait un peu l’air, repensant déjà à l’intérieur, mourant déjà d’envie de retourner travailler d’ méditait à l’intérieur, la porte étroitement fermée, rappel lointain d’un accord entre eux qui ne voulait plus rien dire. Mais le savoir là apaisait Rhil, surtout après leur expédition suicide. Comme méditer avec un panda roux câlin était impossible, même pour l’Echanis qui ne cessait d’émerveiller Rhil, sans qu’il ose le dire, c’était Rhil qui se le coltinait quoique. Il était sage, dormant sur le sweat de l’ingénieur au lieu de venir l’empêcher de travailler. . Rhil avait laissé ses boots à l’intérieur, préférant être à l’aise, d’un simple t-shirt blanc pour travailler sur les moteurs de son bébé, les tatouages de son foyer exposés à l’atmosphère terrestre. Il tenait le bon bout. Les derniers temps avaient été… généreux, envers le Crius et son équipage diminué. Il referme les yeux. Il voulait rentrer. vraiment rentrer, chez lui. Ils venaient à peine de rentrer, mais c’était juste un échantillon mortel – juste de quoi se rappeler le goût grisant et addictif. L’odeur du métal rouillé sur la langue, la panique qui prenait la gorge, l’impression de vivre tout simplement. D’être à sa place. Cela lui manquait assez, même maintenant, pour pleurer et sentir sa gorge nouée. Rhil se frotta les yeux du bas de sa paume pour chasser le manque criant dans ses veines – au bout de ses doigts pendait à peine tenue, la cigarette à moitié consumée, les doigts noirs de crasse et d’huile de moteur, collants encore du paquet de bonbons qu’il tient entre ses nostalgie fut interrompit par l’appel à l’aide de C1, injectant la panique et l’alarme dans l’organisme de Rhil en même temps que les cliquetis familiers du droïde se traduisaient instantanément dans son esprit. Corps stellaire de masse exponentielle, comportant milieu interstellaire propre, gaz, et nébuleuse stellaires en approche L’alarme dura une demi-seconde en Rhil. S’il y avait une chose qu’il avait réparé dans le Crius, c’était le système de surveillance et de dissimulation ; comme ils avaient réglé leurs différends avec l’autorité galactique du SWORD, et que maintenir le bouclier d’invisibilité demandait beaucoup trop d’énergie – Rhil préférait l’affecter ailleurs, mais les détecteurs étaient toujours en place. Et euh. C’était impossible pour une étoile, encore moins une galaxie de venir ? Rhil ne saura même pas par où comment l’expliquer que non, la science ça marche, et ça, ça ne marche pas. Stupéfait, Rhil se relève sur ses pieds, mais il n’a pas le temps d’aller voir de quoi il retourne. Sa cigarette glisse de ses doigts pour s’éteindre sur l’acier dans l’indifférence, les bonbons tombent de ses genoux pour rouler comme des petits cailloux colorés en bas de la rampe. ⋆ ☽ ⋆ ◯ ⋆ ☾ ⋆⇜ code by bat'phanie & egotrip ⇝ Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Sam 20 Fév - 1704 ✰ DO THE STARS GAZE BACK ? ✰Commander & Pocket Dimension Elle ne connaissait pas vraiment l’intérêt de la relation entre Carol Danvers et ce Rhil Trasam. Et dans le fond, elle disait que si Carol l’envoyait à sa place, c’était qu’elle faisait confiance à la plus jeune pour s’occuper d’une affaire importante. Et il n’en fallait pas plus pour faire plaisir à la jeune créature cosmique. Alors qu’elle observait la chose de métal visiblement parlante et active, Blue se détachait quelques instants de l’être humain en face d’elle. Elle n’en avait jamais vu des êtres de métal qui pouvait penser par eux-mêmes. Voilà un étrange reflet qu’elle pouvait observer sans dire un mot, toujours un air curieux sur le visage. Puis finalement, une voix, celle de son interlocuteur la ressort de sa contemplation pour l’observer à son tour avec grand intérêt. Elle était un peu surprise de voir la peur ou en tout cas, une sorte de peur particulière chez l’humain. Mais aussi les bonbons qui tombent de nouveau entre eux. Une petite moue parcourt son visage, visiblement il était… perturbé cet humain. Par ce qu’elle venait de faire. Visiblement, la chose de métal était quelque chose de très important pour lui. Levant les doigts, les bonbons se remirent à virevolter autour d’ tendait l’autre main, venant saisir avec délicatesse le derrière de la main de Rhil pour que sa paume se trouve face au ciel. Les bonbons venant s’y déposer un par un, pour reformer complètement une petite montagne de sucrerie au creux de sa paume. Rhil ne doit pas avoir peur. Singularity ne va pas faire mal à l’ami de Rhil. » Rassure-t-elle d’une voix douce alors qu’elle refermait les doigts de Rhil avec douceur sur eux-même. Gardant sa main un instant sur la sienne. Non, elle n’allait rien faire à son ami, ce n’était pas son but. Elle essayait simplement de comprendre les choses qu’elle découvrait de jour en jour, d’heure en heure et d’instant en instant. Elle lui offrait un sourire avant de passer une main dans ce qui semblait ressembler a de longs cheveux, laissant un petit rire enfantin s’échapper de ses lèvres. Singularity. It’s what I am. » C’était le nom qu’elle avait donné à Nico Minoru là-bas, à Arcadia. Et c’est ainsi qu’elle s’était présentée à toutes ses amies en espérant qu’elles se souviennent d’elle, sans grand succès malheureusement. Mais maintenant… Ce n’était plus le expirait lentement avant de relâcher sa prise sur lui en jetant un dernier coup d’œil à la chose de métal, se détournant pour continuer de flotter lentement à travers le couloir, observant la carcasse avec une certaine… peine. Is Rhil… fine ? Accident ? » Carol ne lui avait pas expliqué pourquoi un vaisseau était caché ici. Mais il semble qu’il y avait eu quelques… non de très gros dégâts en effet. Rhil is friend of Carol. So… Blue can help too! » Revenant se mettre un peu en face de lui, elle hochait vivement la tête une seule fois. Avant de continuer à observer autour d’elle. Rhil voyage dans l’espace ? Comme Blue ? »⇜ code by bat'phanie ⇝ Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Sam 20 Fév - 1704 ⋆ ☽ ⋆ ◯ ⋆ ☾ ⋆ They walk through space, stars their footprint and planets their n’est pas comme cela que ça devrait se dérouler. Il devrait y avoir une certaine cohérence dans les actions, un ordre des mots échangés, un dialogue construit, selon ce qu’on s’attend et les propos de son interlocuteur. Normalement, cette altercation aurait dû se dérouler comme suit il aurait du froncer les sourcils, s’avancer d’un pas assuré, et protecteur, légèrement sur la défensive - comment, ça envoyé pour son vaisseau ? Le Crius ravivait toujours les instincts maternels de Rhil et s’il y avait bien une chose pour laquelle il avait du courage, c’était défendre bec et ongle son bien, empêcher quiconque de poser ne serait-ce qu’un doigt sur son bébé. Il aurait également protégé son paquet de bonbon, suspicieux. Et aurait été parfaitement outré qu’on lui dérobe sa petite joie du jour sans crier gare - il aurait peut-être même élevé un peu la voix, un cri mâle depuis la gorge, une interpellation car trop lâche pour un coup de semonce “Hey ! Stop !”. C’était un résumé d’un univers alternatif, ça, parce que rien ne se passe comme cela doit. C’est la faute de Rhil, pas la peine de dire le contraire. Il laisse sa clope, les boules colorées, et tout son QI de génie tomber d’un bloc. Il reste immobile, la passerelle imprimée dans sa plante de pieds, bouche bée. Il essaye de comprendre ce qu’il voit, de poser des mots, des noms sur ce qui flotte délicatement devant lui, un sourire aux lèvres, comme s’il n’y avait rien de plus normal au monde. Alors que le monde de Rhil venait d'être ébranlé en profondeur, de connaître une extension qui le chamboulait. Et le rendait muet, ce qui n’était jamais une mince affaire. Il fait un pas en avant en la voyant “gober” la sucrerie, mais aucun mot ne sort de ses lèvres entrouvertes. Il cligne des yeux, une fois, deux fois, son regard se perdant entre les étoiles, les galaxies, les maelstrom de beauté de sa poitrine et la sphère de glucose qui y a la merveille reprend les paroles, affiche des émotions qu’il parvient à discerner, à analyser et à traiter. Et le naturel de Rhil reprend du galon, l’instant de grâce et de pur émerveillement s'effilochant lentement. Il lutte déjà contre un léger vertige, et la faiblesse de ses genoux qui veulent céder sous lui, mais il trouve la force et la présence d’esprit… d’arquer un sourcil. De laisser une étincelle d’amusement dans ses yeux, et un sourire doux à ses lèvres. “- Ce n’est pas grave. C’est rien. ” Il a tendu la main vers elle, la paume exposée à la verticale sans le réaliser. Elle tremble. Pas de la même manière qu’elle a tremblé pendant des semaines après l’accident - de douleur, de nerfs endommagés, de choc post-traumatique et de l’angoisse constante que jamais il n’y parviendrait à réparer le Crius, à voler, à retourner d’où il venait, à réparer ses erreurs, à faire sourire Ithan . Ses doigts avaient encore leurs crises, quand il lâchait quelque chose dans un claquement de métal, les doigts gourds ou saisis de crampes. Mais il tremblait d’autre chose. Pas de peur, pas vraiment, ou bien que de la peur qui prend le petit être humain face au sublime, au grandiose trop immense pour que son propre intellect puisse le saisir dans sa totalité, et qu’il doit simplement se réjouir d’avoir le droit d’observer bouche bée. Emerveillement, admiration, choc. ”- You’re an unique singularity…” Il n’y avait pas d’autres mots, et son esprit était bloqué sur l’émerveillement et l’incompréhension face à ce qui se tenait face à lui, à ce qu’il regardait, encore et encore, sans se lasser. Sa main levée va pour la toucher mais il s’immobilise, le souffle coupé. Ce n’est pas poli, tu as été éduqué mieux que ça. Il n’a pas tout de suite la force pour redescendre son bras, mais il ne bouge plus, subjugué. Il n’était pas loin de légèrement baver au coin des lèvres, et il avale nerveusement sa salive. “- Tu aimes ?” Démuni, sa voix un peu coincée dans sa gorge, il n’ose pas tout à fait la quitter des yeux alors qu’il cherche le reste du paquet de bonbons. Ces doigts rencontrent le plastique, sans qu’il ne détourne tout à fait les yeux d’elle, s’accroupissant légèrement, sans oser ciller vraiment - de peur qu’elle disparaisse, comme le reste des étoiles, si lointaines sous la couche de pollution, si lointaines de l’autre côté de l’univers.⋆ ☽ ⋆ ◯ ⋆ ☾ ⋆⇜ code by bat'phanie & egotrip ⇝ Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Sam 20 Fév - 1705 ✰ DO THE STARS GAZE BACK ? ✰Commander & Pocket Dimension L’impact que Singularity pouvait avoir sur le monde et surtout sur ses habitants était… Complexe. Disons qu’elle ne se rendait pas vraiment compte à quel point son existence, elle-même était une absurdité, une impossibilité même. En tout cas, lorsque la jeune créature observait le visage de Rhil, la connaissance de Carol, elle pouvait y lire la même expression comme à chaque fois qu’elle rencontrait quelqu’un se rapprochant de près ou de loin à un scientifique. Les autres étaient plus émerveillés ou suspicieux. Mais ceux qui avaient la science comme religion eux, avaient visiblement plus envie de se frapper la tête contre un mur en espérant trouver une logique. Sur le long terme, à présent, elle s’y était faite en tout cas. Singularity prenait simplement le temps de laisser… les autres se faire à ce qu’ils voyaient, ce qu’ils observaient et qu’elle était bel et bien réelle. Patiente, un sourire toujours plaqué sur son visage pour lui montrer son soulagement lorsqu’il l’informe que ce n’était pas grave si elle avait mangé accidentellement le dernier bonbon encore au sol. Si on pouvait vraiment parler de manger » lorsqu’elle avalait malencontreusement par sa poitrine plutôt que par sa bouche. Cela lui arrivait rarement de faire cela. Et si elle le faisait, c’était pour y cacher ses amies. Le docteur Tempest dit la même chose que Rhil Trasam. Elle dit que ce n’est pas possible que quelqu’un comme moi puisse exister. » Ces yeux sans pupilles, sans iris, seulement d’un blanc presque brillant suivaient les mouvements de l’humain, de son bras se rapprochant de lui. Étrange. Sa réaction était différente des autres. Il y avait… Des étoiles dans les yeux de cet être humain. Ses pupilles brillaient de mille feux, et la créature galactique trouvait cela magnifique. Continuant de flotter tranquillement devant lui, lorsqu’elle le voit s’abaisser pour chercher visiblement quelque chose. Que cherche Rhil Trasam ? » Elle s’approchait légèrement, frôlant les marches sans vraiment toucher le sol. Candies ? Yes ! It’s very sweet. Take yours. » Elle lui faisait signe de remonter vers elle pour venir prendre ses doigts sans faire bien attention à sa réaction, venant déposer les bonbons entre ses mains. Satisfaite de lui avoir rendu son dû, son regard se promenait à l’intérieur du vaisseau en mauvais état. Mais il y avait des réparations en cours visiblement. Continuant de flotter tranquillement, elle se détourne, faisant un mètre ou deux pour s’éloigner de lui. Carol veut savoir comment avancent les réparations de Crius. Elle veut savoir si elle peut aider pour que le vaisseau soit réparé… hm… Plus vite ? » Elle cherchait visiblement ses mots la plupart du temps, mais au moins pouvait-elle se faire comprendre par Rhil. Mais son attention passe de l’humain au vaisseau spatial. Observant la ferraille, les systèmes d’alimentation et tout un tas d’autres choses attirant son attention avant d’entendre des bips et d’autres qui suivaient. Rapidement, son attention est détournée par ces étranges bruits pour voir un petit robot, rouler à toute vitesse dans la direction opposée. Wait ! » Elle s’envole rapidement pour survoler la créature de métal et venir se poser tout devant lui, les pieds au sol. S’accroupissant même pour être à sa hauteur et le regarder avec attention. Encore des bips, qu’elle ne comprend pas. Elle fait la moue, voyant Rhil se dépêcher de venir les retrouver. Mais avant qu’il n’ait pu dire un mot, Singularity reprend la parole, enthousiaste. Qu’est-ce que c’est ? Vivant ? Il n’a pas de trace… Rhil's friend ?» Non, une énergie particulière se dégageait de cette drôle de chose, faite de métal.⇜ code by bat'phanie ⇝ Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Sam 20 Fév - 1705 ⋆ ☽ ⋆ ◯ ⋆ ☾ ⋆ They walk through space, stars their footprint and planets their partie rationnelle, scientifique, cela qui faisait voler des tonnes de métal et de circuits électriques au-delà de l’atmosphère avait besoin de faire rencontre son lobe frontal avec un mur de briques de manière répétée jusqu’à ce qu’un accident cérébral et/ou une lumière de génie lui permette de comprendre le phénomène inconcevable face à lui. Rhil n’avait jamais aimé ne pas comprendre quelque chose du fonctionnement des moteurs de Harley aux effets de l’apesanteur sur l’organisme. Mais tout cela est saturé par l’émerveillement pur qu’il ressent. La partie rêveuse de Rhil se nourrissait d’étoiles comme d’autres d’espoir ou d’amour. Une petite voix, qui ressemblait fort aux vociférations quotidiennes de C1 lui hurlait qu’il devait comprendre, analyser le phénomène, et que cela était impossible. Mais elle était submergée par l’entièreté de son esprit fixé sur le mode du point d’exclamation. Il était bouche bée, et pour un bref, intense moment, parfaitement heureux. Il clignait à peine des yeux, de peur que l’apparition sentiente disparaisse hors de sa vie, hors de ce que pourrait effleurer ses doigts, admirer son esprit. Que cherche Rhil Trasam ? Si la montagne ne vient pas à toi, va à la montagne. Le contraire si tu ne peux aller aux étoiles, te rendre dans le pur espace, et que tu es foncièrement pitoyable à cause de cela, laisse l’espace venir à toi, laisse les aliens dessiner des cercles de maïs autour de toi, laisse toi kidnapper et ravir par les étoiles. Que cherche Rhil Trasam ? - Toi. » Le murmure passe ses lèvres sans passer par la case de son cerveau. Il est bas, peut-être que l’être ne l’a pas entendu. Rhil ne l’a pas vraiment entendu. C’est plutôt une réponse automatique, mais sincère. Il la cherche elle. Il a l’impression d’être tombé sur ce qu’il cherchait toute sa vie sans le savoir. Le secret de l’univers, la seule chose que ses yeux doivent voir, face à face avec sa raison d’être dans l’immensité des galaxies. N’est-ce pas ? Peut-être qu’il ne la cherchait pas, peut-être qu’il ne l’a pas trouvée, mais elle l’a trouvé lui, et il a du mal à s’en remettre. Non, Rhil Trasam cherchait les bonbons. Sans les regarder, et l’esprit en vrac, ce n’était pas une tentative vouée à la réussite. Ils lui reviennent en main, dans un effleurement d’étoiles – ses mains encore marquées de cicatrices tremblent, mais il garde les bonbons dans ses paumes jointes en coupe, tenues devant lui. Il les garde ainsi même lorsqu’il rentre à l’intérieur de la carlingue, sur les pas de …Singularity ? Est-ce vraiment son nom ? Son prénom ? Ou la façon dont le monde extérieur la désigne sans la comprendre ? - Danvers a fait tout ce qu’elle a pu. » Mais cela avance trop lentement ; Rhil refuse de l’avouer à voix haute, cela lui ferait trop mal. Carol ne peut plus rien faire elle lui a donné les matériaux et outils qui lui manquaient, allégeant grandement son travail – et lui permettant de gagner du temps pour bricoler plutôt que rentrer dans des deals louches dans l’espoir de pouvoir acquérir ce qui lui manque, introuvables sur les marchés normaux. Ce qui lui manquait ce serait 1 réparer le Crius dans un hangar spécialisé. Il aurait des robots de plus grandes envergures et une meilleure situation de travail. Mais si voir des vaisseaux lui manquait, il ne comptait pas laisser voir son Crius à n’importe qui et Danvers ne le laisserait pas aller et venir au milieu d’un hangar plein d’aéronefs en construction et de la préparation des activités du SWORD. Ca lui manquait, un peu. 2 il lui aurait fallu de la main d’œuvre. Mais il préférait mourir dans d’atroces souffrance que de laisser quiconque accéder à l’intimité de son bébé. Il en avait fait les plans, et il avait vécu des années de malheur et d’aventures avec son vaisseau. Il ne l’abandonnerait pas à quiconque. Et à ce propos… - Non ! » Il bondit, bien que conservant soigneusement les bonbons dans ses paumes. Sans réfléchir, il court après Singularity qui a bloqué C1. Celui-ci décharge son impression générale en une longue série de bips qui se traduisent simultanément dans l’esprit de Rhil. Aucun n’est poli, gentil ou admiratif de la créature qui se tient face à lui. Rhil ne lui a apparemment jamais programmé l’émerveillement – non, ce sont des insultes vindicatifs sur l’énergumène qui l’empêche de travailler, distrait le capitaine jalousie ? et qui n’a aucun sens de politesse. Rien que Rhil tient à traduire à l’être innocent face à lui. Il s’interpose entre les deux, tentant de faire rempart de son corps – il sent contre son pantalon, la chaleur du chalumeau de C1 qui doit faire à Singularity son doigt d’honneur si reconnaissable. - Ne le touche pas. » Rhil implore doucement c’était ce qu’il avait de plus important au monde. Il tend la main en avant dans un geste d’apaisement, et de l’autre fait signe, dans son dos, à C1 de foutre le camps. Tant pis pour les bonbons à nouveaux. Rhil se fiche de leur goût. - C’est mon ami. Il…il est un peu comme toi, une singularité. Ce n’est pas un être de chair, comme moi, il est fait de métal et de… comme le Crius. Pas vivant. Mais il a des émotions, un caractère, des pensées, comme toi et moi. Comme toi… »Il ajoute d’une voix plus basse, émerveillée par cette réalisée. Un univers pensant, ressentant. Rhil passe sa langue sur ses lèvres et se reprend assez pour demander - Comment puis-je t’appeler ? Singularité ? » Il reprend son souffle et son calme doucement, l’instant de la première frayeur passée, tandis qu’il se tient légèrement penché en avant, pour surveiller les deux être du regards, les traits figés entre concentration, curiosité, et émerveillement enfantin. ⋆ ☽ ⋆ ◯ ⋆ ☾ ⋆⇜ code by bat'phanie & egotrip ⇝ Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Sam 20 Fév - 1706 ✰ DO THE STARS GAZE BACK ? ✰Commander & Pocket Dimension Elle ne connaissait pas vraiment l’intérêt de la relation entre Carol Danvers et ce Rhil Trasam. Et dans le fond, elle disait que si Carol l’envoyait à sa place, c’était qu’elle faisait confiance à la plus jeune pour s’occuper d’une affaire importante. Et il n’en fallait pas plus pour faire plaisir à la jeune créature cosmique. Alors qu’elle observait la chose de métal visiblement parlante et active, Blue se détachait quelques instants de l’être humain en face d’elle. Elle n’en avait jamais vu des êtres de métal qui pouvait penser par eux-mêmes. Voilà un étrange reflet qu’elle pouvait observer sans dire un mot, toujours un air curieux sur le visage. Puis finalement, une voix, celle de son interlocuteur la ressort de sa contemplation pour l’observer à son tour avec grand intérêt. Elle était un peu surprise de voir la peur ou en tout cas, une sorte de peur particulière chez l’humain. Mais aussi les bonbons qui tombent de nouveau entre eux. Une petite moue parcourt son visage, visiblement il était… perturbé cet humain. Par ce qu’elle venait de faire. Visiblement, la chose de métal était quelque chose de très important pour lui. Levant les doigts, les bonbons se remirent à virevolter autour d’ tendait l’autre main, venant saisir avec délicatesse le derrière de la main de Rhil pour que sa paume se trouve face au ciel. Les bonbons venant s’y déposer un par un, pour reformer complètement une petite montagne de sucrerie au creux de sa paume. Rhil ne doit pas avoir peur. Singularity ne va pas faire mal à l’ami de Rhil. » Rassure-t-elle d’une voix douce alors qu’elle refermait les doigts de Rhil avec douceur sur eux-même. Gardant sa main un instant sur la sienne. Non, elle n’allait rien faire à son ami, ce n’était pas son but. Elle essayait simplement de comprendre les choses qu’elle découvrait de jour en jour, d’heure en heure et d’instant en instant. Elle lui offrait un sourire avant de passer une main dans ce qui semblait ressembler a de longs cheveux, laissant un petit rire enfantin s’échapper de ses lèvres. Singularity. It’s what I am. » C’était le nom qu’elle avait donné à Nico Minoru là-bas, à Arcadia. Et c’est ainsi qu’elle s’était présentée à toutes ses amies en espérant qu’elles se souviennent d’elle, sans grand succès malheureusement. Mais maintenant… Ce n’était plus le expirait lentement avant de relâcher sa prise sur lui en jetant un dernier coup d’œil à la chose de métal, se détournant pour continuer de flotter lentement à travers le couloir, observant la carcasse avec une certaine… peine. Is Rhil… fine ? Accident ? » Carol ne lui avait pas expliqué pourquoi un vaisseau était caché ici. Mais il semble qu’il y avait eu quelques… non de très gros dégâts en effet. Rhil is friend of Carol. So… Blue can help too! » Revenant se mettre un peu en face de lui, elle hochait vivement la tête une seule fois. Avant de continuer à observer autour d’elle. Rhil voyage dans l’espace ? Comme Blue ? »⇜ code by bat'phanie ⇝ Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Sam 20 Fév - 1707 ⋆ ☽ ⋆ ◯ ⋆ ☾ ⋆ They walk through space, stars their footprint and planets their l’univers du doigt, caresser les étoiles, danser entre les astres. Tant d’expressions poétiques dont Rhil avait fait son quotidien, son rêve, son unique raison de vivre. Viser la lune pour atterrir dans les étoiles. Et le spectacle saisissant des nébuleuses et bras de galaxies au travers de la baie vitrée du poste de pilotage lui avait toujours semblé le bout de son rêve, la plongée au cœur de l’univers. Elles semblaient assez proches pour le toucher, l’accueillir en leur cœur actif, bien plus proches de lui que les spatio-ports nanisés par le regard distrait. Et voilà qu’un univers touchait ses doigts, le prenait par la main. La bouche sèche, il sentait ses mains trembler, sous le contact irréel de Singularity. Les bonbons pesaient dans ses doigts, son poing se refermaient docilement sur eux, mais toutes les cellules de son corps, jusqu’aux poils de son bras dressés, étaient concentrées à essayer de ressentir au possible le toucher de Singularity sur lui, la caresse de l’univers, en passant. Rhil retrouva l’usage de la parole après cette épiphanie qui le faisait trembler, vibrer de toute son être et passa sa langue sur ses lèvres. - Je suis plus inquiet que lui te blesse. Il a des pinces. » Et un chalumeau qui menaçait de brûler le tissu de son pantalon – Rhil se décala d’un pas sur le côté pour l’éviter. Ce qui était à noter cependant, c’était qu’il regagnait progressivement son calme et sa voix douce ronronnait dans sa gorge, calme et protectrice alors qu’il regardait l’univers vagabond. Oh, son être était bouleversé. Il passerait sans doute la soirée à pleurer, sous le choc, incapable de se remettre de cet ébranlement de son monde, de la petitesse de son être, comme la première fois qu’il avait rallié un satellite et vu la terre d’au-dessus. Mais pour l’heure, il était chanceux. Il était un miracle, que même sa mutation n’aurait pu lui offrir. Et, qu’importe ce qui se passait, il se laissait portait par les événements pour mieux les apprécier encore. Hors de question de perdre cet instant en s’évanouissant. Rhil was not… fine. Very not fine. Ni maintenant, ni en général. Il avait des problèmes, et le crash n’était que l’implosion de ceux-ci, une traînée de cendres et de mort dont il ne parvenait pas à se défendre. Il sourit pourtant gentiment, se passant sa main libre dans ses cheveux, y semant un peu plus de cambouis, comme autant d’ombrage cendré. - Accident. » Il inspire cherchant ses mots. - Nous sommes tombés de l’espace. » Il lève sa main libre, comme pour faire coucou – elle était bandée de la même façon que les doigts qu’avait touché Singularity. Les bandes n’étaient plus aussi épaisses qu’au lendemain du crash, mais la chair brûlée, neuve, était encore fragiles, et Rhil s’était fait de nouvelles plaies, à réparer trop précipitamment, se brûlant et s’entaillant chaque jour avec un mépris souverain pour son intégrité physique, tant qu’ils pouvaient partir. - Mais cela va mieux. Je répare le Crius, petit à petit. » Il sourit, avec douceur, malgré la boule dans sa gorge. Il étouffe un rire en la voyant revenir, fière et déterminée. Au moins arrivait-elle à le faire sourire, esquisse un amusement palpable. - I don’t know how you could help, kind one. » Son cœur se serra, se brisa. C’était douloureux. Un aveu de faiblesse, l’envie de pleurer comme un enfant. Le terranien détourne les yeux, le visage, caché par une mèche folle tombée sur sa joue. Il n’expire même pas pour la chasser. Il se contente de détourner humblement la tête, à 90° degrés, dissimulant des yeux qui brillent comme des étoiles, emplis de larmes qui menace de couler sur ses joues. Il inspire, serre les poings, bonbon compris et se force à articuler. - Avant. Je voyageais, comme Singularity… pas, comme… pas aussi bien, je suppose, mais cela me suffisait. Plus.. depuis longtemps. » Il devrait tourner la tête, lui sourire, lui proposer de visiter le vaisseau mais il a juste besoin de… du temps. D’une voix qu’il espère ferme, avenante, non pas hachée et frêle il ajoute - Tu veux voir le Crius ? » ⋆ ☽ ⋆ ◯ ⋆ ☾ ⋆⇜ code by bat'phanie & egotrip ⇝ Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Sam 20 Fév - 1707 ✰ DO THE STARS GAZE BACK ? ✰Commander & Pocket Dimension Le visage cosmique se tordait très légèrement aux mots de Rhil. Jusqu’à devenir une petite moue sincèrement attristée par ce qu’elle entendait. Par ce qu’elle voyait. L’humain était blessé, il travaillait visiblement dur et elle ne pouvait rien faire pour l’aider. Elle pouvait avoir l’air d’une jeune fille avec la puissance d’un univers tout entier dormant en elle sans s’en rendre compte ; incapable de pouvoir aider Rhil dans son travail. Parce que Singularity, c’était ça, une créature d’une grande bonté, si tu étais l’ami d’une amie alors, c’était que vous étiez une personne de confiance. Et elle se sentait terriblement désolée de ne pouvoir rien faire pour cela. Elle se frottait un peu les mains, visiblement gêné. Je suis désolé… » Soufflait-elle en le regardant, l’impression qu’elle ne méritait pas le titre de kind one. Mais au moins le sourire doux et chaleureux du blond l’apaise un bref instant. Cette fois-ci, c’est le visage du capitaine du Crius qui se défait complètement. Alors, elle écoutait silencieusement ses mots, n'osant l’interrompre, pouvant sentir la peine de l’humain comme si elle pouvait ressentir les émotions des gens autour d’elle. Non, il avait envie de pleurer, elle pouvait le sentir. Rhil is… sad. » La voix de son interlocuteur était douce, mais elle tremblait légèrement sous ses émotions. Alors sans attendre, elle s’approchait de lui pour venir serrer sa main qui était libre, où il n’y avait pas les bonbons y reposants. Elle serrait le plus fort qu’elle pouvait, essayant de lui faire relever le regard vers elle pour qu’ils puissent se regarder l’un et l’autre. Rhil aime espace. Rhil retrouvera les étoiles. I believe in Rhil ! » Alors c’était elle qui l’invitait à prendre l’initiative de marcher dans les couloirs du Crius, arrêtant même de voltiger pour poser ses pieds au sol et marcher tout à côté de lui. Observant chaque recoin qu’il voulait bien lui montrer. Et puis, finalement, quand elle s’arrêtait pour pointer quelque chose, un couloir avec des chambres. Il y avait eu quelqu’un ici. Il y a peu de temps, mais il n’était pas là. Ami de Rhil parti ? Je sens quelqu’un vivant ici. Mais pas présent sur le Crius. » Ce n’était pas une présence humaine non plus. Quelqu’un comme elle. Qui ne venait pas de cette planète. Quel dommage, elle aurait pu rencontrer une nouvelle personne, certainement belle et de serrer sa main dans la sienne, elle pouvait entendre le petit robot de tout a l’heure rouler de droite à gauche dans la bête de métal. Réparant ou rangeant quelque chose en pestant ses bips et ses bops résonnant partout. Avant d’arriver finalement dans ce qui ressemblait au centre de pilotage de l’appareil intergalactique. Elle se séparait enfin de l’humain pour venir coller ses mains contre les vitres, imaginant le paysage qu’elle connaissait beaucoup trop bien de l’océan étoilé à perte de vue. Est-ce que Rhil veut venir sur la station de Carol ? » Pourquoi pas ? Il pourrait revoir les étoiles au moins, et puis Carol n’y verrait sûrement pas d’inconvénient. ⇜ code by bat'phanie ⇝ Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Sam 20 Fév - 1708 ⋆ ☽ ⋆ ◯ ⋆ ☾ ⋆ They walk through space, stars their footprint and planets their ce moment précis, Rhil maintenait à peine le contrôle sur ses émotions à fleur de peau, il ne tenait qu’à grande peine debout, vacillant sur ses talons, à la lisière de ses souvenirs. Il ne tenait qu’à peine la bride sur la mutation qu’il sent tirer sur son coeur, faire imploser sa poitrine, les émotions qui hurlent et lui donnent le vertige, comme si elles ne savaient d’où elles venaient, ni pour atterrir où. Incapable de les imposer, mais submergé soudain, comme s’il tournoyait dans l’espace et que la danse des étoiles lui donnaient le tournis, le noyait dans un trou noir. Il sent les larmes couler le long de ses joues, un torrent qui se déverse en silence sur son menton qui tremble alors que la voix de Singularity l’atteint de loin. Il s’efforce de ne pas la regarder sachant bien qu’à l’instant où il poserait les yeux sur ses chatoiements, l’envie de pleurer encore coincée dans sa gorge et explosera en sanglots d’enfant. Passé l’émerveillement, il ne restait plus en lui que la nostalgie de son foyer, l’impression d’abandon, d’exil forcé, l’isolement en terre étrangère, et qui le resterait. Rhil est triste, Rhil est perdu. ”- Rhil est loin de chez lui.. Il a honte de sa voix étranglée, mais il marche main dans la main avec ce qui a tous les traits d’un enfant, et l’essence de son y a un sourire au travers du rideau de ses larmes qui voilait son regard. Comment être triste face à cette espérance venue d’une étoile ? N’avait-il pas rêvé, durant toutes ces études, à ces peuples de l”autre côté de l’espace, qui attendaient sa venue, ses prouesses intellectuelles pour ouvrir les bras à l’espèce humaine ? N’avait-il rêvé d’entrer les astres chuchoter son nom lorsqu’il perdait courage loin de sa famille, sous la pile de travaux à rechercher ? Y avait-il meilleur soutien qu’un univers qui croit en vous ? Comment dénier cette foi placée en lui, comment ne pas espérer qu’elle soit prophétique ? Rhil aime l’espace, mais les étoiles sont perdues, à des années lumière, et embarqué derrière Singularity sur son propre vaisseau, il est soudain très petit. Très humain. Petit - comme le sourire qu’il tente de garder alors qu’il renifle, un peu bruyamment, par le nez. Rhil glisse les bonbons dans sa poche avant de se pincer le nez, et inspire profondément. Une fois, deux cligne des yeux, chasse les larmes. Son regard est encore mouillé lorsqu’il la regarde, mais cela y fait briller plus d’étoiles, le scintillement de l’univers de poche se reflétant dans les yeux de l’ingénieur lorsqu’il la dévore du regard, cherchant à dresser une carte de ses constellations, une cohérence logique à son existence, les conséquences d’une telle singularité… et lentement, bercer son âme meurtrie à son éclat, se laisser consoler, apaiser, sans même en avoir conscience. Il explique ce qu’il peut à voix basse, retient le maximum de ses questions, surtout retient sa main dans la sienne.”- Ithan.” Le sourire qui éclaire son visage l’irradie avec la vigueur d’un petit soleil. Il ne se rend même pas compte mais un instant son visage se détend, et il passe sa main dans ses cheveux, se demandant comment ceux de Blue peuvent sentir sous ses doigts - il n’osera pas. ”- Il médite, dehors… il a besoin d’un peu de temps à lui. C’est un Echani.” Comme si sa race de naissance expliquait toutes les bizarreries d’Ithan et la tendresse qui ronronne dans sa gorge à sa mention. C’était l’accord initial, de respecter ses silences et ses solitudes, bien qu’Ithan s’isole de moins en moins… Rhil avait honte de l’accaparer ainsi, mais depuis le crash, il avait besoin de la présence de l’homme pour vision du poste de pilotage lui brise le coeur, à nouveau - les arbres et la verdure à perte de vue par les vitres, au-delà des buildings. Ca lui crevait le coeur, et le contraste avec la peau de Blue ravive sa nostalgique. Devait-il faire comme dans sa chambre à l’Institut, étant adolescent ? Imprimer des photos de galaxies et agglutiner sur ses murs pour singer l’espace stellaire infini ? Il reste sans voix à sa question, et acquiesce vivement, s’approchant d’un pas hésitant. ”- J’aimerais, plus que tout… ce serait…” On ne l’en descendrait jamais. Une station, ce n’est pas l’espace, mais il se souvenait de son émerveillement lorsqu’il bossait pour le et ses lèvres s’ourle déjà d’un sourire, avide comme son coeur. Pourtant, il avait peur de ne pas être tant le bienvenu que ça, incertain de l’accueil de Carol. Il se sentait encore coupable. Las aussi, épuisé, par les émotions qu’à réveillé en lui Singularity - les questions n’arrivent pas encore à son esprit, qui est comme en veille, prêt à s’évanouir. Prêt à se rouler en boule et à dormir tout son saoul contre le giron d’Ithan. Et surtout…Rhil expire bruyamment, et secoue soudainement la tête. “- Ithan… Je ne peux pas partir sans lui.” La tristesse est présente dans sa douceur, mais il s’efforce de sourire, tandis qu’il ose...toucher du doigt Singularity, comme pour attirer son attention. ”- Tu repasseras, ici ? … Amie ?” Il lui tend un bonbon, tenant la sphère colorée entre deux de ses doigts. “- Jouer avec C1, avec Ithan… Si tu ..veux jouer. Partager une glace. M’emmener là-bas… s’il te plaît ? Il y a un espoir fou dans sa voix, si mal placé mais… revoir la station, les étoiles de près, tenir un jour de plus en espérant y être bienvenu… ⋆ ☽ ⋆ ◯ ⋆ ☾ ⋆⇜ code by bat'phanie & egotrip ⇝ Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Sam 20 Fév - 1708 ✰ DO THE STARS GAZE BACK ? ✰Commander & Pocket Dimension Elle ne savait pas exactement pourquoi, mais le contact physique entre les êtres était important. Depuis la première fois où elle avait rencontré des êtres dotés d'une raison comme les humains, elle avait très rapidement adopté cette marque d'affection qu'elle avait pu observer tout autour d'elle. Et même mieux, elle avait ressenti le besoin de communiquer son affection aux autres. Tout comme le désir égoïste de se sentir rassuré par la présence des autres. Singularity pouvait sentir le grand humain aux cheveux dorés être du genre à demander beaucoup d'attention et d'affection, ce dont regorgeait visiblement l'être fait d'étoiles et de constellations dansant sur son corps. Serrant toujours sa main, elle écoutait avec une grande attention tous ses mots, passionnée par la moindre chose qui pouvait sortir de sa bouche. Ithan ? Echani ? Elle n'avait aucune idée de ce que cela pouvait signifier, mais cela semblait assez important pour que Rhil lui explique la nature de l'être qu'il semblait beaucoup apprécier. Ithan est important pour Rhil. » Tout comme les femmes entourant Singularity l'étaient. Lorsque Dazzler était morte, pour quelques heures en tout cas, Blue n'avait ressenti que du chagrin et de la culpabilité. Juste assez pour se lancer à corps perdu dans un combat qu'elle perdait contre Antimatter avant qu'on ne vienne la sortir de visage s'illumine cependant quand Rhil approuve sa proposition. Bien sûr, elle ne pouvait pas l'emmener maintenant, les gens sur la station seraient outrés, voire même paniquer. Cela pourrait aussi causer des soucis autant à Rhil qu'aux autres. Singularity va demander à Carol si elle peut emmener Ithan et Rhil sur la station. » Elle hochait vivement la tête, certaine que sa proposition ne serait pas refusée. Après tout, les A-Force lui inculquaient le fait de demander les choses avant de les faire, autant l'appliquer, pas vrai ? Oui, tout se passerait bien. Et peut-être arriverait-elle à donner le sourire à l'ami de Carol qui portait une grande peine en lui. Amie de Rhil. Singularity promet de revenir voir Rhil, C1 et… Ithan. » Elle serait aussi contente de le rencontrer, cet Echani. Après tout, elle n'était jamais contre une rencontre. Plus elle connaissait de monde, mieux c'était non ? Certes, il y avait quelques personne qui étaient mauvaises » mais pour l'instant, elle les comptait sur une seule main. Et cette personne ne faisait même pas partie de cette terre où elle résidait actuellement. Ou peut-être ne l'avait-elle pas encore rencontré. Glace ? Froid ? » Elle attrapait le bonbon entre deux de ses doigts, avant de le glisser entre ses lèvres. L'ironie de voir une galaxie de poche manger une étoile faite de sucre. Oui, elle reviendrait jouer avec Rhil et ses amis. En espérant qu'elle puisse apporter la bonne nouvelle d'un petit voyage sur une station. Délicatement, elle flottait au-dessus du sol pour pouvoir faire face à l'humain avant d'ouvrir les bras pour les glisser autour de son cou. C'était ça, Singularity. Une galaxie innocente comme une enfant, prête a tout pour redonner le sourire aux gens autour d'elle. Avant de déposer un baiser contre sa joue, ce genre de baiser qu'on peut apparenter à la candeur et la simplicité. Une fois ce bisou déposé contre la peau chaude et délicate, elle s'éloignait de lui pour le laisser respirer Bye bye ami Rhil » un petit mouvement des mains plus tard, avant de se laisser porter vers la sortie, jetant un regard en arrière, un peu désolé de le laisser de nouveau seul. Mais il ne l'était pas. Il avait ses amis. Et elle devait rejoindre les siens. Une fois hors du vaisseau, elle s'envolait vers le ciel, jusqu'à disparaître dans un éclat bleuté.⇜ code by bat'phanie ⇝ Contenu sponsorisé Sujet Re Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Page 1 sur 1 Sujets similaires» Rhil & Ithan 4. Coming back to where you started is not the same as never leaving» Rhil - Abel [3] Good friends are like stars » Rhil - Ithan [1] You have my attention » Rhil - Beyond» Rhil TrasamPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum Forum test RPS MER Ensembles
Thelatest Tweets from Bébou Baptou 🇲🇫 (@dundredmexicain). Hurlez. Hurlez à l'agonie de la lumière. Et n'entrez pas docilement, dans cette douce nuit. ☄️💫 Bannière par @nokutaaa le dieu. Soupex, France
Mai 2022C'est le jour de l'anniversaire de ma fille Hermione voir sujet correspondant dans ce blog. Nous nous sommes réunis avec Sarah, et deux autres amis pour fêter cet anniversaire. Je ne connaissais aucun des deux amis présents avant cette journée. Il y a Marc et Léa. Marc est un des tuteurs de Léa, celle-ci n'étant pas exclusive. La jeune femme est extrêmement discrète et se contente d'observer, d'essayer de comprendre l'ambiance de la soirée. De mon côté, je l'observe aussi. Même si je suis allé la chercher à la gare, nos rapports restent assez distants. Sarah surtout elle va dérider la situation en me provoquant et en provoquant Marc. Elle se retrouvera sur nos genoux à tour de rôle pour des fessées somme toutes assez légères. Du coup, Léa décide de provoquer un peu son tuteur et c'est à son tour qu'elle reçoit une petite peu plus tard dans la soirée, c'est moi qu'elle vient provoquer. Ce fut sa seule et unique erreur de la soirée. Explications j'ai l'habitude de jeunes filles assez, voire, très résistantes. Du coup, j'applique à Léa la même dynamique que j'ai coutume d'appliquer aux autres. Juste une dizaine de claques, et c'est déjà insupportable pour Léa prête à craquer. Étant donné que ce n'était pas le but, je stoppe immédiatement, je la prends dans mes bras et la réconforte, comme je fais systématiquement après avoir donné une fessée. Cette fessée scellera notre relation à jamais. Le fait d'avoir stoppé, de l'avoir réconforté sans la juger ni lui poser de question a établi la confiance entre lendemain, nos deux amis regagnent leurs pénates. Mais Léa souhaite nous revoir rapidement. Elle me demande à demi mots si je pouvais l'aider, être l'un de ses tuteurs. Je lui réponds que nous en parlerons à tête jours suivants, nous échangeons beaucoup par messagerie interposée. Je lui demande ce qu'elle souhaite et nous mettons des objectifs de tutorat en place ensemble. Parmi ces objectifs, il y en a un très important. Léa est une geek invétérée qui a pour habitude de passer des nuits blanches derrière son ordinateur ou son téléphone. Je le lui ai interdit. Pas de nuits blanches et un couvre feu à deux heures du matin elle a vingt ans et je me dois de lui laisser un peu de liberté correspondant à son âge. Je lui demande de préparer un tableau pour un suivi de ses objectifs et nous ferons un bilan d'ici une quinzaine de jours. Les quinze jours passent, et je retourne la chercher à la gare pour un petit séjour chez nous. Elle apprécie d'être avec nous. Les liens entre Hermione, Sarah, elle et moi se renforcent. Nous nous faisons beaucoup de câlins et Léa commence à trouver un peu ses marques. Elle sait toutefois qu'elle va passer un très mauvais moment. Je lui ai interdit les nuits blanches strictement. En regardant son tableau, il y a de nombreux dépassements de couvre-feu et une nuit blanche. Je décide de régler cela en soirée. Je sais maintenant qu'elle a un fessier sensible. J'agirai en fonction. Arrive donc le moment tant redouté "Il faut qu'on discute en tête à tête toi et moi !" Elle a tout de suite compris que ça allait chauffer pour ses fesses, surtout avec le souvenir de la première qu'elle a reçue dans le cadre du jeu en plus. Maintenant cela va être une punition et si elle me suit dans la chambre docilement, c'est avec une très forte appréhension, voire même une certaine peur."J'ai regardé ton tableau, Léa, que dois-je en penser ?- C'est pas vraiment joli, me répond-elle Et que dois-je faire, d'après toi ?- Me punir ?- D'accord, et comment devrais-je te punir ?- Par une bonne fessée ?- Pas une, mais deux ! Une pour tes dépassements et une autre pour ta nuit blanche. Viens par ici, en face de moi !"Je lui baisse pantalon et culotte. "Vas te mettre au coin, main derrière le dos et tu ne bouges pas. Prends ce temps pour réfléchir à tes bêtises et à ce qu'il va t'arriver dans quelques minutes !"N'osant me contrarier, elle s'y place et ne bouge plus d'un cheveu. Mais je sens bien son appréhension, sa crainte monter encore d'un cran. J'aime autant, je ne souhaite pas la punir encore pour la même chose. En agissant ainsi, j'espère bien lui faire passer le bon message. Cinq minutes plus tard, je lui demande de se pencher sur mes genoux. "Pourquoi tu es dans cette situation, Léa ?- Car j'ai dépassé mon couvre Exactement. Cette fessée sera modérément sévère. J'espère que cela sera suffisant à te faire comprendre que je n'accepte pas ces Oui, Yves."Je commence alors une fessée avec une intensité progressive. Ne connaissant pas bien sa sensibilité, je me montre particulièrement attentif à ses réactions. A un certain stade, je n'augmente plus la force des claques. Et cette fessée aura duré trois minutes. Une éternité déjà pour elle. Je sens qu'elle a eu mal, mais c'est resté supportable. Je la renvoie au coin, je vois aussi par la même occasion ses yeux déjà humides. Cette fessée a porté ses fruits. Mais celle à suivre sera d'un autre niveau. D'ailleurs Léa sait très bien que cette première fessée n'a été qu'un hors d'oeuvre. Elle craint la suite et au bout de cinq minutes je la rappelle sur mes genoux. "Tu sais pourquoi je vais te punir, cette fois ?- Pour ma nuit blanche... Me dit-elle au bord des Oui. Je te l'avais strictement interdit ! Strictement ! Et tu m'as désobéi ! Cette fessée sera donc très intense. Tu vas avoir mal, c'est une punition dont je veux que tu te souviennes. Je veux qu'elle soit à jamais ancrée dans ta mémoire, comprends-tu ?- Oui, Yves. Je comprends."Après lui avoir demandé si elle était prête, j'entame une fessée assez intense dès le départ. Léa comprend très vite que je ne plaisante plus. Ses fesses souffrent. Elles se parent d'un couleur rose tendant vers le rouge au fur et à mesure que les claques tombent sur sa peau douce et tendue par la position. Léa craque et les larmes coulent, mais je ne m'arrête pas pour autant. La punition doit être mémorable. Une cinquantaine de claques plus tard, j'estime que cela suffit. Je l'envoie au coin en la tenant par le bras. A ce moment là, je lui réitère la consigne pas de nuits blanches. Et j'appuie cette consigne par de nombreuses claques sur ses fesses déjà très douloureuses. Elle m'assure qu'elle ne recommencera plus. Je la laisse tranquille au coin pendant une dizaine de minutes. Puis je viens la prendre délicatement dans mes bras pour la réconforter et l'assurer de mon pardon total et entier. Nous nous allongeons sur le lit un moment dans les bras l'un de l'autre. Elle me remercie de l'avoir prise en charge. Un peu plus tard, elle me demandera d'être son tuteur principal. J'accepte, bien entendu, c'est une fille adorable qui mérite pleinement mon aide. Elle n'a pas fait de nuit blanche depuis cette punition, cela fait plusieurs mois, le début d'une magnifique histoire entre deux personnes qui ne fait que Suivre...
Dansla même collection Manuel d’Épictète, Librio no 1097 Voltaire, Traité sur la tolérance, Librio no 1086 Rousseau, Du contrat social, Librio no 1085 La Boétie, Discours de la servitude volontaire, Librio no 1084 Marc Aurèle, Pensées, Librio no 1078 Platon, Gorgias, Librio no 1075 Sénèque, De la vie heureuse, Librio no 678 Platon, Apologie de Socrate, Librio no 635
Randonnée - De l'eau à la neige de cultureMétabief 25370Le 29/08/2022Une balade facile au départ du sommet du télésiège vous emmenant au cœur de la station de Métabief. Vous découvrirez les rouages secrets de la fabrication de la neige de culture en visitant les entrailles de l’usine à neige à 1350m d’altitude. Une balade entre tradition & technologie avec un bon bol d’air frais !!! Niveau Facile - Durée 2h30 - Distance 3 km - Dénivelé 150m. RDV devant le plan des pistes à Métabief Inscription obligatoire aux caisses de Métabief. Permanence et Conseil Randonnées Balades, Randonnée et baladeDie 26150Du 04/07/2022 au 29/08/2022Chaque lundi prenez conseil auprès de Michel Morin, garde du Parc Naturel Régional du Vercors et posez vos questions sur la randonnée en Pays Diois ! Où trouver de belles vues ou un peu de fraîcheur? Une balade facile en famille ou une Iraty Pastorale Nature - Environnement, Randonnée et baladeLarrau 64560Le 29/08/2022Après un briefing sur le matériel et une période de prise en main, nous partirons pour 4 heures de randonnée sur les chemins de la forêt d’Iraty. La découverte sera le mot d’ordre, découverte de la forêt d’Iraty, découverte de l’activité trottinette tout terrain électrique, découverte du métier de berger et du pastoralisme. Une pause gourmande est prévue pour encore plus de plaisir ! Minimum de 5 personnes pour cette activité. Informations supplémentaires À partir de 12 ans Poids Max 120 kg Savoir faire du vélo Niveau Facile Durée 4 heures + 30 minutes briefing et prise en main Matériel Chaussures fermées obligatoires et vêtements longs accompagnée randonnée pique-nique au soleil couchant Randonnée et baladeSaint-Étienne-de-Baïgorry 64430Le 30/08/2022Prenons le temps d’observer la lente et douce course du soleil couchant. Profitant de ces derniers rayons, nous partagerons un casse-croûte convivial. A la manière des contrebandiers, l' oeil s’adapte à l’obscurité, la marche devient féline et les sens s’éveillent avec la douceur de la nuit sur le retour. Niveau Facile Distance 4,5 km Dénivelé +350 m Durée 3h. Age mini 7 ans. Inscription avant 24h. Départ de la randonnée à 10 mn en voiture, prévoir votre véhiculeBalade sonore une 5ème saison dans les bois de Mittlach Randonnée et baladeMittlach 68380Le 29/08/2022Plongez-vous dans le paysage alsacien et ses envoûtantes ambiances sonores ! Au cœur de la Vallée de Munster, le compositeur et créateur sonore Jim Petit invite les promeneurs à découvrir les 12 points d’écoute de ce parcours sonore où alternent des moments de marche douce, d’écoute au casque, et des moments de pause. Facile, fléché et familial, le parcours emprunte des chemins existants sans difficulté. L’écoute des 12 pièces sonores d’une 5e saison, se mêlent aux sons du paysage sonore réel pour une séance immersive entre réalité de l’instant et transformation de la réalité sonore de chaque site. Une autre manière d’appréhender et ressentir le paysage forestier et montagnard de Mittlach. Randonnée à partir de 4 ans. Trajet en voiture personnelle jusqu’au point de départ. Matériel Chaussures de randonnée et de l'eau. La sortie peut se réaliser avec 4 participants minimum et maximum 10 participants Chiens interdits - Porte-bébé interditsRandonnée accompagnée sur les traces des vautours Fête, Nature - Environnement, Sports et loisirs, Nature - Environnement, Randonnée et balade, Manifestation culturelle, Nature - EnvironnementOssès 64780Le 29/08/2022Sur un sentier en crête au dessus des vallées verdoyantes du Pays Basque. Promontoire privilégié pour observer l'un des plus grands rapaces d'Europe, posés ou bien en vol, ce magnifique planeur défie les vents. En compagnie d'un passionné et de son équipement d'observation, venez découvrir tous les secrets de cette espèce emblématique des Pyrénées. Niveau Facile Distance 5km Dénivelé +250m Durée 3h. Âge mini 7 ans. Inscription avant Rivière souterraine de Champdeniers Randonnée et baladeChampdeniers-Saint-Denis 79220Du 24/08/2022 au 28/08/2022Découverte facile de la rivière souterraine de Champdeniers. Parcours d' un kilomètre dans des galeries horizontales, de belles et grandes salles et une jolie rivière. Bien que l'on commence la sortie par une galerie au plafond plutôt bas, le reste de l'itinéraire se déroule globalement debout. Equipement fourni combinaison et chaussettes néoprènes, combinaison de spéléologie, harnais, casque, éclairage, genouillères. A prévoir un maillot de bain, des chaussures de randonnée, des vêtements de rechange chaussures comprises,une barre d'énergie par personne, une bonne motivation et votre meilleur sourire. A partir de 8 ans. Durée de la sortie 3hApéro - Coucher de soleil à Ornans Repas - Dégustation, Randonnée et baladeOrnans 25290Le 27/08/2022Surnommée, la "Petite Venise", la ville d'Ornans est dominée par plusieurs jolis belvédères et éperons rocheux. Notre randonnée se déroulera "rive droite" de la vallée, à la recherche des traces du château d'Ornans et de continuer jusqu'à la Roche du Mont, lieu de notre pause apéro au panorama à 180°. La suite sera une douce descente jusqu'au centre-ville à l'aide de flambeaux ! Le RDV peut varier selon la saison et l'heure du coucher de soleil. Niveau facile 6km / 300D+ Apéro dînatoire Produit de la région vins, charcuterie, fromage, tomates cerises, melon, pastèque. Des mariages qui vont vous surprendre ! Équipements frontale on peut en fournir 4-5, chaussures de marche conseillées, tenue confortable pour marcher, petite laine, lunettes de soleil / casquette, 1L d'eau minimum, mouchoirs. Pensez à prendre votre couteau !Randonnée accompagnée randonnée pique-nique au soleil couchant Randonnée et baladeSaint-Jean-Pied-de-Port 64220Le 01/09/2022Prenons le temps d’observer la lente et douce course du soleil couchant. Profitant de ces derniers rayons, nous partagerons un casse-croûte convivial. A la manière des contrebandiers, l' oeil s’adapte à l’obscurité, la marche devient féline et les sens s’éveillent avec la douceur de la nuit sur le retour. Niveau Facile Distance 4,5 km Dénivelé +350 m Durée 3h. Age mini 7 ans. Inscription avant 24h. Départ de la randonnée à 15mn de voiture, prévoir votre accompagnée apprendre à s'orienter en s'amusant-Enigmes sur le Pays Basque Randonnée et baladeIrouléguy 64220Le 30/08/2022Sur la montagne au dessus du village, en équipe, vous vous dirigerez avec carte et boussole. A chaque balise, un indice, une question, un objet... pour découvrir nos montagnes. Pas de perdant, ce n’est pas une course ! Mais vous en saurez plus sur le Pays Basque, ses traditions et son histoire. Pour petits et grands, le jeu s’adapte à tous les niveaux. En équipe ou en famille. Encadré par un guide local qui connaît le coin comme sa poche. Niveau Facile Distance 4 km Dénivelé +300m Durée 3h. Âge mini 7 ans. Inscription avant "Les animaux du Suhalmendi randonnée en deux temps" Randonnée et baladeSare 64310Le 31/08/2022C’est une randonnée-visite » pédagogique que nous vous proposons. Tout d’abord une petite randonnée facile vous mènera sur le mont Suhalmendi qui offre un point de vue exceptionnel sur la côte basque, landaise ainsi que sur les montagnes des Pyrénées. Ici les vautours, les brebis, les pottoks et leurs poulains, la flore et la faune cohabitent en parfaite harmonie avec les éleveurs, randonneurs et amoureux de la nature. Puis vous découvrirez un élevage de porcs basques de race Pie Noir Appelation Kintoa. Race de porc qui avait disparu des montagnes basques et qui fait son retour grâce à la volonté d’éleveurs locaux désireux de faire perdurer la richesse de produits gastronomiques de qualité. Un circuit ludique a été créé pour les enfants afin de s’instruire en s’amusant. Cette visite est un bon compromis entre randonnée et apprentissage de la vie pastorale. Age minimun 6 sonore une 5ème saison dans les bois de Mittlach BaladesMittlach 68380Le 29/08/2022Plongez-vous dans le paysage alsacien et ses envoûtantes ambiances sonores ! Au cœur de la Vallée de Munster, le compositeur et créateur sonore Jim Petit invite les promeneurs à découvrir les 12 points d’écoute de ce parcours sonore où alternent des moments de marche douce, d’écoute au casque, et des moments de pause. Facile, fléché et familial, le parcours emprunte des chemins existants sans difficulté. L’écoute des 12 pièces sonores d’une 5e saison, se mêlent aux sons du paysage sonore réel pour une séance immersive entre réalité de l’instant et transformation de la réalité sonore de chaque site. Une autre manière d’appréhender et ressentir le paysage forestier et montagnard de Mittlach. Randonnée à partir de 4 ans. Trajet en voiture personnelle jusqu’au point de départ. Matériel Chaussures de randonnée et de l'eau. La sortie peut se réaliser avec 4 participants minimum et maximum 10 participants Chiens interdits - Porte-bébé interditsBalade sonore une 5ème saison dans les bois de Mittlach Visites et circuitsMittlach 68380Le 29/08/2022Plongez-vous dans le paysage alsacien et ses envoûtantes ambiances sonores ! Au cœur de la Vallée de Munster, le compositeur et créateur sonore Jim Petit invite les promeneurs à découvrir les 12 points d’écoute de ce parcours sonore où alternent des moments de marche douce, d’écoute au casque, et des moments de pause. Facile, fléché et familial, le parcours emprunte des chemins existants sans difficulté. L’écoute des 12 pièces sonores d’une 5e saison, se mêlent aux sons du paysage sonore réel pour une séance immersive entre réalité de l’instant et transformation de la réalité sonore de chaque site. Une autre manière d’appréhender et ressentir le paysage forestier et montagnard de Mittlach. Randonnée à partir de 4 ans. Trajet en voiture personnelle jusqu’au point de départ. Matériel Chaussures de randonnée et de l'eau. La sortie peut se réaliser avec 4 participants minimum et maximum 10 participants Chiens interdits - Porte-bébé interdits Randonnée accompagnée sur les traces des vautours Randonnée et baladeOssès 64780Le 31/08/2022Sur un sentier en crête au dessus des vallées verdoyantes du Pays Basque. Promontoire privilégié pour observer l'un des plus grands rapaces d'Europe, posés ou bien en vol, ce magnifique planeur défie les vents. En compagnie d'un passionné et de son équipement d'observation, venez découvrir tous les secrets de cette espèce emblématique des Pyrénées. Niveau Facile Distance 5km Dénivelé +250m Durée 3h. Âge mini 7 ans. Inscription avant accompagnée sur les traces des vautours Randonnée et baladeOssès 64780Le 31/08/2022Sur un sentier en crête au dessus des vallées verdoyantes du Pays Basque. Promontoire privilégié pour observer l'un des plus grands rapaces d'Europe, posés ou bien en vol, ce magnifique planeur défie les vents. En compagnie d'un passionné et de son équipement d'observation, venez découvrir tous les secrets de cette espèce emblématique des Pyrénées. Niveau Facile Distance 5km Dénivelé +250m Durée 3h. Âge mini 7 ans. Inscription avant "Les animaux du Suhalmendi randonnée en deux temps" Randonnée et baladeSare 64310Le 01/09/2022C’est une randonnée-visite » pédagogique que nous vous proposons. Tout d’abord une petite randonnée facile vous mènera sur le mont Suhalmendi qui offre un point de vue exceptionnel sur la côte basque, landaise ainsi que sur les montagnes des Pyrénées. Ici les vautours, les brebis, les pottoks et leurs poulains, la flore et la faune cohabitent en parfaite harmonie avec les éleveurs, randonneurs et amoureux de la nature. Puis vous découvrirez un élevage de porcs basques de race Pie Noir Appelation Kintoa. Race de porc qui avait disparu des montagnes basques et qui fait son retour grâce à la volonté d’éleveurs locaux désireux de faire perdurer la richesse de produits gastronomiques de qualité. Un circuit ludique a été créé pour les enfants afin de s’instruire en s’amusant. Cette visite est un bon compromis entre randonnée et apprentissage de la vie pastorale. Age minimun 6 accompagnée apprendre à s'orienter en s'amusant-Enigmes sur le Pays Basque Fête, Nature - Environnement, Sports et loisirs, Nature - Environnement, Randonnée et balade, Manifestation culturelle, Nature - EnvironnementIrouléguy 64220Le 30/08/2022Sur la montagne au dessus du village, en équipe, vous vous dirigerez avec carte et boussole. A chaque balise, un indice, une question, un objet... pour découvrir nos montagnes. Pas de perdant, ce n’est pas une course ! Mais vous en saurez plus sur le Pays Basque, ses traditions et son histoire. Pour petits et grands, le jeu s’adapte à tous les niveaux. En équipe ou en famille. Encadré par un guide local qui connaît le coin comme sa poche. Niveau Facile Distance 4 km Dénivelé +300m Durée 3h. Âge mini 7 ans. Inscription avant accompagnée sur les traces des vautours Fête, Nature - Environnement, Sports et loisirs, Nature - Environnement, Randonnée et balade, Manifestation culturelle, Nature - EnvironnementOssès 64780Le 31/08/2022Sur un sentier en crête au dessus des vallées verdoyantes du Pays Basque. Promontoire privilégié pour observer l'un des plus grands rapaces d'Europe, posés ou bien en vol, ce magnifique planeur défie les vents. En compagnie d'un passionné et de son équipement d'observation, venez découvrir tous les secrets de cette espèce emblématique des Pyrénées. Niveau Facile Distance 5km Dénivelé +250m Durée 3h. Âge mini 7 ans. Inscription avant randos de la vallée de la Vère Randonnée et balade, Balades, Randonnée et baladeATHIS-VAL DE ROUVRE 61430Le 04/09/2022Randonnée de 20 km quelques difficultés départ à 13h Randonnée familiale de 7,5 km facile départ à à 14h30 Randonnée orientation de 13 km cartes fournies départ à 13h30 1 € versé aux "P'tits doudous Flériens"Le Trail et la Rando de Corbeil-Cerf Randonnée et balade, Courses à pied, Nature - EnvironnementCorbeil-Cerf 60110Le 04/09/2022Le trail et la Rando auront lieu le 04 septembre 2022 à CORBEIL CERF. Ils sont composés de deux parcours identiques pour la randonnée pédestre et pour le trail. Un trail et une Randonnée nature, de 6 km ou 15 km sur petites routes, chemins, en plaine et forêt. Circuit 6 kms facile avec moins de 100m de D+. Départ 9h00 un ravitaillement à l’arrivée en eau, prévoir son gobelet ou sa gourde. Circuits 15 kms difficiles avec plus de 100m de D+ départ à 9h00 un ravitaillement à l’arrivée en eau, prévoir son gobelet ou sa gourde. Les Randos départ 9h15. Le départ sera donné sur la place de la commune de CORBEIL CERF, rue François de "Les animaux du Suhalmendi randonnée en deux temps" Randonnée et baladeSare 64310Le 07/09/2022C’est une randonnée-visite » pédagogique que nous vous proposons. Tout d’abord une petite randonnée facile vous mènera sur le mont Suhalmendi qui offre un point de vue exceptionnel sur la côte basque, landaise ainsi que sur les montagnes des Pyrénées. Ici les vautours, les brebis, les pottoks et leurs poulains, la flore et la faune cohabitent en parfaite harmonie avec les éleveurs, randonneurs et amoureux de la nature. Puis vous découvrirez un élevage de porcs basques de race Pie Noir Appelation Kintoa. Race de porc qui avait disparu des montagnes basques et qui fait son retour grâce à la volonté d’éleveurs locaux désireux de faire perdurer la richesse de produits gastronomiques de qualité. Un circuit ludique a été créé pour les enfants afin de s’instruire en s’amusant. Cette visite est un bon compromis entre randonnée et apprentissage de la vie pastorale. Age minimun 6 avec les randonneurs en Pays L'Islois en Alsace Randonnée et balade, Vie associativeL'Isle-sur-le-Doubs 25250Le 04/09/2022L'association Randonneurs en Pays L'Islois vous invite à participer à l'une de ses marches. Dimanche 4 septembre 8h30. Alsace. Organisateur, Jacques Perrin tel 06 27 15 86 39. 10 km, marche facile. Emporter de l’eau, un pique-nique, des vêtements adaptés, de bonnes chaussures de marche, éventuellement, 1 ou 2 bâtons de "Les animaux du Suhalmendi randonnée en deux temps" Randonnée et baladeSare 64310Le 08/09/2022C’est une randonnée-visite » pédagogique que nous vous proposons. Tout d’abord une petite randonnée facile vous mènera sur le mont Suhalmendi qui offre un point de vue exceptionnel sur la côte basque, landaise ainsi que sur les montagnes des Pyrénées. Ici les vautours, les brebis, les pottoks et leurs poulains, la flore et la faune cohabitent en parfaite harmonie avec les éleveurs, randonneurs et amoureux de la nature. Puis vous découvrirez un élevage de porcs basques de race Pie Noir Appelation Kintoa. Race de porc qui avait disparu des montagnes basques et qui fait son retour grâce à la volonté d’éleveurs locaux désireux de faire perdurer la richesse de produits gastronomiques de qualité. Un circuit ludique a été créé pour les enfants afin de s’instruire en s’amusant. Cette visite est un bon compromis entre randonnée et apprentissage de la vie pastorale. Age minimun 6 accompagnée randonnée pique-nique au soleil couchant Randonnée et baladeSaint-Jean-Pied-de-Port 64220Le 08/09/2022Prenons le temps d’observer la lente et douce course du soleil couchant. Profitant de ces derniers rayons, nous partagerons un casse-croûte convivial. A la manière des contrebandiers, l' oeil s’adapte à l’obscurité, la marche devient féline et les sens s’éveillent avec la douceur de la nuit sur le retour. Niveau Facile Distance 4,5 km Dénivelé +350 m Durée 3h. Age mini 7 ans. Inscription avant 24h. Départ de la randonnée à 15mn de voiture, prévoir votre accompagnées La voie verte à vélo Balades, Randonnée et baladeSalies-de-Béarn 64270Le 07/09/2022Optez pour une balade à deux roues sur la voie verte de Salies-de-Béarn ! Mécanique ou électrique, choisissez votre vélo pour ces 16 kilomètres aller/retour de randonnée niveau facile. La pause gourmande en bordure de gave vous donnera l’impulsion pour le chemin du accompagnée sur les traces des vautours Randonnée et baladeOssès 64780Le 07/09/2022Sur un sentier en crête au dessus des vallées verdoyantes du Pays Basque. Promontoire privilégié pour observer l'un des plus grands rapaces d'Europe, posés ou bien en vol, ce magnifique planeur défie les vents. En compagnie d'un passionné et de son équipement d'observation, venez découvrir tous les secrets de cette espèce emblématique des Pyrénées. Niveau Facile Distance 5km Dénivelé +250m Durée 3h. Âge mini 7 ans. Inscription avant accompagnée sur les traces des vautours Fête, Nature - Environnement, Sports et loisirs, Nature - Environnement, Randonnée et balade, Manifestation culturelle, Nature - EnvironnementOssès 64780Le 07/09/2022Sur un sentier en crête au dessus des vallées verdoyantes du Pays Basque. Promontoire privilégié pour observer l'un des plus grands rapaces d'Europe, posés ou bien en vol, ce magnifique planeur défie les vents. En compagnie d'un passionné et de son équipement d'observation, venez découvrir tous les secrets de cette espèce emblématique des Pyrénées. Niveau Facile Distance 5km Dénivelé +250m Durée 3h. Âge mini 7 ans. Inscription avant découverte et fraîcheur Piscines naturelles Randonnée et baladeAmondans 25330Du 26/08/2022 au 04/09/2022Marche d’approche en sous-bois, randonnée dans un écrin de verdure sur des sentiers de pêcheurs, au fil de l'eau, entre gouilles et gorges enchanteresques. Une vraie découverte en randonnant dans un monde fascinant sans devoir pratiquer le canyoning. Nul besoin ici de combinaisons néoprènes ou de rappels, l’envie et une certaine agilité vous suffiront à évoluer dans ce relief, entre cascades et vasques. Distance 5km / 150 D+ Durée 300 Niveau facile A partir de 7 ans. Équipement une bonne paire de basket, un maillot de bain, un t-shirt synthétique, un short +short et t-shirt de rechange, et serviette que nous laisserons à la voiture. Confirmé dès 4 accompagnées La voie verte à vélo Manifestation culturelle, Nature - Environnement, Patrimoine - Culture, Nature - Environnement, Visites et circuitsSalies-de-Béarn 64270Le 07/09/2022Optez pour une balade à deux roues sur la voie verte de Salies-de-Béarn ! Mécanique ou électrique, choisissez votre vélo pour ces 16 kilomètres aller/retour de randonnée niveau facile. La pause gourmande en bordure de gave vous donnera l’impulsion pour le chemin du accompagnée randonnée pique-nique au soleil couchant Randonnée et baladeSaint-Jean-Pied-de-Port 64220Le 15/09/2022Prenons le temps d’observer la lente et douce course du soleil couchant. Profitant de ces derniers rayons, nous partagerons un casse-croûte convivial. A la manière des contrebandiers, l' oeil s’adapte à l’obscurité, la marche devient féline et les sens s’éveillent avec la douceur de la nuit sur le retour. Niveau Facile Distance 4,5 km Dénivelé +350 m Durée 3h. Age mini 7 ans. Inscription avant 24h. Départ de la randonnée à 15mn de voiture, prévoir votre et pique-nique champêtre Randonnée et balade, Culte et religion, Repas - DégustationLa Roque-Baignard 14340Le 17/09/2022Programme de la journée 10h RDV place de la Mairie 10h30 Départ de la randonnée 12h Pique-nique près de la source Saint-Méen au Pré d'Auge 14h Visites commentées de la source et sa légende, l'église et les extérieurs du château 17h30 Retour à la Roque-Baignard pour une visite de l'église Circuit facile à faire en famille sans poussette. Prévoir son pique-nique, transport par accompagnée sur les traces des vautours Randonnée et baladeOssès 64780Le 14/09/2022Sur un sentier en crête au dessus des vallées verdoyantes du Pays Basque. Promontoire privilégié pour observer l'un des plus grands rapaces d'Europe, posés ou bien en vol, ce magnifique planeur défie les vents. En compagnie d'un passionné et de son équipement d'observation, venez découvrir tous les secrets de cette espèce emblématique des Pyrénées. Niveau Facile Distance 5km Dénivelé +250m Durée 3h. Âge mini 7 ans. Inscription avant accompagnée sur les traces des vautours Fête, Nature - Environnement, Sports et loisirs, Nature - Environnement, Randonnée et balade, Manifestation culturelle, Nature - EnvironnementOssès 64780Le 14/09/2022Sur un sentier en crête au dessus des vallées verdoyantes du Pays Basque. Promontoire privilégié pour observer l'un des plus grands rapaces d'Europe, posés ou bien en vol, ce magnifique planeur défie les vents. En compagnie d'un passionné et de son équipement d'observation, venez découvrir tous les secrets de cette espèce emblématique des Pyrénées. Niveau Facile Distance 5km Dénivelé +250m Durée 3h. Âge mini 7 ans. Inscription avant "Les animaux du Suhalmendi randonnée en deux temps" Randonnée et baladeSare 64310Le 22/09/2022C’est une randonnée-visite » pédagogique que nous vous proposons. Tout d’abord une petite randonnée facile vous mènera sur le mont Suhalmendi qui offre un point de vue exceptionnel sur la côte basque, landaise ainsi que sur les montagnes des Pyrénées. Ici les vautours, les brebis, les pottoks et leurs poulains, la flore et la faune cohabitent en parfaite harmonie avec les éleveurs, randonneurs et amoureux de la nature. Puis vous découvrirez un élevage de porcs basques de race Pie Noir Appelation Kintoa. Race de porc qui avait disparu des montagnes basques et qui fait son retour grâce à la volonté d’éleveurs locaux désireux de faire perdurer la richesse de produits gastronomiques de qualité. Un circuit ludique a été créé pour les enfants afin de s’instruire en s’amusant. Cette visite est un bon compromis entre randonnée et apprentissage de la vie pastorale. Age minimun 6 "Les animaux du Suhalmendi randonnée en deux temps" Randonnée et baladeSare 64310Le 21/09/2022C’est une randonnée-visite » pédagogique que nous vous proposons. Tout d’abord une petite randonnée facile vous mènera sur le mont Suhalmendi qui offre un point de vue exceptionnel sur la côte basque, landaise ainsi que sur les montagnes des Pyrénées. Ici les vautours, les brebis, les pottoks et leurs poulains, la flore et la faune cohabitent en parfaite harmonie avec les éleveurs, randonneurs et amoureux de la nature. Puis vous découvrirez un élevage de porcs basques de race Pie Noir Appelation Kintoa. Race de porc qui avait disparu des montagnes basques et qui fait son retour grâce à la volonté d’éleveurs locaux désireux de faire perdurer la richesse de produits gastronomiques de qualité. Un circuit ludique a été créé pour les enfants afin de s’instruire en s’amusant. Cette visite est un bon compromis entre randonnée et apprentissage de la vie pastorale. Age minimun 6 "Les animaux du Suhalmendi randonnée en deux temps" Randonnée et baladeSare 64310Le 28/09/2022C’est une randonnée-visite » pédagogique que nous vous proposons. Tout d’abord une petite randonnée facile vous mènera sur le mont Suhalmendi qui offre un point de vue exceptionnel sur la côte basque, landaise ainsi que sur les montagnes des Pyrénées. Ici les vautours, les brebis, les pottoks et leurs poulains, la flore et la faune cohabitent en parfaite harmonie avec les éleveurs, randonneurs et amoureux de la nature. Puis vous découvrirez un élevage de porcs basques de race Pie Noir Appelation Kintoa. Race de porc qui avait disparu des montagnes basques et qui fait son retour grâce à la volonté d’éleveurs locaux désireux de faire perdurer la richesse de produits gastronomiques de qualité. Un circuit ludique a été créé pour les enfants afin de s’instruire en s’amusant. Cette visite est un bon compromis entre randonnée et apprentissage de la vie pastorale. Age minimun 6 EUROPÉENNES DU PATRIMOINE 2022 - CASTELNAU DE GUERS Visite guidée, Patrimoine - CultureCastelnau-de-Guers 34120Le 18/09/202210h-12h Visites commentées par Noel Houlès des monuments patrimoniaux du village Ermitage St-Antoine, exposition salle du conseil de la mairie, cour du château de Castelnau de Guers. 10h RDV devant la mairie, départ pou visite commentée de l'ermitage St-Antoine. Randonnée balade facile familiale. Non accessible pour personnes à mobilité réduite et poussettes. Retour place de la mairie pour 11h15. 11h15 Visite commentée de l'église St-Sulpice. 11h30 Ouverture exceptionnelle de l'exposition permanente dans la salle du conseil de la mairie avec présentation des découvertes archéologiques réalisées sur le site du village. 12h Ouverture exceptionnelle de la cour du château. Visite commentée du lieu et de la chapelle du château. Exposition du loup l'animal totémique du village. Apéritif offert par la municipalité suivi d'un repas sur réservation 14€/10€ enfant dans la cour du château. Macaronade de la mer, tarte aux fruits de saison. Buvette pour le repas. Pensez à vos couverts !La Cormatinoise Randonnée et baladeCormatin 71460Le 09/10/202243e randonnée organisée par l'amicale de Cormatin. - 1 circuit pédestre 7 km très facile sans ravitaillement. - 1 circuit pédestre 13 km 1 ravitaillement. - 1 circuit pédestre 22km 2 ravitaillements. - 1 circuit VTT 41km sac au départ + 1 ravitaillement. Collation à l'arrivée pour tous les randonneurs. Les circuits parcourent des chemins balisés dans des paysages très WEEK-END - BALADE VIGNERONNE ET GOURMANDE Vin - Oenologie, Repas - DégustationLuc-sur-Orbieu 11200Le 15/10/2022Balade vigneronne et gourmande en compagnie de la famille Fabre. La famille Fabre vous emmènera pour une balade vigneronne gourmande et curieuse, à la découverte du terroir, de son sol qui contribue au secret des grands vins. Au terme de cette balade, un pique-nique gourmand au cœur des vignes vous émerveillera les papilles des produits régionaux, sans oublier la dégustation d’une sélection de vins bio produits au château. Et pourquoi pas en profiter pour découvrir leur dernière animation, un Escape Game sur le thème du vin, pour une heure de remue-méninges. 11h00 départ pour une randonnée facile d' 1h prendre de bonnes chaussures et un coupe vent, agrémentée d'explications sur toutes les composantes de notre terroir viticole climat, géologie, botanique, cépages et modes de culture . 12h00 apéritif debout au point de vue panoramique; lecture de paysage à 360° et dégustation d'une sélection de vins bio de la Famille Fabre. 13h00 pique nique champêtre assis dans un écrin de verdure au milieu de la garrigue. 15h00 retour au caveau du château de Luc et possibilité d'acheter les vins de la Famille Fabre dégustés précédemment. Sur réservation par téléphone ou email[...]Balades accompagnées La voie verte à vélo Balades, Randonnée et baladeSalies-de-Béarn 64270Le 12/10/2022Optez pour une balade à deux roues sur la voie verte de Salies-de-Béarn ! Mécanique ou électrique, choisissez votre vélo pour ces 16 kilomètres aller/retour de randonnée niveau facile. La pause gourmande en bordure de gave vous donnera l’impulsion pour le chemin du du Moulin de Seyrignac Visite guidée, Randonnée et baladeLunan 46100Du 01/05/2022 au 30/09/2022Dimanche 01 mai aura lieu la réouverture. La mise au vent débutera vers 15h. En préambule les visiteurs ou le propriétaire tourneront le toit pour mettre les ailes face au vent. Puis le meunier entoilera les ailes. S’il y a du vent, les visiteurs assisteront à une démonstration de mouture. Les visites commentées seront jusqu’à 18h. En raison du COVID-19, pour les visites de l’intérieur du moulin, chaque visiteur doit être muni d’un masque et de gel ou gants personnel. Visite gratuite. Individuel de préférence sur rendez-vous visite guidée et commentée du moulin. Groupe 8/10 pers. minimum 5/6 pers. maxi à l’intérieur, sur rendez-vous orientation du toit face au vent - habillage des ailes - mise en mouvement des ailes et production de farine s’il y a du vent. Visite commentée Histoire – Technologie -Exposition Possibilité de randonnée pédestre de Figeac au moulin le circuit de SEYRIGNAC – 2h – 8,2 km -facileRandonnée accompagnée sur Atharri Randonnée et baladeItxassou 64250Le 14/10/2022Niveau facile, 460m de dénivelé, 10km. En langue obligatoire dans les bureaux d'accueil. RDV devant l'Hôtel accompagnée sur Atharri Nature - Environnement, Randonnée et balade, Nature - EnvironnementItxassou 64250Le 14/10/2022Niveau facile, 460m de dénivelé, 10km. En langue obligatoire dans les bureaux d'accueil. RDV devant l'Hôtel accompagnées La voie verte à vélo Manifestation culturelle, Nature - Environnement, Patrimoine - Culture, Nature - Environnement, Visites et circuitsSalies-de-Béarn 64270Le 12/10/2022Optez pour une balade à deux roues sur la voie verte de Salies-de-Béarn ! Mécanique ou électrique, choisissez votre vélo pour ces 16 kilomètres aller/retour de randonnée niveau facile. La pause gourmande en bordure de gave vous donnera l’impulsion pour le chemin du avec les randonneurs en Pays L'Islois - Côte de Champvermoi à Mandeure. Randonnée et balade, Vie associativeL'Isle-sur-le-Doubs 25250Le 19/10/2022L'association Randonneurs en Pays L'Islois vous invite à participer à l'une de ses marches. Mercredi 19 octobre 9h. Côte de Champvermoi à Mandeure. Organisateur, Daniel Toulouse tel 03 81 96 83 33. 9 km, marche facile. Emporter de l’eau, un pique-nique, des vêtements adaptés, de bonnes chaussures de marche, éventuellement, 1 ou 2 bâtons de avec les randonneurs en Pays L'Islois - Boucle d’Arcey par Gonvillars et Villers sur Saulnot. Randonnée et balade, Vie associativeL'Isle-sur-le-Doubs 25250Le 06/11/2022L'association Randonneurs en Pays L'Islois vous invite à participer à l'une de ses marches. Dimanche 6 novembre 9h. Boucle d’Arcey par Gonvillars et Villers sur Saulnot. Organisateur, Daniel Toulouse tel 03 81 96 83 33. 9km, marche facile. Emporter de l’eau, un pique-nique, des vêtements adaptés, de bonnes chaussures de marche, éventuellement, 1 ou 2 bâtons de "Haranbeltz et Soihartze - Chemins creux, sources et chapelles" Sports et loisirs, Randonnée et balade, Nature - EnvironnementSaint-Palais 64120Le 18/11/2022Une marche agréable qui alterne entre les belles fermes bas-navarraises, les bois d’Ostabat et le point culminant avec sa table d’orientation. On empruntera le chemin des pèlerins qui passe par la chapelle de Soihartz. Qu’ils soient de passage ou paysans, les hommes et les femmes ont façonné ce territoire, en y laissant des traces sentier séculaire, chapelle, lavoir, source... Sortie à la demi-journée, covoiturage de 10 min depuis St Palais. Nombre limité, inscriptions obligatoires. Niveau facile, 190 mètres de dénivelé, 7 km. Pass selon mesures nationales en avec les randonneurs en Pays L'Islois Randonnée et balade, Vin - OenologieL'Isle-sur-le-Doubs 25250Le 04/12/2022L'association Randonneurs en Pays L'Islois vous invite à participer à l'une de ses marches. Dimanche 4 décembre 14h30. Marche autour de l’Isle sur le Doubs, suivie du vin chaud au marché de Noël. Organisateur, Pierre Dornier tel 03 81 92 72 23. Marche facile. Emporter de l’eau, un pique-nique, des vêtements adaptés, de bonnes chaussures de marche, éventuellement, 1 ou 2 bâtons de avec les randonneurs en Pays L'Islois autour de Vaureuche Randonnée et balade, Vie associativeL'Isle-sur-le-Doubs 25250Le 16/11/2022L'association Randonneurs en Pays L'Islois vous invite à participer à l'une de ses marches. Mercredi 16 novembre 9h. Vaureuche. Organisateur, Eugène Tribout tel 03 81 96 84 73. 10km, marche facile. Emporter de l’eau, un pique-nique, des vêtements adaptés, de bonnes chaussures de marche, éventuellement, 1 ou 2 bâtons de - Saint-Jean-Pied-de-Port et alentours jeudi en juillet-août Randonnée et baladeSaint-Jean-Pied-de-Port 64220Du 01/01/2022 au 31/12/2022Tous les jeudis, en juillet et en août. Après un briefing sur le matériel et une période de prise en main, nous partirons pour 1 heure 30 de randonnée au départ de Saint-Jean-Pied-de-Port. Vous découvrirez les alentours et des points de vue uniques sur la cité fortifiée. Découvrez vite ce moyen ludique de visiter la région ! Point de rdv VVF de Saint Jean Pied de Port. Niveau Facile. 1h + 30 min briefing / équipement et prise en main. A partir de 12 ans. Trottinette, casque et gants fournis. Randonnée organisée et encadrée par un guide diplômé. Chaussures fermées obligatoires. Réservation obligatoire.
Nentre pas docilement dans cette douce nuit, Le vieil âge devrait brûler et s'emporter à la chute du jour ; Rager, s'enrager contre la mort de la lumière. Les hommes sages savent à leur fin que l'obscur est mérité, Mais parce que leurs paroles n'ont fourché nul éclair, ils N'entrent pas docilement dans cette douce nuit. Les hommes bons, passée la dernière vague, criant
Harry Potter 2005 ~¤~ Londres ~¤~ Chemin de Traverse Re Dans un coin sombreInvité, le Dim 7 Jan - 134 Hey c’est Jacquie. Oui encore moi. Je ne vous lâcherai pas d’une semelle. C’est ma vie qui est en jeu, j’ai donc le droit d’intervenir, de donner mon avis et d’avoir le dernier mot. Je ne suis pas là pour jouer avec toi, mais pour prendre de vraies décisions. Regarde le grandir, comme toi et moi. D’un petit enfant tout gentil, je suis devenu un adolescent à deux facettes. Le voici avec ses amis, ils ont des histoires, ils ont tout leur temps, pour toi. C’est vrai et faux en même temps. J’ai quelques personnes que je fréquente avec qui je parle souvent de mes problèmes, de ma vie. Mais les autres ne sont que des connaissances à mes yeux, ça ne va pas plus loin. Je ne vais pas discuter de mes idées suicidaires avec quelqu’un que je viens à peine de rencontrer. Enfin bref, je suis Jacquie, je ne suis plus seul dans ce coin sombre mais je suis toujours autant là cette petite fille perdue. Pourquoi vient-elle te déranger pendant que tu t’enfonces encore plus sur la route de la liberté ? Ne la laisse pas te distraire. Si tu veux aller mieux, il faut aller au bout de tes idées. La mort n’est pas une fin en soi. Elle est juste un moyen de repartir à zéro dans une autre vie, le tout sans avoir de soucis. Aller de l’avant, ne pas regarder derrière soi. En plus, elle veut partir à la recherche de la lumière avec toi. C’est une très mauvaise idée. C’est juste un prétexte pour que l’on puisse se sentir mieux. Mais cette lumière n’existe pas en fait. On s’accroche désespérément à quelque chose pour ne pas avouer que tout est fichu. Que la vie à quitter notre âme et seul notre coeur maintien notre corps meurtri en vie. Alors tu vas me faire le plaisir de mettre fin à cette discussion, et de t’enfoncer dans un nouveau coin sombre pour que personne ne puisse te déranger. Tu as une tâche à accomplir, fais le au plus vite. Pas de remords, pas de passé, juste un futur nouveau qui s’offre à toi. Hop hop hop. Attends deux minutes. Cette rencontre inattendue peut peut-être changer les choses et toi tu veux rester une nouvelle fois seul pour mourrir en paix ? Sauf qu’après la mort, il n’y a rien. Tu n’existeras plus, ton âme sera déconnecté. Toutes les personnes que tu aimes ne seront plus là. Elles vont pleurer ta mort et cela va sûrement leur faire plus de mal à eux qu’à toi. Voir les personnes qui te sont chers souffrir, c’est ça que tu veux ? Les obliger à accepter ton absence ? Je ne crois pas que ce soit la bonne solution. Cette jeune fille que tu as dérangés, et qui souhaite en plus rechercher la lumière, tu dois la suivre. Elle aussi à peut-être des problèmes. A deux vous êtes plus fort. Et puis ce n’est pas dans ton genre de refuser d’accompagner une jeune demoiselle. Tu verras, quand tu trouveras cette fameuse lumière, tes problèmes prendront une plus petite place dans ton esprit. Fais confiance à ton coeur et pas à ce démon débile qui veut juste que tu meurs. Il ne t’aide pas, il te corrompt. Ce n’est pas ton ami. Ok, me revoilà face à la réalité. Je suis là debout à côté de cette mystérieuse fille. Elle veut que je l’accompagne pour que l’on puisse réussir la quête de la recherche de cette fameuse lumière. Je ne sais pas si c’est une bonne idée. Pour commencer, je ne sais pas qui est cette personne, je ne sais rien d’elle. Comment est-elle arrivée là ? Même moi j’ignore comment j’ai pu atterrir ici. C’est peut-être un signe du destin. Ou alors une aide divine afin que je conserve ma vie. Je ne suis pas croyant, pourtant cette idée me trotte dans la tête. Sommes nous sur Terre pour accomplir quelque chose qui est déterminé dès notre naissance ? Ai-je une tâche à réaliser avant de mourir ? Mon heure n’est peut-être pas venu après tout. De plus, cette inconnue doit me prendre pour un dingue. Je mets énormément de temps pour lui répondre. Je n’ai même plus conscience du temps qui passe ni de l’environnement qui m’entoure. Je suis comme dans une bulle en suspension dans le vide. Il est temps de prendre une décision, et surtout la bonne. Jacquie ne sait pas trop quoi faire. Il tente à nouveau de cerner son interlocutrice mais rien à faire, tout est trop flou. Seule sa voix lui permet de comprendre qu’il s’agit d’une fille. Et puis elle parle d’un Xavier, des étoiles. L’adolescent ne comprend pas grand chose. Entend-elle aussi des voix dans sa tête ? Cette rencontre est des plus étrange. Mais la curiosité a toujours été une qualité ou un défaut selon le point de vue pour Jacquie. D’un mouvement de tête il essaya intérieurement de virer l’ange et le démon qui partagent son esprit afin d’essayer d’avoir les idées claires. Il inspira un grand coup et d’une voix pas vraiment rassuré, répondit Heu … Oui je veux bien chercher la lumière avec toi mais avant d’y aller, j’aimerai savoir où nous sommes. Comment t’appelles tu ? Pourquoi sommes nous ici ? » Gaëlle PanyellaSerdaigle Re Dans un coin sombreGaëlle Panyella, le Dim 14 Jan - 2158 Viens ! Toi, Mary ! Au pays des Schtroumpfs ! Des petits êtres bleus ! comme toi ! Oh. Mais c'est vrai ça. Je suis toute bleue. Mes mains, mon visage. Mes pieds et mes ongles. Mes cheveux aussi. Tout est devenu bleu. Chouette ! Je serais la plus bleue des bleue de l'univers ! Tout est merveilleux ont-ils promis. Je dis oui, une, deux, trois quatre cinq six sept huit neuf dix fois ! Enfin un endroit sympathique et simple à vivre. Il était temps ! Puis on me dit dans l'oreille qu'il existe un chemin. Peut-être qu'ils connaissent aussi la direction de la lumière. Peut-être qu'il faut les rencontrer pour la trouver ! Et en plus ce n'est pas loin. Que demande le peuple ? Rien de plus, rien de moins, nous sommes paré pour la grande aventure, même Bill est prêt, je ne vois pas comment tout ça aurait pu mal se finir. Vraiment pas. Il y a un grand ! un grand sage Schtroumpfement génialissime et le farceur, c'est Schtroumpf aussi ça le grognon sera un peu moins drôle, mais lui il y a moyen de faire quelque chose pour lui rendre le sourire, j'en suis certaine. Sûre certaine américaine Puis la belle Schtroumpfette fera tourner des coeurs ! Eh toi, la petite tête toute triste ! Qui sait ! Ah, qui sait hein ? Va ptet te rendre le sourire la jolie gamine !Ou alors le Schtroumpf bricoleur pourra nous réparer le coeur avec sa clef à molette, ça peut aider les clef à molettes, elles sont généralissime quand certaines choses vont malLe reste j'en parle pas, y'a assez de démons comme ça alors vaut mieux ne pas trop sombrer dans des pensées bourrée de négatif, j'ai autre chose à faire que pleurer. Comme, pleurer en fait. Puis c'est ce retour en enfance qu'il m'inspire, depuis les étoiles des Winx, comme si le fait de se sentir plus petit empêchait de s’apitoyer. À moins que ce soit son visage triste qui m'inspire une étincelle de peine. Parfois le malheur d'autrui empêche un peu de se sentir mal, comme si on en avait pas le droit alors que si mais le cerveau décide que non, et quand cet idiot décide quelque chose on sait très bien que c'est compliqué de lui sortir " nan mais en fait tu dis des bêtises " donc voilà il faut se taire et rester un être bleu bien comme il faut tu vois que t'es pas si bête ! Merci Stella c'est encourageant ça regarde l'être se dessiner devant moi de plus en plus précis, mes yeux s'accommodent au sombre des lieux et ça c'est plutôt chouette, comme une chouquette saperlipopette ! Et il pose des questions donc il faut répondre c'est la moindre de choses, puis je sais à quel point les pourquoi peuvent être tuant lorsqu'ils restent des réponses plus vagues que floues. Nous sommes dans l'espace évidemment parce que la Terre y est donc nous aussi c'est logique Je m'appelle Mary bon ça c'est pas compliqué mais il vaut mieux préciser mais derrière moi il y a Xavier, Stella, Sourire et Sun, je ne sais pas si tu sauras les voir mais au pire c'est pas grave, quant à la dernière question un jour on ne t'a pas demandé ton avis pour savoir si tu voulais exister ou non, et depuis ce jour tu existes, c'est pour ça qu'on est là et maintenant passons aux choses sérieuses !J'attrape sa main, allume le morceau de bois qui repose entre mes doigts libres puis commence à courir dans une direction qui me semble moins moche que les autres en déclarant que les Schtroumpfs m'ont dit qu'il fallait suivre le chemin pour aller chez eux, et la lumière elle est là-bas ! et du coup vu qu'ils l'ont dit, ça doit être la vérité, je vois pas pourquoi ils mentiraient de toute façon et maintenant que nous en sommes, et bien il faut retourner à la maison ce qui est logique ! Shae L. KeatsGryffondor Re Dans un coin sombreShae L. Keats, le Lun 19 Fév - 202 RP uniqueIl y a la nuit noire, les heures perdues entre Minuit et cinq heures, celles où tout peut arriver. On ne sait jamais vraiment ni où ni comment elles passent mais c'est celles que je chérie le plus, le trou de la nuit dans lequel on a pas besoin de se cacherles trois-quart d'heures de vie de pleursles seuls où l'âme se fait encore violence. J'suis à ma propre adrénaline dans les rues de la villeune fois passée l'heure du sais pas ce que je fais, ni pourquoi j'en suis mais j'erre dans Londres, entres les façades de pierres où le lierre meurt sous terre. J'ai une botte trop grande pour moi, trouvée dans la boite à trésors des trois balais, une autre à ma taille, plus banale qu'autre chose, y a le cliquetis de métal au poignet, une chaine trouvé dans une paire de gant à Aza ou à Pius, un bracelet de l'un ou l'autre dont aucun ne remarquera sûrement la disparition, j'ai besoin de morceaux de gens pour m'accompagner. Ça me rassure, ça fait du poids et le contour. J'ai les dessins de gosses et les phrases sur ma peau, celles faites pas un moldu sous emprise, pour qu'il imprime les souvenirs sur ma peau, ça fait un peu mal, mais contrairement à l'autre, ils sont indélébiles. Alors je claque les semelles sur les pavés, il pleut un peu, on se croirait au début d'un mauvais film d'épouvante. Je sais où je vais. Il y a quelques rues un orphelinat sorcier. Quelques semaines que l'idée germe déjà, j'ai besoin d'un motif de survie, et la pensée pour laquelle je me flagellerai plus tard qu'Enzo ne suffira pas, parce que si je disparais, le petit aura au moins une mère. J'ai besoin de quelqu'un qui ne dépend que de moi. D'offrir ce que mes bras ont à donnercréer au lieu de détruireet voir grandir. Quelqu'un qui n'aura pas mes gênes pour lui pourrir le monde. Alors j'ai réfléchi. Prendre un enfant qui n'a plus rien et lui offrir une vie. S'en offrir une aussi, une raison d'être, de faire et d'avancer, j'ai désespérément besoin de moi même. De lui ou d'elle. Alors la solution la plus simple, pour éviter l'enquête à mon compte, pour ne pas prendre l'enfant de quelqu'un. Pour arrêter de détruire en cherchant à créer, j'ai choisi un orphelinat simple, oublié. J'aurais pu choisir un moldu, mais ça aurait été tenir l'enfant écarté du monde qui était le mien, et je ne voulais plus avoir à me cacher, alors cracmol, je n'en avais que fairel'enfant ne manquerait à personne. La cape masque la forme de ce corps d'emprunt, je me suis j'ai musclé ma carrure, pris les traits d'un autre que nul ne reconnaîtrait. Pour plus de sécurité, les prétexte viendrait plus tard, petit neveu orphelin, cousin en vacances il me faudrait trouver, les procédures d'adoption n'ont pas l'air si conséquences viendraient plus observé le lieu ces derniers jours, je savais que l'homme sortait toujours à une certaine heure, pour fumer. Alors j'ai attendu, et cinq minutes plus tard, il était à mes côtés. Me faire passer pour et prétexter demander du feu pour m'approcher, et alors lancé le premier impero. Et faire mouche. Il ne lui fallut pas longtemps pour modifier le sort qui entourait l'enceinte et me laisser entrer. L'impression de déjà vu qui me renvoyait à une certaine porte a grincé comme une scie à métaux, je me suis quelques instants mais il n'y a eu aucun mouvement. Alors j'ai refermé derrière moi et je me suis à l'intérieur. Je suis arrivée dans les cuisines. Y avait une vieille odeur de friture, nous étions vendredi, repas de fêtes sûrement, le repas détente, celui où on lâche doucement la panse. J'ai senti les odeurs, ouvert les portes pour en trouver la sortie, à commencer par celle du cellier. Ce sont les odeurs de cannelles et de gingembres qui m'ont les premières. J'ai continué, sans poser mes mains nulle part, à fureter dans les recoins, à tout sentir, tout toucher, pour comprendre ce qui avait bien pu faire l'univers de l'enfant. Tout ce qu'il connaissait, ce qu'il savait. La dernière porte s'ouvrait sur un couloir. Une odeur d'humidité, légère, comme celles qu'on essaie de chasser, les derniers relans de nuit, les dernières gouttes d'huiles essentielles pour effacer la misère. Il y avait dû y en avoir des larmes dans ce couloir qui menait aux chambres et aux bureaux. Ils n'en chasseraient jamais l'humidité. Le carrelage ne faisait pas un bruit alors que je m'y avançais, toujours suivi par l'homme. Je passais devant les bureaux des surveillants, une fin filet de lumière qui filtrait sous la porte, j'informulais un Collaporta pour m'assurer qu'elle resterait en l'état. Et je continuais ma route. J'arrivais à l'étage des chambres. Je devais être dans le coin des petits, et ce serait plus simple ainsi, ne pas croiser le regard des plus grands et devoir leur expliquer qu'on ne peut pas les emmener. Comment choisir un enfant. Croiser les regards des petits, et devoir décider auquel donner une vie, auquel la refuser. Alors j'avais marché le long du couloir, jetant un œil sur les portes jusqu'à en trouver une sur laquelle il n'y avait qu'un nom, voilà qui m'empêcherait d'avoir à choisir entre deux enfants dormant côte à côtemon cœur fendue aurait penser aux deux. Oliver Smith ?11 mois. Je songeais un instant qu'il me faudrait le rebaptiser. Le nom me trottait déjà en tête, mais il s'apposerait plus tard. Je passais mon chemin, allait jusqu'au bureau de l'étage, pour que nul ne se doute qu'il y avait un soucis, pour que l'alarme se désactive. Je le trouvais comme prévu occupé, du moins c'est ce que m'appris le mince filet de lumière qui filtrait sous la porte. Alors m'appuyant contre elle, j'attrapais ma baguette, et tentant de conserver mon calme, je soufflais quelques secondes avant de faire pivoter brusquement la porte pour me trouver nez-à-nez avec une pièce vide. Je comprenais alors que l'homme a mes côtés était le responsable de l'étage, ce qui me simplifiait la tâcheJe n'aimais pas l'imperopriver les gens de leur contrôle. Mais le cas l' me suivant docilement, il m'accompagna jusqu'au chevet de l'enfant. Il ne dormait pas. Il nous regardait avec de grands yeux bien éveillés, et je compris alors que, je n'aurais jamais pu faire un choix si tous les enfants m'avaient ainsi. Alors j'ai rendu la main et je l'ai laissé attraper mon doigt. Le sentir, le mordiller, je l'ai laissé appréhender. Il lui faudrait vouloir de moi autant que je voudrais de lui. Et contre toute attentejusqu'à en faire trembler mes jambesil a souri. Je l'ai pris dans mes bras. Doucement, la peur absolu de le casser tant il paraissait fragile. J'avais peur de tout ce qui pourrait lui arriver désormais. Sa tête avait l'odeur si significative qu'on celle des bébés. Un mélange de crème et de fleur d'oranger. J'aurais pu passer des heures ainsi, mais le temps pressait. Nous sommes sortis de la chambre, et je suis en face de l'homme qui se tenait à mes ordres. Le sort durerait quelques temps, mais je n'avais qu'un ordre pour lui, je ne renouvellerais jamais mon emprise sur lui. Dites-leur qu'il y a eu une erreur, que l'enfant avait encore un parent. Qu'ils sont venus le chercher. Falsifiez les documents nécessaires. Je ne veux pas qu'on nous retrouve. Et en le remerciant je m'enfonçais dans le couloir. Transplaner ici me serait impossible, bâtiment sécurisé, sans l'être au fond, les alarmes nocturnes sur les chambres plutôt que sur le bâtiment pour qu'elles ne se déclenchent pas au cours des allées et venues diurnes. Je passais discrètement devant les bureaux du bas lorsque la porte s'agita sous l'emprise d'une main alors qu'une exclamation d'incompréhension semblait s'élever de l'autre côté. Il faudrait peu de temps pour qu'ils sortent d'ici, alors sans demander mon reste, je disparaissais, repassait rapidement par la cuisine et la porte de sortie que je verrouillai derrière moi, nous rendant, l'enfant et moi, aux caprices de la nuit. Et pour brouiller les pistes je m'éloigner de quelques pas avant de, le serrant contre moi, disparaître dans un Crac. Ce soir le Shae que la vie avait gravé sur mes osSe voyait rejoint d'un autre nom De sept lettres, jeté en pâture dans la nuit dans un édition par Shae L. Keats le Dim 11 Nov - 1431, édité 1 fois Hillarius LudwigSerdaigle Un trou dans la CoqueHillarius Ludwig, le Dim 4 Mar - 2018 *RP avec Kalèn Bloom*Quelle agitation ! Quelle foule ! Ca parlait anglais de partout ! Tout allait si vite depuis son arrivée à Londres. A peine le temps d'avoir dit au revoir à sa tante de Wetherby, qu'il était arrivé, accompagné de son père Maximus et de son frère Ballio, dans une rue bondée qu'il ne connaissait pas. En tout cas ça sentait rudement bon la foule.*Bienvenue au Chemin de Traverse, les garçons ! *Leur père leur parlait encore français quelques fois. C'était sa manière à lui de les rien dire, Hillarius lâcha le bras de son père et accéléra le pas.*Je veux un chat, Papa ! Un chat tout blanc ! *Maximus soupira. Son fils ne tenait pas en place. Entendant les appels de son père derrière, lui le gamin, passa rapidement entre les robes et les vestes, se faufilant un chemin dans un bruissement de tissu. Il s'abandonnait à l'inconnu, et faisant cela il savait pertinemment que son père allait le perdre, soupirer, puis se fâcher un peu peut être. Mais surtout il allait être inquiet. Peu importe pour l'instant, il se sentait libre, décollé de son frère ennuyeux et bougon. C'est comme si une grande porte immense venait de s'ouvrir. Il chercha des yeux ce dont il aurait besoin... Une baguette?Des livres? Hillarius recula pour essayer de lire les grandes devantures, trop hautes pour lui. Mais son attention fut détournée par le miaulement d'un chat gris derrière une vitrine de magasin juste derrière sa petite tomba en admiration devant le petit animal poilu et resta un instant à lui parler tout bas quand soudain, une main froide se posa sur sa nuque. Il se retourna en sursaut, ses grands yeux ouvert. Ballio !*C'est pas drôle, Hilly. C'est vraiment pas drôle. La prochaine fois je te laisserais te perdre tout seul. Et ni Papa, ni moi on viendra te récupérer, t'as compris?*Hillarius fit mine de l'écouter une seconde, puis son regard dévia sur autre chose qu'il semblait suivre des yeux avec intérêt.*Dis, tu m'écoute?!*Le jeune sorcier redescendit lentement les yeux sur son frère, et à son grand sourire gribouillé sur sa tête pâle, Ballio compris qu'il se fichait de sa tête en faisant mine de l'ignorer.*T'es vraiment un abruti. Maman aurait honte de toi.*Le sourire d'Hillarius s'évanouit. A la place, une expression innocente s'afficha sur son visage.*Maman? Mais elle est partie Maman. Elle nous a laissé avec Papa parce qu'elle s'en fiche de nous. Non? Et tu le sais très bien. Je suis petit mais je suis pas idiot, tu sais.*Grand sourire de nouveau. Comme s'il venait de commenter la couleur de son baffe. Une joue toute rouge. Hillarius frotta sa joue avec étonnement.*Les enfants ! Ah, les garçons vous êtes là. Hilly...* Le père s'arrêta un instant puis s'agenouilla. Il posa la main sur la joue de son fils, l'embrassa, puis lança un regard sévère à Ballio. Celui-ci maintint son regard fiché dans celui de son père. Le garçon avait les yeux de sa mère. Et le même regard sombre.*Ballio, arrête*Il se releva*Ne me regarde pas comme ça*Sans un mot, Ballio se rapprocha de son père, prêt à reprendre sagement la route.*Pardon*Ils restèrent tous les trois au milieu de la Rue un instant. Sans rien dire. Hillarius regardait son père, presque avec tristesse, balançant son bras, en attente qu'il dise quelque chose. C'était la première fois que celui semblait réellement désarmé. Encore quelques secondes lourdes. Puis tout d'un coup son visage s'alluma de nouveau, presque mécaniquement lorsqu'il aperçut dans la foule une jeune femme. Apparemment il la connaissait. L'homme s'activa de nouveau pour aller lui parler, invitant ses fils à le suivre. Hillarius lança un regard vide mais que Ballio savait chargé de ressentiment, vers son frère. Puis les garçon suivirent leur géniteur pour aller à la rencontre de cette inconnue. Invité Re Dans un coin sombreInvité, le Lun 5 Mar - 2002 Une paupière se soulevant doucement, libérant la candeur de l'iris bleuté, encore voilé par le sommeil. Kalén se retourna sous ses draps, enfouissant sa chevelure bouclée sous les oreillers, masquant son visage de son éclat cuivré. C'était son jour de congé aujourd'hui. Son travail au Ministère occupait la quasi totalité de son temps, et, généralement, elle profitait de son jour de libre pour faire une bonne grasse pas aujourd'hui. Elle s'était forcée à mettre un réveil pour profiter des ses quelques heures de liberté, censées s'égrainer au Chemin de Traverse. Délaissant à regret son lit beaucoup trop chaud pour être ainsi abandonné, elle appela à elle une robe propre, sortie tout droit de son placard. Le vêtement la suivit dans la salle de bain en lévitant tranquillement derrière elle et, quelques minutes plus tard, Kalén en ressortait, ou deux coups de baguette, une tasse de thé et une grande cape sombre jetée sur ses épaules plus tard, elle sortit sur le pas de sa porte, ignorant la barque pour lui préférer un transplanage efficace. La chaleur du Nest allait lui manquer ce matin, mais elle serait rapidement de retour avec ses le mois d'août annonçait un Chemin de Traverse plein à craquer de jeunes Poudlariens avides de fournitures scolaires, et elle tremblait déjà d'effroi à l'idée des magasins bondés de gamins criards et mal élevés. Poussant un léger soupir, elle pivota sur elle-même et disparut dans un craquement, en direction du Chaudron Baveur.*L'ambiance du pub changeait de l'atmosphère venteuse du Pays de Galle. A cette heure déjà, de multiples sorciers et sorcière se pressaient au bar, discutant et riant autour de pintes remplies à ras bord. Saluant d'un signe de tête les deux ou trois sorciers qu'elle reconnaissait parmi la foule, elle se dirigea vers l'arrière cour et ouvrit le passage vers la rue elle le craignait, l'endroit était bondé. Réprimant un nouveau soupir, elle entreprit de se faufiler dans cette masse grouillante. Passer à la BAM d'abord. Une fois le Niffleur acheté, elle pourrait rapidement s'isoler dans la tranquillité de l'Allée des Embrumes. Il faudrait se rendre chez Barjow & Beurk, pour un achat, certes, mais Kalén avait aussi envie de revoir Aya. Depuis leur dernière rencontre au Chaudron Baveur, elles n'avaient pas encore eu l'occasion de se recroiser. Ignorant les enfants pressés devant la somptueuse vitrine des Halles Magiques, admirant les balais et autres accessoires de Quidditch entreposés dedans, elle allait pénétrer dans la Boutique d'Animaux, lorsqu'une voix l'interpella. Tournant la tête avec curiosité, Kalén aperçut un visage émerger de la foule, un visage tout droit sorti des tréfonds de son passé."Maximus Ludwig ! Toi ici, ça c'est une surprise ! Comment vas-tu depuis le temps ?"Maximus avait été un jeune ami de son père, alors que ce-dernier enseignait encore la Métamorphose à Beauxbatons. Elle se souvenait de lui, alors qu'il n'était encore qu'un jeune adulte, et qu'elle-même n'était que petite fille. C'était une étrange réminiscence que de le retrouver là, à Londres, en train de faire ses emplettes au Chemin de Traverse. Derrière lui, deux silhouettes se découpaient dans son ombre, un adolescent grognon que Kalén salua d'un signe de tête et d'un sourire poli, et un plus jeune garçon à l'allure candide et aux vêtements trop grands."Bonjour toi, fit-elle avec un sourire espiègle et un air pétillant dans les yeux. Laisse-moi deviner, tu entres à Poudlard cette année ! Je me trompe ?" Hillarius LudwigSerdaigle Re Dans un coin sombreHillarius Ludwig, le Lun 5 Mar - 2152 "Ca.. Ca va très bien et toi? Effectivement ça fait... très longtemps, c'est le moins que l'on puisse dire. Qu'est-ce que tu devient? Depuis tout ce temps?" Hillarius leva les yeux sur cette jolie femme aux boucles brunes. En la voyant s'avancer vers eux et commencer à discuter avec son père, il sortit distraitement de sa grande poche une petite boîte à biscuits en fer. Il n'écoutait plus trop ce qui se disait, il attendit simplement que les deux adultes finissent de parler d'eux, et viennent lui parler à lui. Il savait que son père n'allait pas tarder à le présenter, il fit juste mine de ne pas faire attention, de jouer l'étourdi. De préparer le terrain. En ouvrant la boîte toute grise argentée, il prit une fine galette au sésame qu'il fit craquer d'un coup entre ses dents, les yeux dans le vide. Puis tout d'un coup il entendit son nom et leva de nouveau la tête, écarquillant les yeux. "Hillarius, " fit son père, "Tu es toujours là? On te parle, mon grand !" La dame le regardait en souriant, ses yeux bleus fixés sur lui en attente d'une réponse. Le jeune sorcier déglutit et ne sachant que répondre, tendit rapidement sa boite en fer, presque sur la pointe des pieds, vers l'inconnue en lançant du tac au tac, "Bonjour Madame, je m'appelle Hillarius. Vous voulez un gâteau? C'est mon Papa qui les fait !"Le coup du biscuit gratuit, ça marche toujours pour faire bonne impression devant les adultes. Et il voulait donner bonne impression. Derrière, il sentit le regard noir de Ballio fixé dans son dos. Mais peu importe. Il se fichait pas mal que son frère reste en retrait tout le temps face aux autres. C'était à lui qu'on avait adressé la parole, pas à Ballio. Et ce, pour une raison très simple. Il avait toujours moins séduit que son cadet. Moins bavard, moins extraverti. Et Hillarius comptait bien en profiter. Ballio leva les yeux au ciel, irrité de cette mise en scène. Il connaissait bien son frère et savait bien que tout ce jeu n'était là que pour s'attirer les faveurs de tout le monde. Il regarda son père réagir. Celui passa une main dans ses longs cheveux blonds, aussi mal peignés que ceux de son plus jeune fils, l'air gêné et amusé. "Excuse mon fiston, Kalèn. Il est un peu tête en l'air. Pas vrai?" Dit-il en lui jetant un regard qui se voulait faussement sévère. "J'espère que tu seras plus concentré pendant tes cours, mon grand" Puis il se tourna vers Ballio. Et d'un ton moins léger lui lança "Mais lui au moins, il dit bonjour.."Ballio resta immobile un petit moment, légèrement crispé. Puis il s'avança d'un demi-pas en hochant la tête. Hillarius pouvait remarquer que ses mains dans son dos s'agitaient l'une contre l'autre, signe récurrent que son aîné allait faire quelque chose qu'il détestait faire être poli. Il lâcha, un court. "Bonjour."Maximus lâcha un soupir. Puis regarda Kalèn avec ce sourire à bascule, gêné, qu'elle connaissait si bien. Celui que, même jeune, il avait en s'excusant de tout et de rien. "On allait... justement acheter une baguette pour mes fils. Et toi? Qu'Est-ce qui t'amène par ici?" Invité Re Dans un coin sombreInvité, le Sam 10 Mar - 231 "Eh bien, après Poudlard j'ai intégré l'Ecole des Aurors. Depuis un an je travaille au Département de la Justice Magique de Londres, au Bureau des Aurors. Je dois dire que c'est un travail très prenant, mais qui me laisse un peu de temps pour m'adonner à des recherches sur l'image animée. J'ai acheté une maison au Pays de Galles, près de celle de papa. Là j'ai pu y aménager un coin entièrement dédié à l'enchantement d'appareils de projection moldus. Et toi ? Que fais-tu à Londres ? Je te pensais encore en France !"Le jeune garçon à qui elle s'était adressée semblait perdu dans ses pensées. Lorsque son père l'en sortit, il sembla sortir tout droit d'un rêve, et brandit la boite en fer qu'il tenait dans ses mains, avec une spontanéité qui arracha à Kalén un grand rire franc qu'elle jeta dans le brouhaha déjà conséquent de l'Allée. Le petit était une belle allégorie de la douce naïveté de l'enfance, ses boucles blondes lançant des reflets à la ronde, et quelques graines de sésame encore collées à ses babines. Approchant sa main de la boite tendue, elle se saisit d'un biscuit et croqua allégrement dedans."Mmmh ! C'est délicieux Hillarius, tes biscuits sont très bons, et ton Papa très doué !"Elle adressa un grand sourire à Maximus, et avala sa bouchée avant de répondre à Maximus."Oh, ne t'en fais pas, tu sais que j'étais un peu pareil quand j'étais petite, fit-elle en adressant un clin d’œil au blondinet. Alors, c'est la grande rentrée cette année ?"Elle se pencha soudainement vers l'enfant, et ancra ses deux prunelles gelés dans ses iris d'améthyste."Tu sais qu'on raconte qu'un monstre géant hante les sous-sols du château ? Personne ne l'a aperçu depuis cent ans, mais certains élèves racontaient l'entendre dans leur sommeil..." murmura-t-elle, le visage figé, la bouche entr'ouverte, lui laissant clairement admirer l'air dément qu'elle affichait à aussi soudainement qu'elle s'était courbée dans sa direction, elle se redressa et reprit d'un ton parfaitement normal."Tu as déjà une idée de la maison dans laquelle tu te retrouveras ?"Alors qu'elle parlait au petit Hillarius, l'autre jeune homme venait de s'avancer pour la saluer. Laissant ses lèvres s'étirer en un sourire pétillant, qui laissait sa fossette se fendre au coin de sa bouche, elle le regarda, ses yeux brillant comme glace fondant au soleil."Bonjour Ballio, tu entres aussi à Poudlard ? Ça va, pas trop d'appréhension pour la répartition ?"Elle laissa ses iris posées encore un moment sur le garçon, détaillant sa silhouette maussade, son allure et ses traits. Il ne ressemblait pas beaucoup à son petit frère, les deux étaient très différents... mais respiraient chacun une singularité intéressante. Laissant de nouveau son attention se focaliser sur Maximus, elle ouvrit la bouche."Ah ! La baguette est un achat formidable. Profites-en, fit-elle à l'adresse du Petit Garçon Sésame, la première rencontre avec ta baguette est un moment unique que l'on vit pas une deuxième fois. La sensation est incroyable !"Puis elle désigna la Boutique d'Animaux Magiques d'un petit signe de tête."Oh, il fallait que je passe à la BAM pour m'acheter un Niffleur. Cela fait longtemps que je rêve d'un animal de compagnie affectueux, et Lyra, ma chevêche commence à se faire vieille. Je l'ai acheté juste avant de rentrer en Première Année, tu devrais y songer, ajouta-t-elle pour Hillarius. C'est très pratique d'avoir sa propre chouette pour envoyer du courrier."Baissant légèrement la voix, elle reprit à l'adresse de son père."Je dois aussi aller chez Barjow et Beurk pour un... achat professionnel, mais j'imagine que tu n'y passeras pas ?" Hillarius LudwigSerdaigle Re Dans un coin sombreHillarius Ludwig, le Sam 10 Mar - 1815 Mais c'est super ! J'en connais un que ça intéresserait sacrément. Il est féru de cinéma tu sais? Et puis moi... Je trouve ça super aussi que tu te lance là dedans. L'art moldu.. Un vaste sujet... et passionnant en plus de cela ! Quand à notre situation, et bien.. C'est un peu plus compliqué. On est arrivé depuis très peu de temps à Londres, avec les garçons, tu sais... Un soucis de famille. Un peu long à raconter. Enfin, bref, on est... très heureux d'être là. On va pouvoir s'installer chacun tranquillement dans nos petits nids. Et moi... Et bien, toujours le nez dans mes livres, figure toi. J'ai réussi à en éditer déjà un ou deux tu sais ! Disons que... je fais ce que je peux. mais j'ai été obligé de postuler pour un emploi au ministère. Seul, il faut que j'assure les frais de scolarité et tout ce qui va avec, du mieux possible... Mais ça va n'avais pas écouté. Tout ça, je le savais déjà. Mon père, qui allait encore dire que tout allait bien, qu'il ne se faisait pas de soucis. C'était faux. Lui, n'allait pas bien. Et il se faisait beaucoup de soucis pour nous. Il se démenait pour nous faire reprendre une vie normale, essayant d'effacer l'ardoise, la peur au ventre que Maman revienne nous chercher. Ce bloc de pierre glacée, mat blanc et âpre qu'était ma mère. Je ne voulais plus la revoir. Ni en entendre parler. Elle rendait déjà bien assez triste mon Papa. Après ces discussion de grands finies, Kalèn accepta mon offrande avec beaucoup d'amusement. Mon sourire s'écarta encore plus, les zygomatiques tendues."Alors, c'est la grande rentrée cette année ?""OUI ! Je vais aller à l'école ! Je suis trop content je vais pouvoir enfin faire de la magie et rencontrer plein de..."A peine ma phrase terminée que la dame au regard étrange s'était penché sur moi brusquement, une expression bizarre aux lèvres."Tu sais qu'on raconte qu'un monstre géant hante les sous-sols du château ? Personne ne l'a aperçu depuis cent ans, mais certains élèves racontaient l'entendre dans leur sommeil..."Elle m'avait coupé en plein élan. Je sentis sur mon visage le sourire tomber d'un coup. Heeeeuu... Quoi? Un monstre ?! Comment ça, un monstre? Comme dans les livres de Papa? L'histoire de la Chambre des Secrets, le Basilic, les tantaculas Géantes? Et qu'est ce que c'était que ce regard? Je me sentais traversé par ces yeux bleus fixés dans les miens. Ils me.. désarmais et me fascinais en même temps. Quelque chose de fou. Et de légèrement inquiétant. Tout aussi brusquement, la dame se releva et me posa une autre question sur un ton revenant bien plus naturel et bienveillant. L'étrange lueur de ses iris avait disparu."Tu as déjà une idée de la maison dans laquelle tu te retrouveras ?""Haha.. heu.. n-n-non ! En fait je sais pas trop. Heu... Je-je veux dire.. "Vite ! Trouver une réponse plaisante ! Amusante ! Il se sentait à découvert... désarmé? Non ! Pas désarmé. De toute façon ça n'existait pas ce qu'elle racontait. Encore des salades d'adulte, ces histoires de monstres... Hein? Ne pas y penser. Répondre ! Tout le monde te regarde !"J'aimerai bien heu... heu.. Serddo.. heu.. Serpentouffle ? "Sans réfléchir, il lançait ça, les lèvres tremblantes. *Arrête ! Les lèvres. Stop.* Elles s'arrêtèrent immédiatement. Je repris ma respiration. Mes yeux grand ouvert. Le sourire. Bien. Avec un peu de chance, sa frayeur passagère n'aura pas trop transparu. Même question pour Ballio. Celui-ci n'hésita pourtant pas une seconde."Serpentard."Bravo, merci pour cette intervention monsieur Ballio Ludwig. Vous n'auriez pas pu être plus loquace que ça. Magnifique ça pour faire plaisir à Maman. Mais qu'est ce qu'il lui trouvait à Maman, bon sang? Il pensait vraiment qu'elle allait revenir, nous prendre dans ses bras, nous dire tout bas "Vous m'avez manqué, les enfants"? Mais non ! Jamais de la vie."Ah ! La baguette est un achat formidable. Profites-en, la première rencontre avec ta baguette est un moment unique que l'on vit pas une deuxième fois. La sensation est incroyable !"C'est vrai? Je ne pouvais plus attendre, je trépignais d'impatience à l'idée d'en avoir une, de faire flotter ce que je voulais dans les airs, de lancer des Rictusempra sur mon frère, et.. Bon, d'accord. C'était peut être un peu méchant, mais c'est vrai qu'il m'agaçait en ce moment. Toujours ce regard noir. Qu'il sourit bon sang ! Ou alors qu'il se cache et qu'il se taise ! Chaque rare mot qu'il prononçait était acide...Puis Kalèn évoqua la Boutique d'Animaux Magique. Déjà dans ma tête se rallumait un feu d'artifice. J'oublia d'un coup toutes mes préoccupations futiles. Oui ! Oui, oui et OUI ! Moi aussi je voulais y aller !"Papa, papa, papa, papa !! Il faut qu'on aille à la boutique avec les animaux ! Y en a plein qui sont trop mignons je suis sûr. Madame, Madame ! On peut venir avec vous s'il te plait? S'il te plaaîît...""On va voir, attends... " me répondit mon père en essayant de me tempérer. Puis il se tourna vers Kalèn. "L'allée des embrumes... Je vois. Quel genre d'achat? Oh, non désolé, ça.. ça ne me regarde pas trop. Mais tu me connais. Ce n'est toujours pas le genre d'endroit que j'aime fréquenter... Surtout avec les enfants. "Ah bon? Qu'est ce que c'était que ça? L'allée des embrumes? Autant poser la question."C'est quoi l'allée des embrumes, Madame?" Gabin ŠprajcSerdaigle Re Dans un coin sombreGabin Šprajc, le Dim 6 Mai - 2322 Bientôt deux mois sans réponse et après une message privée sans réponse aussi, je me permets donc d'entamer mon Rp. Pv Mangemort 67. Trois années plus tôt. Le soleil s’était replié depuis plusieurs heures maintenant, laissant la noirceur inquiétante de la nuit se répandre dans les rues du chemin de Traverse. Un vent hivernal soufflait dans les ruelles étroites, depuis bien longtemps désertées par les passants. Le chemin de Traverse, vivant et animé la journée, perdait de sa splendeur une fois la nuit tombée. Les récentes attaques des Mangemorts n’avaient fait qu’encourager les sorciers à rester cloitrer chez eux, de peur d’un croiser un et de subir ses jeux de douleurs. Et on criait au scandale, contre le Ministère de la Magie, soit disant incapable de les attraper. Si seulement la population du monde magique savait le nombres d'heures que faisaient les Aurors pour essayer de les trouver. Mais comme des rats, les mages noirs réussissaient toujours à s'échapper. Seul, une écharpe autour du cou, l’Auror avançait dans l’obscurité, ses yeux l’égerment plissés à cause du vent. De la buée s’échappait à chacune de ses respirations et ses mains, emmitouflées dans d’épais gants en cuir noir, ne cessaient de trembler. Il s'était habillé rapidement, enfilant un jean et un pull en laine aux couleurs de sa maison. un accoutrement pas assez réchauffant contre les rafales de vent qui hurlaient dans la ruelle. Un accoutrement bien étrange pour un sorcier faisant parti de l'élite du Ministère de la Magie. L'américain avait essayé de s'allumer une clope, sans succès. Maudit climat anglais. Dans la ville de ses parents, il faisait bien meilleur. Cela faisait bientôt une vingtaine de minutes qu’il marchait dans les ruelles étroites parallèles au chemin de Traverse. Vingt minutes. Vingt minutes avant, il se trouvait tranquillement assis dans son canapé un livre dans les mains, un feu dans la cheminée et une tasse brulante de café sur sa table de basse. Le sorcier attendait impatiemment l’arrivée de sa douce, qui ne devait plus tarder à rentrer de son travail au Ministère. Mais la seule chose qui arriva, fût la stridente sonnerie de son téléphone portable qui brisa le silence de son douillet cocon. Une belle invention moldue, quoi que, des fois un peu trop bruyante. Matt avait du grommeler et soupirer quelques instants avant de se décider à répondre. Un numéro masqué. Que voulait-on lui vendre à une heure pareille ? Par la Barbe de Merlin, si c’était encore pour un aspirateur, il allait devenir fou ! Non, cette fois là, se ne fut pas pour un aspirateur. Une voix aigue, tremblante, empreint de panique lui demanda le rejoindre rapidement sur le chemin de Traverse. Une information importante à lui divulguer. Une information sur les ennemis du Ministère, des Aurors, les Mangemorts. Cette voix, l’américain la reconnue aisément, comme appartenant à l’un de ses indics. Un sorcier de bas étage au penchant très prononcé pour la magie noire. Sans plus attendre, l’Auror gribouilla un mot d’excuse sur une post-it pour sa douce, qu’il laissa sur la table du salon, avant de s’envoler dans un nuage de fumée dorée. Trouver une femme qui acceptait les contraintes de son travail n’avait pas été chose aisé pour le sorcier. Par chance, le destin l’avait jeté dans les bras d’une sorcière au cœur en or. Ainsi fût la raison de la présence de Matt Austin, Auror au Ministère de la Magie, dans une ruelle sombre du chemin de Traverse durant une longue et froide nuit d’hiver. Grommelant et soupirant, recherchant un indic et poursuivant sa chasse aux mages noirs. Une nuit qui le laissera à jamais marqué. Mangemort 67Mangemort à la retraite Re Dans un coin sombreMangemort 67, le Sam 12 Mai - 2118 À cette époque, je ne suis pas encore le Seigneur des TénèbresOh oui, je l'ai eu cette marque sombre qui m'enverrait directement à Azkaban. Depuis que je l'ai, j'ai ce sentiment de folie qui m'habite, toujours été présent mais enfoui attendant d'être réveillé et son heure est arrivé ! Oh oui, je le sens bouillonner et je n'en trouve plus le sommeil, trop agité parce qu'à présent je suis un Mangemort. Quoi de mieux que d'aller se dépenser dans les ruelles, surtout que j'ai une idée derrière la tête. Parce que porter le masque me permet d'apprendre beaucoup de choses. Le flux d'informations depuis que j'avais rejoint l'Ordre Noir ne semblait plus s'arrêter en apprenant chaque fois un petit peu plus sur chacune des personnes de la communauté magique. Inconnus et connus pensaient que leurs petits secrets ne sortiraient jamais mais il fallait compter les mages noirs dans cette équation et il semblait bien que nous étions plutôt doués pour écouter aux il fallait croire que c'était mon jour de chance lorsque j'appris que notre chère et puissante 70 fréquentait un Auror. Pourquoi ne pas parcourir la nuit à sa recherche ? Après tout, l'élite ministérielle nous cherche également alors peut-être qu'avec un peu de chance. Dans tous les cas, me dépenser me ferait du bien. J'en suis certain. Robe noire et masque ainsi que la baguette, tout était prêt pour une des premières sorties après avoir reçu la marque. Peut-être était-ce un peu présomptueux de ma part que de sortir seul mais je me sentais l'âme d'un lion qui dévorerait tout sur son froid hivernal se glissait là où il pouvait et me refroidissait petit à petit même si je marchais d'un pas vite. Regardant autour de moi, arme en main, action-réaction dès que possible. Mais rien, ce que c'était décevant. Et puis, au bout de longues demi-heures, voilà qu'une silhouette attire mon regard. À croire que c'est la seule personne aux alentours, le froid a eu raison des promeneurs nocturnes mais pas celui-ci, il regretterait d'avoir mis le nez dehors celui-là. - Bonsoir, une envie de se promener sous étoiles londoniennes ? Pourtant, difficile de distinguer quoique ce soit....Baguette visible, je voulais être certain que l'inconnu sache qu'il ne fallait pas prendre à la légère s'il décidait de s'en prendre à moi. Gabin ŠprajcSerdaigle Re Dans un coin sombreGabin Šprajc, le Sam 12 Mai - 2334 Voilà maintenant une bonne vingtaine de minutes que Matt recherchait l’indic l’ayant contacté, mais il ne semblait n’y avoir aucune trace de lui. Même si le fait de marcher le réchauffait un peu, ses jambes lui paraissaient lourdes et engourdis à cause du froid. L’américain souffla dans ses mains pour les réchauffer tandis qu’il grommela et pestait de tourner en rond. Il aurait mieux fait de rester au chez lui au chaud devant sa cheminée. Le sorcier nota pour lui même dans son esprit ne pas sortir une nuit d’hiver sur le chemin de Traverse. Ou sortir avec quatre mentaux, trois pulls et cinq paires de chaussettes. Le sorcier jeta un regard à sa montre au bracelet en cuir marron. Axelle était surement déjà arrivée chez lui. La pauvre, elle devait pester comme un diable. Encore une dizaine de minutes puis il s’en irait de cette épouvantable endroit. De toute manière, si il ne partait pas, il allait finir par ne plus pouvoir bouger, figé par les rafales glaciales. Puis même si elle lui faisait la tête, savoir que sa douce se trouvait chez lui, lui réchauffait le cœur. Un dernier petit tour du chemin et ensuite, un transplanage tout droit à Russell Street. Des pensées heureuses en tête, l’américain continua sa marche sur le Chemin de Traverse. Englobé par la nuit de toute par, il n’arrivait pas à distinguer les formes à plus d’une dizaine de mètres. Dix minutes passèrent et l’Auror n’avait toujours aucun signe de son indic. Il n’avait même vu aucun signe du moindre être vivant sur le chemin. Matt soupira et haussa les épaules. Il était temps pour lui de rentrer. Tout en marchant, le sorcier se décida tout de même à regarder une dernière fois sa montre. Il ne remarqua pas l’individu qui venait de sortir de l’ombre, face à lui. Ce fût la voix de l’individu qui le força à lever le nez de sa montre. Bonsoir, une envie de se promener sous étoiles londoniennes ? Pourtant, difficile de distinguer quoique ce soit.... » L’américain releva doucement la tête et fixa l’individu face à lui. Il eu aucun mal à reconnaître un adorateur des mages noirs. Après tout, ils avaient tous ce stupide masque sur la tête. Le Mangemort face à lui tenait sa baguette de manière à ce qu’elle soit des plus visibles, prêt à en découdre avec le premier venu. Manque de chance pour lui, le premier venu n’était d’autre qu’un Auror. Un Auror qui ne comptait pas fuir en hurlant de terreur. Un sourire narquois apparu alors sur les lèvres du sorcier américain tandis qu’il releva légèrement son pull pour laisser apparaître sa plaque dorée d’Auror attachée à la ceinture de son jean. - J’ai pas beaucoup de temps pour faire mumuse avec toi le masqué, une compagnie bien plus agréable m’attend. L’Auror attrapa sa baguette qui se trouvait dans son dos et la pointa en direction du Mangemort. Tu ne m’en voudras pas si je ne te déclare pas tes droits ? Je te les dirais quand tu seras bien au chaud au fond de la cellule du Ministère de la Magie. Sans attendre de réponse de la part du mage noir, Matt formula un Aresto Momunto. Espérant que son adverse se retrouve suffisamment ralenti par son premier sortilège, le sorcier américain formula ensuite un Petrificus Totalus, dont le rayon de couleur fonça droit sur le sorcier masqué. Après tout, la capture du Mangemort restait la priorité. Sa mort n’intervenant seulement si Matt s’en retrouvait forcé par la suite des événements. L’Auror ne prit pas le temps d’appeler ses collègues à la rescousse, se jugeant suffisant pour procéder à l’arrestation d’un Mangemort. Après tout, il avait combattu de nombreuses fois et il devait être en capacité de se défaire d’un mage noir. Confiant, baguette en main, ses pensées étaient tournées vers son affrontement. Ps Mangemort 67, je t'accorde mon LA si tu en as besoin. Mangemort 67Mangemort à la retraite Re Dans un coin sombreMangemort 67, le Dim 13 Mai - 923 La réponse de l'inconnu fut non-verbale... Heureusement que je portais un masque, car la surprise de tomber sur un Auror aussi rapidement me fit écarquiller les yeux. Quelle joie ! Au moins, j'étais certain de bien pouvoir m' Je pense surtout que je serai bien au chaud à Hollow après m'être occupé de toi, je pense que ma Maîtresse sera ravi que je me sois débarrassé de toi Répondis-je à ses vaines menaces. Je ne comptais pas appeler d'autres masqués, si cela se passait mal, ma marque me serait utile mais tant que je pensais pouvoir prendre le dessus. Hors de question de partager mon jouet !Alors que je m'apprêtais à réagir à sa première attaque rien ne vient ou du moins rien comme il faut, un léger ralenti d'une micro seconde que je n'avais pu remarquer que parce que j'avais voulu bouger ma baguette puis une esquive en faisant un grand pas sur la Il faut prononcer correctement les formules mon cher, sinon tu vas me faciliter la tâche et je risque de m'ennuyer. Circumglacie ! Baguette pointée dans la direction du cette température le sol devait bien être gelé par endroit, j'avais conscience que ce ne serait pas si efficace que si je m'étais assuré que la glace recouvre le sol mais j'avais une autre idée derrière la tête. Pendant que les pics mortels de glace sortait des amas de neige, j'informulai un Ango Nubes prêt à étouffer mon adversaire. Soit il mourrait en manque d'oxygène, soit il risquait de se transformer en passoire en tentant de sortir de ce nuage asphyxiant. Amusons-nous très cher, je sens que je vais pouvoir me défouler face à un adversaire expérimenté ! Gabin ŠprajcSerdaigle Re Dans un coin sombreGabin Šprajc, le Dim 13 Mai - 1339 Était-ce l’excitation du combat qui l’avait fait prononcer trop vite son premier sortilège ? Matt ne s’en y préoccupa pas très longtemps. Au milieu d’un combat, la moindre inattention pouvait couter très cher. L’Auror regard le Mangemort sauter sur le côté pour éviter son sortilège de pétrification. Le mage noir se releva vite pour contre attaquer. Il visa le sol gelé par le froid du Chemin de Traverse et des pics de glace sortirent du sol pour converger vers le sorcier américain. Son cerveau réfléchissant à toute allure pour savoir comment s’en sortir, le Serdaigle aperçu du coin de l’œil le masqué entrain de lancer son prochain sort. Baguette en main, l’Auror formula Sphaera Ignis en direction des pics qui convergeaient vers lui. Une imposante boule de feu sorti de la pointe de la baguette du sorcier et s’en alla à la rencontre des pics, provoquant une explosion aux couleurs vives. Un problème de régler. Mais le combat ne faisait que commencer. Le nuage sombre qui était sorti de la baguette du mage noir était déjà très proche de l’Auror. Matt connaissait ce sortilège, un de plus apprécié par les masqués justement. Si il restait comme un fruit au milieu du chemin de Traverse entouré par le nuage, il serait rapidement asphyxié. L’Auror recula de plusieurs mètres pour échapper au sortilège même si il se doutait que le nuage le suivrait, commandé par le Mangemort. Le meilleur moyen de stopper le maléfice de la Fumée Étrangleuse était de s’en prendre directement au sorcier le dirigeant. Le sorcier américain formula un Eolo Procella en direction du nuage. Les bourrasques de vent dissipèrent une importante partie du nuage, permettant à l’agent du Ministère de la Magie d’apercevoir son adversaire. Ne laissant pas le temps au nuage de se reformer, il formula instantanément un Terraballi Mortis. Voyons comment le masqué allait réussir à éviter le sortilège de la prison de terre. Après tout, autant qu’il commence à s’habituer à être enfermé. Mangemort 67Mangemort à la retraite Re Dans un coin sombreMangemort 67, le Lun 14 Mai - 1947 Ice&FireLe spectacle que nous avait proposé ce cher sorcier d'élite était des plus magnifiques, il fallait le reconnaître. Le feu et la glace se mariait somptueusement bien de part leur opposition, c'était superbe. Mais pas le temps de s'extasier devant tant de beauté, il fallait continuer de combattre pour que mon cher adversaire se retrouve hors d'état de boule feu s'écrasa plus loin, déjà bien diminuée de part ses rencontres avec les quelques piques de glace. Puis le vent s'éleva, ne me laissant pas croire qu'il était naturel lorsque je vis mon nuage mortel se dissiper petit à petit. S'assurer d'être hors de danger pour ensuite contre-attaquer, une attitude basique de duel qui ne laissait que peu de place à la surprise. Ce qui était bien dommage... Le sol autour de moi se mit à réagir quelque peu, ainsi donc cela viendrait de la terre. Qu'importe ce que c'était, il fallait éviter de rester ici trop longtemps. Le crac caractéristique du transplanage se fit entendre, autant changer de position. Cela me permettrait de le Surprise ! Dis-je lorsque je me retrouvai dans son dos, car c'était bien à cet endroit que j'avais transplané. Gladius Purpura ! Hurlai-je en pointant ma baguette dans la direction de l' forma alors la typique lame meurtrière qui s'élança à toute allure vers mon ennemi. La distance entre nous lui permettrait de s'en tirer probablement mais pas sans séquelle. Puis, une idée afin de le mobiliser Terra soluenta Multiplicare. Quelques mètres plus loin, avant même de savoir si mon sortilège l'avait touché. Ainsi, non seulement il serait projeté vers l'avant mais en plus il tomberait sur des sables mouvants qui se feraient un plaisir de l'accueillir correctement. Ces derniers recouvraient une grande partie de la ruelle menaçant presque les fondations des habitations. Gabin ŠprajcSerdaigle Re Dans un coin sombreGabin Šprajc, le Mar 15 Mai - 1401 La respiration haletante, Matt s'essuya rapidement le front en entendant le grondement de son sortilège sortir de terre. Il espérait que les parois de terre allaient se refermer rapidement pour ne pas laissé le temps au masqué de réagir. Si il réussissait à l’emprisonner maintenant, ça lui faciliterait les choses et il serait à rentrer chez lui pour voir Axelle. Mais comme tous les plans que le sorcier mettait en action, rien ne se passa comme prévu. Le mage noir face à lui, qui semblait pourtant être prit au piège, disparut. Un crac sonore résonna dans la ruelle. L’Auror connaissait que trop bien ce bruit. Un transplanage. Et un transplanage lors d’un duel entre sorcier avait quasiment toujours la même destination. Le dos de l’adversaire. Surprise ! » Matt eut tout juste le temps de se retourner pour voir le masqué, à un mètre de lui, baguette pointé dans sa direction. Une flamme pourpre ayant la forme d’une lame fonça droit sur l’agent d’élite du Ministère de la Magie. Grâce à l’expérience qu’il avait acquis grâce à ses nombreux combats, l’américain eu le reflexe de lancer un Protego. Malheureusement, la distance entre les deux sorciers était des moindres et le sort de protection de l’Auror n’eut pas le temps de se former intégralement. La lame frappa le sortilège de protection mais ce dernier, formulé dans la précipitation, céda. Le sortilège du mage noir, quelques peu amoindrit, frappa le torse de l’Auror qui fut propulsé en arrière. Matt s’attendait à chuter lourdement sur le sol mais contre tout attente, il se retrouva sur une surface sableuse. L’américain comprit le pétrin dans lequel il était. Son corps était aspiré par le sable et ci il restait plus longtemps dedans, il allait se retrouver immobiliser, à la merci du mage noir. Alors que le temps jouait en sa défaveur, l’Auror jeta un regard aux battements autour de lui qui ne se trouvaient pas dans la zone des sables mouvants. Sur un des appartements du Chemin de Traverse, situé au rez-de-chaussée légèrement surélevé d’un ancien bâtiment, le balcon possédait plusieurs jardinières. Alors que les jambes du sorcier étaient enlisées dans les sables, il visa l’une des jardinières et formula un Commutatio Loco. Instantanément, la jardinière se retrouva à la place du sorcier et s’enlisa dans les sables mouvants. L’américain, quant à lui, fût téléporté et tomba sur le balcon. Alors qu’il allait se relever, la vision de l’Auror se brouilla et ses tripes se nouèrent. Une gerbe de sang sorti de sa bouche pour finir son chemin sur les lattes en bois du balcon. Une douleur aigue lui comprimait le torse, la où la lame l’avait frappé. Matt posa sa main gauche sur la localisation d’où provenait la douleur mais ne remarqua aucune blessure particulière. Nouvelle gerbe de sang. Il jura tandis que qu’une voile brumeux s’installa devant ses yeux. La respiration haletante et rauque, le sorcier américain s’interdisait de paniquer malgré l’urgence de la situation. Son ennemi avait du le localiser et n’allait pas tarder à lui tomber dessus. Il faut que je prévienne les autres… » Murmura-t-il pour lui même. Baguette en main, le sorcier américain pointa sa baguette en direction du ciel, se préparant à lancer son patronus chercher des renforts. Il n’avait pas d’autres choix. Mangemort 67Mangemort à la retraite Re Dans un coin sombreMangemort 67, le Sam 19 Mai - 035 Prise de LALa succession peu commune de mes sortilèges semblait fonctionner. Mais c'était sans compter sur l'expérience de mon adversaire. Heureusement que je portais un masque, car l'air dubitatif qui s'était affiché sur mon visage lorsque je vis la jardinière à la place du sorcier n'avait rien de bien crédible. Il est vrai que je n'avais pas envisagé qu'il échange sa place. Légèrement stressé, j'observais les alentours, passant rapidement les habitations en revue, le premier coup d'oeil ne fut pas le bon. J'étais sur mes gardes, car même si j'avais bien vu que mon sortilège l'avait touché, je ne savais pas quels en étaient les dégâts. Attentif à une attaque surprise éventuelle. Un bruit de vomi, du moins quelque chose qui y ressemblait, vint briser le silence d'hiver qui était revenu après les premiers échanges de sortilèges. Un deuxième bruit se fit entendre ce qui m'aidait à préciser l'emplacement de mon adversaire et si ce dernier ne tentait rien, j'avais bon espoir de croire que je l'avais plutôt bien endommagé. Je crois bien que je l'ai trouvé. Il fallait qu'il descende de son perchoir !- Bombarda Ma
Nentre pas docilement dans cette douce nuit. Le vieil âge doit gronder, tempêter au déclin du jour. Hurler, hurler à l’agonie de la lumière. Si le sage sentant la fin sait que les ténèbres sont justes car ses mots n’ont point forgé de foudre, il n’entre pas docilement dans cette douce nuit. Hurle, hurle, à l’agonie de la Lumière.
Le Deal du moment Cartes Pokémon sortie d’un nouveau ... Voir le deal . Domaine de la Rose Noire . ACCUEIL ARCHIVES RP AuteurMessageDavid Moss [ABS&HS U_AdminNombre de messages 913Cheval Attribué Asha LeïlaMétier JugeGalops Date d'inscription 12/05/2008Feuille de personnageÂge / Année 19 ansCheval Asha LeïlaConnaissances Sujet Un tour au lac // Kyria Ven 11 Juil - 1148 Un tour au lacAvec Kyria Sheryan______________ Allez, mam’zelle, on va faire un tour ! »Au pas tranquille, David fit sortir sa grande jument pie de la carrière et la dirigea vers le chemin qui s’éloignait des écuries, contournait les bâtiments de l’académie et allait se perdre dans les terres du domaine, forêt et plaines. Tout en marchant, il flatta de la main la fine encolure sombre qui s’agitait au rythme de ses pas. Ils n’avaient pas travaillé longtemps mais une légère sueur était apparue sur les poils soyeux. Cette séance avait été, une fois de plus, une sorte de bras de fer entre la jument et son cavalier, bras de fer discret, certes –pas le moindre usage de force de la part du jeune homme, pas de cabrades et peu de ruades de celle de Leïla…-, mais réel. Leurs volontés s’opposaient farouchement et chacun tentait d’obtenir gain de cause. Et une fois de plus, c’état David qui avait emporté la partie en arrivant à se faire obéir de sa monture qui avait alors consenti à travailler l’épaule en n’était pas fatiguée même si on sentait qu’elle venait de fournir un effort conséquent, et son cavalier décida de leur changer les idées à tous les deux en allant faire un tour en forêt. Une petite balade au pas après le travail, rien de tel pour décompresser… Aussi le couple s’engagea-t-il sur le large sentier de terre qui s’enfonçait entre les arbres feuillus de la forêt du avait, comme toujours, envie d’accélérer mais pour une fois, elle ne tirait pas sauvagement sur son mors et ne s’énervait pas non plus en s’agitant dans tous les sens. En fait, nul n’aurait cru que cette grande jument à l’air si tranquille brûlait d’embarquer son cavalier qui lui avait laissé une certaine liberté en rallongeant nettement ses rênes. Cependant, David sentait nettement cette infime tension qui parcourait le corps de la jument et la faisait vibrer de tout son être, et il se méfiait même s’il savait que pour l’instant, elle ne tenterait rien. Une fois de plus, il caressa l’encolure de Leïla, apaisant. Tu as bien travaillé… Pas la peine de t’épuiser, va ! » Un moment s’était écoulé lorsqu’ils parvinrent en vue d’un croisement. Le jeune homme réfléchit un instant. Si ses souvenirs étaient exacts, tourner à droite le conduirait au lac… C’est donc ce qu’il fit, et Leïla profita de la légère descente qui suivait pour accélérer nettement son pas au point d’être à la limite du trot. Doooouuucemeent… » David ne tira pas sur les rênes, se contentant de sa voix et de son poids du corps pour ralentir la jument. Cela marcha dès qu’elle revint sur du plat, elle ralentit docilement et il la félicita. Décidément, il y avait du progrès… !Les minutes s’écoulèrent, sans incident notable. Cheval et cavalier se reposaient au rythme de ce pas rapide mais calme, et pour une fois la jument, détendue, ne sursautait pas au moindre bruit ou au moindre mouvement sur sa gauche. Hé bien… On dirait qu’une bonne séance de dressage te fait un bien fou, à toi ! » Effectivement, la jument était plus calme et plus docile maintenant, et il avait la nette impression que ce n’était pas dû à la fatigue –du moins, pas le sentier s’arrêta tout net, en même temps que les arbres devant eux se trouvait une vaste étendue dépourvue d’arbres mais recouverte d’herbe, qui descendait en pente douce jusqu’à la surface bleue et lisse du lac scintillant. Instinctivement, Leïla s’arrêta un instant face à l’eau, puis sans que son cavalier ait à le lui demander, elle reprit son chemin et s’approcha de la berge. Souplement, David mit pied à terre et il allongea ses rênes pour laisser la jument boire. Il la regarda plonger délicatement ses naseaux sombres dans l’eau claire et avaler à petites gorgées, puis elle se redressa et secoua la tête en projetant de toutes petites gouttes d’eau autour d’ jeune homme sourit, la regardant avec tendresse, puis il s’approcha de la sangle et, après une infime hésitation, dessella la jument. Il passa une main douce sur le dos de Leïla où la sueur avait imprimé sur les poils les motifs du tapis de selle. Bon, ben il te reste plus qu’à sécher ! » déclara David tout en posant soigneusement selle, amortisseur et tapis s’assit dans l’herbe, et la grande pie n’attendit pas plus longtemps pour pencher la tête et se mettre à brouter goulûment. Il la regarda un moment, puis, la somnolence le gagnant, s’allongea sur le dos. Les yeux face au ciel, il scrutait les petits nuages cotonneux qui flottaient sur l’étendue azur et se déplaçaient paresseusement, tandis que ses oreilles s’emplissaient du bruit que faisait Leïla en sectionnant les brins d’ étaient bien, là, tous les . . . . . . - InvitéInvitéSujet Re Un tour au lac // Kyria Ven 11 Juil - 1341 En faisant un tour dans les écuries, à la recherche du cheval qui lui avait été attribué, Kyria passa devant un bel hongre bai. Elle s’arrêta et regarda la plaque accrochée sur le mur à côté du boxe. Javelot d’Orvay, propriétaire Kyria Sheryan. Un fin sourire vint alors éclairer son visage et elle tendit sa main, paume vers le ciel, laissant le beau cheval la sentir. Elle en profita pour l’observer toute à son aise, laissant son regard glisser sur les lignes fines et racées du bel doigts vinrent doucement chatouiller sa liste qui se terminait sur un seul côté de son nez, ce qui eut pour effet de faire retrousser la lèvre supérieur de Javelot, ce qui amusa Kyria. Au ranch, il y avait un cheva qui avait ce tic aussi, qui ressemblait fortement au flehmen. Sa main remonta doucement le long de son chanfrein, s’arrêtant aux oreilles, guettant ses réactions. Peu de chevaux appréciaient qu’on leur fasse des caresses à cet endroit mais celui-ci ne semblait pas plus troublé que jeune gothique ouvrit alors la porte, faisant reculer de quelques pas le cheval. Elle referma la porte derrière elle, la laissant contre et fit le tour du hongre qui l’observai avec un vif intérêt. Kyria laissa sa main glisser sur son encolure, revenant sur ses flancs puis sur ses reins pour finir sur sa croupe, tandis qu’elle se postait derrière lui pour retourner de l’autre côté. Une fois revenue au niveau de sa tête, elle chuchota, doucement Tu es magnifique… »Car Kyria ne pouvait résister à aucun mieux faire connaissance et pour également pouvoir le cerner, la jeune cavalière lui passa un licol en cordes, le fit sortir du boxe pour l’attacher à l’anneau près de la porte, faisant un nœud lâche. Elle alla chercher son sac où ses brosses étaient bien mélangées et en vrac. Il fallait dire que le rangement et l’ordre n’étaient pas vraiment le fort de la demoiselle aux yeux bleus. Elle prit néanmoins son cure-pied après avoir entamé quelques fouilles et, se postant près de l’antérieur droit de Javelot, fit doucement descendre sa main sur le membre du cheval. L’effet fut immédiat et l’hongre lui donna son pied sans problème. Il n’était pas bien capricieux pour cela et il ne botta pas lorsque la jeune file s’occupa de ses postérieurs. Kyria lui passa ensuite l’étrille sur les parties plus charnues, puis le bouchon et enfin, la brosse douce, faisant attention de ne pas lui faire mal lorsqu’elle brossa sa tête. Elle démêla alors avec soin ses crins et, pour finir, lui passa sur le corps un gant en peau de mouton’. Javelot sembla intrigué mais la jeune gothique eut vite fait de le rassurer sur cet objet rangea alors ses affaires et prit un filet, le passant au cheval qui accepta le mors sans problèmes. Kyria sortit ensuite de l’écurie et, une fois dans la cour, grimpa sur l’hongre. Ils allaient faire une balade, à dirigeant vers la forêt, Kyria aperçu un panneau indiquant la direction à prendre si l’on voulait se rendre au lac. Elle suivit alors les indications. Il faisait beau et un peu d’eau ne leur ferait pas de mal. Une fois sur le sentir, la jeune fille regarda autour d’elle, attentive aux bruits de la forêt. Il ne manquerait plus que son fidèle destrier s’emballe et qu’elle tombe, bien que ce soit fort peu probable. Avec sa jument, elle avait l’habitude d’aller galoper, à cru, en guise de filet un simple licol et ce, dans la forêt bordant son domaine. Elle garda tout de même à l’esprit que c’était la première fois qu’elle montait ce cheval et qu’il valait mieux faire un peu plus avoir bien marché, la jeune fille mit Javelot au trot, prenant garde au chemin, mais ce dernier restait en bon état et, peu de temps après, elle mit l’hongre bai au galop, restant bien au contact pour ne pas qu’il s’emballe et l’embarque à l’autre bout de la Javelot redressa la tête, ralentissant l’allure. Kyria le fit repasser au trot puis au pas, lui flattant l’encolure pour le rassurer. Mais il n’avait pas tant peur que cela. Il venait de sentir une odeur étrangère, peut-être un autre cheval, qui sait ? Finalement, ils débouchèrent sur le lac, allant à la rencontre d’une jument et de son cavalier, couché par belle jument pie redressa à peine la tête, continuant de manger tandis que Kyria mettait pied à terre, tenant son cheval une rêne, restant à une distance convenable. Je ne vous dérange pas ? » Sa voix était neutre, pour une fois, pas trop froide, s’adressant au jeune homme. Elle ne tenait pas à les déranger lui et sa son regard vagabonder un instant sur les faibles remous de l’eau, la jeune étudiante remonta sur son cheval et le fit doucement s’approcher de l’eau. Javelot ne rechigna pas à entrer dans l’eau et Kyria l’arrêta lorsque l’eau fut au trois-quarts de la hauteur de ses jambes. Elle le laissa alors s’amuser un peu, jetant un coup d’œil au jeune homme. David Moss [ABS&HS U_AdminNombre de messages 913Cheval Attribué Asha LeïlaMétier JugeGalops Date d'inscription 12/05/2008Feuille de personnageÂge / Année 19 ansCheval Asha LeïlaConnaissances Sujet Re Un tour au lac // Kyria Sam 12 Juil - 1717 David rêvait les yeux ouverts, le regard perdu dans les nuages. Il observait d’un œil absent les dessins que formait la brume blanche dans le ciel couleur myosotis, tandis que la somnolence le gagnait de plus en plus. Il étendit ses jambes, et poussant un long soupir, ferma les yeux quelques secondes. Une pression sur les rênes qu’il tenait entre ses doigts desserrés le rarement sur terre et il ouvrit vivement les yeux en se redressant légèrement pour voir ce que faisait Leïla. Avec elle, il fallait toujours être sur ses gardes…Fausse alerte, elle essayait juste de s’éloigner un peu plus car, comme chacun sait, l’herbe est toujours meilleure à côté ! Il songea qu’en défaisant l’une des boucles qui attachaient les rênes aux anneaux du mors, cela ferait une sorte de longe et la jument pourrait s’éloigner davantage. Là, elle n’avait guère qu’un mètre de liberté. Mais, tandis que cette idée se formait dans son esprit, il se laissa retomber dans l’herbe tandis que ses membres s’engourdissaient déjà. Le jeune homme n’était pas tellement du genre feignant, mais là, la simple idée de se lever, de rappeler Leïla et de détacher les rênes le plongeait dans une incommensurable avait qu’il n’ait eu le temps de fermer à nouveau les yeux, la grande jument tira une nouvelle fois sur les rênes, bien plus fort cette fois. Il resserra sa prise sur les lanières de cuir tout en la regardant d’un œil vide s’exciter en fixant quelque chose, naseaux dilatés et yeux exorbités. Chuut… Laisse tomber, va… Quoi que ce soit, ça te bouffera pas… » marmonna David d’une voix pâteuse mais ronfla en fixant l’ôrée de la forêt, puis de détourna, hautaine et royale, pour s’absorber à nouveau, au soulagement du jeune homme, sur le festin d’herbe qui s’offrait à moment impossible à mesurer s’écoula. Quelques minutes, quelques secondes ? David crut entendre le bruit étouffé de sabots qui s’approchaient. Il tendit l’oreille, n’entendit plus rien mais au moment où sa vigilance retomber, les bruits se refirent entendre. Quelqu’un arrivait à cheval. Leïla l’avait sûrement remarqué, d’ailleurs peut-être était-ce l’approche de ce cavalier inconnu qui l’avait tant alarmée tout à l’heure, mais étrangement, elle se contenta de lever brièvement la tête vers les nouveaux arrivants avant de replonger le nez dans l’herbe verte et grasse de la berge. C’était une réaction plus qu’étonnante de la part de la nerveuse jument…Mais enfin, puisqu’elle ne s’était pas fait remarquer, on pouvait peut-être espérer que le cavalier anonyme passerait son chemin… Faux espoir. Une voix se fit entendre, féminine et dénuée d’émotion. Donc, le cavalier inconnu était une cavalière. Ça ne renseignait guère David, mais enfin c’était déjà un pas en avant. Est-ce qu’elle le dérangeait ? Humpf. Entre-temps, elle avait dû avancer avec son cheval car subitement Leïla perdit le calme olympien qu’elle affichait jusqu’alors et redressa brusquement la tête en arrachant les rênes aux doigts de David, et poussa un hennissement puissant au hongre. Même pour un humain peu habilité à décrypter les messages inter-équidés, le sens de ce hennissement était clair et limpide c’était une menace.*Toujours aussi sociable…*Il se redressa pour récupérer les rênes tombées à côté de lui, tout en répondant Moi ? Non ! » Il se leva souplement et s’approcha de la jument qui fit un écart pour s’éloigner de lui. Mais, comme il la tenait par les rênes, sa tentative de s’éloigner fut avortée et il l’attrapa par un montant du filet. Doucement, mademoiselle… murmura-t-il. Tu sais, je ne crois pas que ce beau bai ait envie de te manger ou de te taper dessus… » Mais si le hongre n’en avait pas l’intention, Leïla, elle, semblait brûler de l’envie de l’agresser. Elle piaffait, grattait le sol de son antérieur, agitait la tête et enchaînait les mimiques menaçantes, à commencer par ses oreilles couchées en arrière au milieu des longs crins de sa crinière. Calmement, David lui gratouilla le chanfrein tout en la tenant fermement de l’autre main. Par contre, elle, j’ai bien peur que oui ! » ajouta-t-il à l’intention de la se mit à parler à voix basse, d’un ton doux et apaisant, dans l’espoir dérisoire de calmer les ardeurs agressives de la grande pie. Il fit marcher cette dernière en l’éloignant de son congénère et en la plaçant dos à lui pour ne pas le placer en plein dans son champ de vision. Tout en s’occupant de sa jument, David gardait un œil sur la fille inconnue et son cheval qui s’était mis à jouer dans l’eau. Il avait l’habitude de se faire très rapidement une idée des gens qu’il croisait. Quelques secondes lui suffisaient pour étudier de son regard scrutateur la personne qui lui faisait face dans ses moindres détails et la juger selon son appréciation personnelle. En l’occurrence, l’inconnue ne lui faisait pas face mais cela ne l’empêcha pas de l’observer cheveux noirs, habillée à la gothique… Une élève, vraisemblablement. Il laissa passer quelques secondes durant lesquelles Leïla se résigna à se calmer un minimum, puis s’approcha légèrement de la fille. Mais bon, reprit-il, tant pis pour elle, c’est son problème ! » Il faudrait bien que la jument tolère la présence d'autres autour d'elle... _________________- . . . . . . - InvitéInvitéSujet Re Un tour au lac // Kyria Sam 12 Juil - 1742 Quant à sa question, le jeune homme encore allongé ne sembla pas s’en formaliser plus que cela et Kyria continua son chemin, entrant alors dans l’eau, laissant son cheval jouer un peu. Mais la belle jument pie qui accompagnait ce jeune homme n’était pas de cet avis et lança un hennissement strident, qui aurait fait peur à n’importe quel apprenti, mais pas à Kyria, bien trop habituée aux chevaux pour prendre peur à la première menace venue. Certes, cet hennissement n’était pas de bonne augure, mais à part redresser brièvement la tête, Javelot n’émit aucun signe de peur ou de distraction. Il préférait largement boire l’eau du lac et éclabousser sa cavalière plutôt que d’aller se battre avec la heureusement pour les deux compères, la cavalier de la jument plutôt nerveuse se releva et attrapa les rênes, pour éloigner un peu son cheval, assurant à la jeune gothique qu’elle ne le dérangeait pas. Tant mieux, de toute manière, maintenant qu’elle était là, elle ne voyait aucune raison de repartir si prématurément. De plus, il faisait beau, l’air était frais mais doux et il n’y avait que de très peu de vent. Des conditions idéales réunies pour se baigner. Quoi qu’un plongeon dans l’eau, toute habillée ne lui disait rien qui vaille. Si encore elle avait eut une serviette pour se sécher… Pourquoi pas ! Mais là, elle n’avait pas pensé à prendre de quoi se changer. La baignade n’était donc pas au programme de cette que l’inconnu éloignait sa jument, il essayait de la calmer par quelques mots doux, lui assurant que l’hongre ne la mangerait pas, puis, à l’attention de Kyria, fit remarquer que ce n’était pas trop le cas de sa jument vis-à-vis d’eux, ce qui fit légèrement sourire la jeune étudiante. Finalement, il sembla abandonner l’idée de calmer plus que ça son cheval et se rapprocha un peu d’eux, lançant que c’était le problème de sa jument si elle s’énervait encore. Il n’avait pas tort dans un sens, mais si elle venait à leur foncer dessus, ça deviendrait son problème à lui aussi…Mais préférant penser à autre chose qu’à la catastrophe qui pourrait survenir, Kyria fit faire demi-tour à son cheval pour faire face au jeune homme Comment s’appelle ta jument ? »Kyria pensait généralement aux chevaux avant de penser aux humains ou à elle-même. Mais rapidement, ses yeux se fixèrent dans ceux de son interlocuteur, intriguée. Elle-même qui avait des yeux d’un bleu soutenu et étrange, trouvait ceux du jeune homme fort beaux. Ils étaient d’un vert… éclatant ! Mais bien qu’elle n’en n’ait jamais vu de pareils, elle n’y prêta pas plus d’attention, le regardant tout de même dans les yeux, vieille habitude qu’elle avait acquise au fil du temps. Certains trouvaient cela déplorable et dérangeant mais elle, qu’on la fixe de cette manière franche et honnête ne la dérangeait pas du tout et se foutait d’ailleurs royalement de ce que les autres en après quelques minutes où Javelot observa la jument, la jeune cavalière les fit tous deux sortir de l’eau pour revenir sur la terre ferme et sèche, puis mit pied à terre. Elle vérifia rapidement ses jambes, pour voir s’il ne s’était pas blessé dans les bois puis, s’approcha du jeune homme et lui tendit la main, tout en se présentant Kyria, Kyria Sheryan. Et tu es… ? »S’en suivit un très fin sourire, rien de plus. On pouvait dire que Kyria n’avait vraiment pas l’air amical et aimable au premier abord, bien qu’une fois qu’on la connaissait plus, elle pouvait devenir une amie très fidèle. Le seul problème était que sa confiance était extrêmement difficile à gagner, tout comme sa jument, et qu’une fois qu’on la perdait, c’était quasi impossible de la retrouver. Quelques personnes lui avaient déjà fait remarquer qu’elle était comme un animal aux abois, toujours sur ses gardes, prête à prendre la fuite si on tentait de l’agresser. Et pourtant, aux agressions verbales qu’on lui faisait, elle répondait de la même manière, cherchant et souvent, trouvant le point sensible des gens et si ça en venait aux poings, elle n’hésitait pas à cogner, les années de boxe et d’arts-martiaux aidant bien en général, elle restait passive et ne rentrait que dans une forte colère que lorsqu’on la cherchait vraiment. D’ailleurs, elle n’aimait pas trop se servir de ses poings sur les autres personnes et sur les animaux aussi d’ailleurs, ce qui faisait que, bien souvent, elle était plus vite acceptée par les chevaux que par les humains car elle était très douce avec eux et essayait, au maximum, de se comporter comme eux, avec elle se dépêche de sortir de ses pensées, détaillant rapidement le jeune homme en lui lançant un simple coup d’œil, le regardant à nouveau dans les yeux, attendant une réponse… David Moss [ABS&HS U_AdminNombre de messages 913Cheval Attribué Asha LeïlaMétier JugeGalops Date d'inscription 12/05/2008Feuille de personnageÂge / Année 19 ansCheval Asha LeïlaConnaissances Sujet Re Un tour au lac // Kyria Mar 15 Juil - 1721 La jeune fille ne répondit pas tout de suite, occupée à faire sortir son cheval du lac où ce dernier s’était éclaboussé à cœur joie. Lorsqu’elle reprit la parole, ce fut pour poser une question, et contre toute attente il ne se présenta pas ni ne demanda à David de faire de même ; elle s’enquit simplement du nom de la grande pie. La demoiselle ? Asha Leïla ! » répondit-il avec un imperceptible sourire, tout en tapotant l’encolure de la jument qui secoua violemment la se retourna vers l’élève inconnue, et croisa son regard. Elle le fixait droit dans les yeux, avec peut-être comme une nuance de défi dans le regard. Fière, oui, sûrement. Forte, ou tentant d’en avoir l’air. Mais ça n’impressionnait pas le moins du monde le jeune homme, qui se contenta de soutenir son regard, sans se gêner pour la dévisager. Il faisait tout le temps ça, scruter les gens d’un œil expert, remarquer les moindres détails, passer au crible son interlocuteur avant de poursuivre la conversation. C’était affreusement gênant mais il ne se faisait pas discret pour autant ; bien au contraire, mettre les autres mal à l’aise faisait partie de ses loisirs ».Quelques instants passèrent, puis l’inconnue fit sortir son cheval de l’eau et descendit de son dos. Elle s’approcha de David, main tendue, comme si elle se souvenait seulement maintenant qu’elle ne s’était pas présentée. Ainsi donc, Kyria était son nom. Kyria… N’en avait-il pas connue une, autrefois ? Ce nom lui disait vaguement quelque chose. Ah, non, réflexion faite, c’était Kiara. Un sacré tempérament… Mais c’était loin, tout ça. Il chassa les bribes de souvenirs de son esprit et s’autorisa un petit sourire charismatique, tout en répondant sur le même ton David Moss. Pour te servir… » ajouta-t-il, son sourire s’agrandissant légèrement, avec une galanterie des plus fausses. Mais ça, pour le savoir, il fallait le connaître à fond, le côtoyer depuis des années…Elle, elle ne souriait pas, ou à peine. Son regard, bleu sombre, le surveillait, avec peut-être une lueur de… méfiance ? au fond des prunelles. Peut-être voulait-elle paraître digne et fière, lui la voyait comme une jeune fille distante, prudente, craintive même. Farouche. Oui, c’était le mot, farouche. Une fois de plus, il la regarda de haut en bas, rapidement. Jolie ? Pas à son goût. De jolis yeux, bon, mais en comparaison de… certaine personne, Kyria ne faisait pas le poids. Son regard s’attarda une fraction de seconde sur les lèvres de la jeune fille, figée en un sourire si léger et si froid qu’il fallait vraiment le chercher pour le voir. Il allait la dégeler… Essayer, tout au moins. Et lui ? poursuivit-il en désignant le cheval bai qui accompagnait Kyria. Comment s’appelle-t-il ? » Leïla choisit cette instant pour tenter d’arracher les rênes à son cavalier, qui la retint fermement mais se déboîta l’épaule au passage. Mais ça suffit ! » protesta-t-il en lançant un regard mécontent à la jument qui détourna la soupira et posa la main sur son encolure à la peau si fine et au poil si doux. Sous sa paume, il sentait le tremblement nerveux que provoquait la présence du hongre bai. Son contact se fit apaisant, comme s’il pouvait transmettre son calme olympien à la jument pie. Ses oreilles étaient toujours orientées vers l’arrière et le frémissement de ses naseaux en disait long sur son humeur, mais elle resta jeune homme observa à nouveau l’élève face à lui et s’autorisa un nouveau sourire lorsque leurs regards se croisèrent à nouveau. Pas trop enjôleur, non, il se doutait que Kyria n’apprécierait que très modérément de se faire draguer ouvertement dès les premiers instants. Juste assez charmant pour la dérider un peu. Même s’il n’y parviendrait pas forcément du premier coup, il était sûr de pouvoir obtenir un sourire de la jeune fille, un vrai de sentit Leïla baisser la tête et se tourna machinalement vers elle. Comme si subitement la présence d’un intrus » dans les parages ne lui importait plus, elle venait de replonger le nez dans l’herbe et s’en donnait à cœur joie. David voyait bien qu’elle n’avait pas relâché sa surveillance pour autant. De son unique œil, elle surveillait le cheval bai, méfiante. Mais, le tapis d’herbe verte, grasse, sucrée, qui s’étendait à ses pieds était trop tentant pour mépriser plus longtemps ce festin. Hé bien, en voilà une qui n’avait pas mangé depuis des jours… ! » s’amusa le jeune homme, prenant Kyria à témoin de la gloutonnerie de la grande jument . . . . . . - InvitéInvitéSujet Re Un tour au lac // Kyria Mar 15 Juil - 2128 Asha Leïla… C’était joli comme prénom, surtout pour un cheval me direz-vous^^ Mais à l’annonce de son prénom, la belle pie secoua la tête, rejetant plutôt violemment sa crinière vers l’arrière, ne laissant pas le jeune homme poser sa main sur son encolure. Et en plus de cela, c’est qu’elle était capricieuse et têtue ! Une faible lueur d’amusement s’alluma dans les yeux de la jeune étudiante, mais rien de plus ne se passa. Là où auraient souri et peut-être ri beaucoup de filles, Kyria faisait exception, n’exprimant son amusement que par ses yeux et encore, il fallait bien regarder !Lorsque Kyria fixa le regard du jeune homme, ce dernier fit de même, scrutant ses traits finement dessinés, la détaillant bien en profondeur, espérant sans doute la gêner. Mais il pouvait toujours courir pour mettre mal à l’aise une jeune fille de la trempe de Kyria, il en fallait beaucoup plus ! A la limite se jeter sur elle pour la déshabiller, enfin, ça ne risquait pas d’arriver car même si le jeune homme semblait un sacré charmeur avec son sourire aguicheur et ses beaux yeux verts, il restait fort correct envers la petite gothique. De toute manière, il n’avait pas intérêt à l’approcher…Après s’être présentée, le jeune homme qui portait le doux’ prénom de David se présenta à son tour, ajoutant même qu’il était là pour la servir, accrochant à ses lèvres, un petit sourire charismatique qui ne fit aucun effet à Kyria. Tout cela sonnait faux, bien trop faux… Oh, je ne dis pas que la plupart des filles ne seraient pas tombés sous son charme mais là ! La jeune cavalière avait l’habitude de regarder dans les yeux des gens, pour déceler ce qu’ils ressentaient vraiment et quand bien même ils arrivaient à cacher tout cela, il restait de petits tics parfois nerveux sur leurs traits qui démontraient bien qu’ils mentaient. Trop aimable…Really. Mais je sais me débrouiller… »Oulà, il fallait vraiment qu’elle fasse attention. Voilà qu’elle laissait transparaître une des langues qu’elle avait parlée le plus couramment après l’Irlandais l’anglais. Car dans son français presque sans fautes, ressortait encore un accent indéfinissable pour ceux qui ne connaissait par l’irlandais. Mais en plus de cet accent qu’on pouvait trouver charmant, un ton ironique ressortait bien plus fortement. Il ne fallait pas la chercher, lorsque David s’intéressa à Javelot, son regard s’illumina un peu et elle laissa transparaître un fin sourire plutôt gentil et un peu plus chaleureux. Si on voulait réussir à la dégivrer, il fallait savoir s’y prendre et les chevaux, c’est son domaine… Alors, tout en présentant son compagnon, la jeune gothique posa une main réconfortante sur le chanfrein du cheval. Il semblait un peu nerveux, ou peut-être agacé par la présence d’une personne masculine. Comme si sa voix lui faisait peur. Kyria enregistra mentalement cette information, se promettant d’y revenir plus tard et de régler le problème Javelot, Javelot d’Orvay… »Au même moment, la jument que tenait David voulu arracher les rênes à son cavalier. Mais le jeune homme ne céda pas, et son épaule fit un drôle de mouvement qui arracha une petite grimace à la jeune fille. Elle en avait connu des chevaux qui tiraient fort, et elle pouvait vous garantir que ça ne faisait pas que du bien ! Pour finir, grâce à un calme remarquable, le jeune homme finit par calmer un peu sa monture et cette dernière se remit à brouter goulûment l’herbe qui se trouvait non loin de après, un sourire enjôleur venait étirer ses lèvres, alors que leurs regards se croisaient à nouveau. Kyria n’en fit rien, se fichant éperdument de ses veines tentatives pour réchauffer un peu l’ David prit à témoin la cavalière devant lui, tandis que Lila se gavait littéralement d’herbe, alors que Javelot se tenait plus ou oins calme, à l’observer et à regarder aussi David, d’un œil méfiant. Il ne semblait vraiment pas à l’aise en sa compagnie, ce qui intrigua Kyria au plus haut point. Elle se décida finalement à demander au jeune homme Connais-tu un peu le passé de Javelot ? Au fait, fais attention à ta jument, elle risquerait d’avoir des coliques si elle se gave trop… »Ni plus, ni moins… David Moss [ABS&HS U_AdminNombre de messages 913Cheval Attribué Asha LeïlaMétier JugeGalops Date d'inscription 12/05/2008Feuille de personnageÂge / Année 19 ansCheval Asha LeïlaConnaissances Sujet Re Un tour au lac // Kyria Ven 18 Juil - 1940 Kyria prévint David du risque de colique que courait Leïla, ce qui l’agaça légèrement mais il n’en laissa rien paraître. Ça aussi, c’est son problème ! » jeta un coup d’œil à la grande jument, toujours plongée dans son festin, puis ses yeux rencontrèrent une fois de plus ceux de la jeune fille et il retrouva son sérieux. Nan, sérieusement, t’inquiète pas pour ça. Et puis, faut dire qu’elle l’a bien mérité, ce repas ! » Tout en parlant, il passa la main sur le dos de Leïla, encore marqué par la sueur. Décidément, par cette chaleur, il ne faisait pas bon travailler… À moins qu’il ne se mette à monter de nuit ? Le manège était éclairé, du moins s’il se souvenait bien. Mais ça serait moins drôle. Le soir alors ? Ou tôt, de bon ces considérations sans grande importance, le jeune homme changea le cours de ses réflexions en s’intéressant à nouveau à Kyria. Ah, oui, elle lui avait demandé s’il connaissait l’histoire de Javelot, son cheval. Il s’apprêtait à répondre par la négative, quand un regard sur le bai le retint. Cette liste déviée à la forme si atypique… Oui, il l’avait déjà vue. Ah ! Ça lui revenait maintenant. Il était là lors de l’arrivée du hongre, et avait discuté avec le type qui l’avait emmené. Il paraît qu’il n’a pas été bien heureux avec son précédent proprio… Il a été battu, je crois. Comme elle, d’ailleurs ! » ajouta-t-il en désignant Asha Leïla du il connaissait bien mieux le passé de sa jument que celui du cheval bai. Cependant, il fouilla dans sa mémoire. Parmi les palefreniers, il y avait beaucoup de discussions… Après quelques secondes, il reprit Il a été recueilli par je-sais-pas-qui, une assoce peut-être, qui l’a remis en forme et il a atterri ici. Il s’en est bien tiré, mais il donne du fil à retordre aux palefreniers quelques fois… Enfin, je ne sais rien de plus. Mais si ça t’intéresse tellement, tu peux toujours aller voir à la direction, ils ont les dossiers des chevaux et leur parcours avant la Rose Noire… » C’était ainsi que lui-même avait reconstitué toute l’histoire d’Asha Leïla, ou plutôt ce qui était officiel et connu. Entraînée pendant sa prime jeunesse pour la compétition, elle n’avait pas supporté l’instabilité de ce milieu, les voyages incessants, les changements de cavalier… Un particulier l’avait rachetée, pour une petite fortune, mais ce type-là avait vu ses ambitions de concours olympiques brisées par le caractère trop bien trempé de la jument. Il n’avait rien trouvé de mieux que de lui taper dessus ou de l’affamer pour en tirer quelque chose… Et c’est vraisemblablement ainsi que ce conn… hum, crétin, l’avait rendue borgne. Heureusement qu’elle avait été sauvée peu après… Bien des aspects de sa vie restaient dans l’ombre, mais au moins, David en connaissait l’essentiel et ça lui suffisait. Maintenant, il ne lui restait plus qu’à dessiner un meilleur futur à sa jument…Machinalement, il fit tourner son épaule gauche, celle qui avait encaissé la tentative de dérobade de la grande pie. Pfiou, c’est qu’elle avait de la force, celle-là… C’était pas gagné, avec elle. Tant mieux, du reste. On n’a rien sans rien, avec les chevaux tout particulièrement. Et quand tout vous tombe tout cuit dans la bouche, ça enlève la plus grande partie du charme de l’ jeune homme se rassit dans l’herbe, et replia ses genoux contre lui, et regarda d’un œil affectueux la jument qui se délectait. Un papillon vint voleter tout près de son œil gauche, mais elle ne vit rien. David observa la petite bête aux ailes d’un blanc éclatant, l’esprit ailleurs. Ensuite, les choses allèrent très vite. L’insecte avait-il touché la tête de la jument, s’était-il posé sur elle ? Ou bien avait-il volé jusqu’à la limite de son champ de vision ? Les deux peut-être, toujours est-il que la réaction de Leïla fut d’un rare violence. Elle secoua brusquement la tête et se cabra en poussant un hennissement strident. David sentit les rênes lui arracher la peau des paumes et il se sentit arraché au sol. Heureusement pour lui, il avait des réflexes extrêmement vifs, sans quoi il aurait probablement mangé la poussière. Il se leva et s’approcha de la jument, et attrapa son filet au moment où ses antérieurs touchaient le sol. Le papillon l’avait rendu à moitié folle et elle se débattait, calme et sûr de lui, le jeune homme se mit à lui parler d’une voix très douce, apaisante, tout en caressant du plat de la paume l’encolure de Leïla où naissaient quelques traces d’écume tant elle était . . . . . . - Contenu sponsoriséSujet Re Un tour au lac // Kyria Un tour au lac // Kyria Page 1 sur 1 Sujets similaires» KyriaPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum. Domaine de la Rose Noire . ACCUEIL ARCHIVES RPSauter vers
91Likes, 2 Comments - Alexandre Touchet (@alex_gmc) on Instagram: “« N’entre pas docilement dans cette douce nuit »”
Do Not Go Gentle Into That Good Night de Dylan Thomas, traduction, analyse et postérité Dylan Thomas 1914-1953, grand poète gallois et buveur formidable au point d'en mourir, écrivit en 1947 son poème Do Not Go Gentle Into That Good Night titre donné d'après le premier ver, pendant un voyage en Italie. En français, le film Interstellar a popularisé la traduction "N’entre pas docilement dans cette douce nuit". Contexte d'écriture Le poème une villanelle, voir plus bas fut publié une première fois en 1951 dans la revue littéraire internationale Botteghe Oscure, basée à Rome, qui éditait des articles en plusieurs langues dont la moitié en anglais. Il est ensuite inclus dans le recueil In Country Sleep, And Other Poems, paru en 1952. Couverture du recueil de poèmes In country sleep de Dylan Thomas. Il est souvent suggéré ici et là que Thomas écrivit "Do not go gentle into that good night" parce que son père David John Thomas était agonisant, mais d'autres font remarquer que celui-ci ne mourut pas avant Noël 1952. Le fait est que David John Thomas a longtemps été malade d'un cancer et qu'il commençait à perdre la vue quand Dylan Thomas écrivit sa villanelle, ce qui explique en partie l'importance de la lumière dans le poème. Dans une lettre à Marguerite Caetani, fondatrice de Botteghe Oscure, Dylan Thomas déclare "La seule personne à qui je ne peux montrer le poème ci-inclus est, bien entendu, mon père, qui ne sait pas qu'il est mourant."“The only person I can’t show the enclosed poem to is, of course, my father, who doesn’t know he’s dying.” Photographie de Marguerite Caetani, fondatrice de la revue Botteghe Oscure. La traduction "N’entre pas docilement dans cette douce nuit" Le poème n'est pas entièrement traduit pour le film Interstellar, dont Frédéric Cerdal, qui double Michael Caine, lit deux strophes au cours d'une scène spatiale. On les trouvera ici transcrites N’entre pas docilement dans cette douce nuit, Le vieil âge doit gronder, tempêter, au déclin du jour, Hurler, hurler à l’agonie de la lumière, Si le sage sentant la fin sait que les ténèbres sont justes, Car ses mots n’ont point forgé de foudre, Il n’entre pas docilement dans cette douce nuit, Hurle, hurle à l’agonie la lumière. Voici maintenant la version originale du poème Do not go gentle into that good night, Old age should burn and rave at close of day; Rage, rage against the dying of the light. Though wise men at their end know dark is right, Because their words had forked no lightning they Do not go gentle into that good night. Good men, the last wave by, crying how bright Their frail deeds might have danced in a green bay, Rage, rage against the dying of the light. Wild men who caught and sang the sun in flight, And learn, too late, they grieve it on its way, Do not go gentle into that good night. Grave men, near death, who see with blinding sight Blind eyes could blaze like meteors and be gay, Rage, rage against the dying of the light. And you, my father, there on the sad height, Curse, bless, me now with your fierce tears, I pray. Do not go gentle into that good night. Rage, rage against the dying of the light. Photographie de David John Thomas, père du poète Dylan Thomas. Voici maintenant une traduction personnelle de Thomas Spok, donc, datée de 2020 N’entre pas courtois dans cette bonne nuit, Le grand âge devrait s’embraser, fulminer au crépuscule ; Rage, enrage contre l’agonie de la lumière. Quoique les sages à leur terme sachent que l’obscur l’emporte, Parce que leurs mots n’ont déchaîné nulle foudre ils N’entrent pas courtois dans cette bonne nuit, Les bons, après la déferlante, s’écriant combien splendides Leurs actes frêles eussent dansé dans une baie verdoyante, Ragent, enragent contre l’agonie de la lumière. Les insensés, qui saisissaient le soleil en vol et le chantaient, Et apprennent, trop tard, qu’ils l’accablaient dans sa course, N’entrent pas courtois dans cette bonne nuit. Les hiératiques, près de mourir, qui voient aveuglément Qu’aveugles des yeux pourraient fuser tels des météores et joyeux, Ragent, enragent contre l’agonie de la lumière. Et toi, mon père, du haut de la triste altitude, Maudis, bénis-moi maintenant de tes larmes cruelles, je t’en prie. N’entre pas courtois dans cette bonne nuit. Rage, enrage contre l’agonie de la lumière. Par ailleurs, le lecteur pourra lire avec intérêt une traduction de Lionel-Édouard Martin suivre le lien pour lire sa version, lui-même poète et romancier il a choisi de transposer le pentamètre iambique anglais en alexandrin avec césure à l'hémistiche, respectant ainsi la régularité du classicisme métrique de l'original on en donnera ici qu'un extrait N’entre pas apaisé dans cette bonne nuit, Les vieux devraient tonner, gronder quand le jour tombe ; Rage, mais rage encor lorsque meurt la lumière. Si le sage à la fin sait que l’ombre est la norme, Comme aucun de ses mots n’a fourché en foudre il N’entre pas apaisé dans cette bonne nuit. Il est à noter qu'on peut lire également la version traduite par Alain Suied dans la collection poche Poésie/Gallimard nrf, dans un recueil intitulé Vision et Prière et autres poèmes la traduction du poème remonte à 1979. Le titre donne "N'entre pas sans violence dans cette bonne nuit" et la traduction N'entre pas sans violence dans cette bonne nuit,Le vieil âge devrait brûler et s'emporter à la chute du jour ;Rager, s'enrager contre la mort de la lumière. Bien que les hommes sages à leur fin sachent que l'obscur est mérité,Parce que leurs paroles n'ont fourché nul éclair ilsN'entrent pas sans violence dans cette bonne nuit. Les hommes bons, passée la dernière vague, criant combien clairsLeurs actes frêles auraient pu danser en une verte baieRagent, enragent contre la mort de la lumière. Les hommes violents qui prirent et chantèrent le soleil en plein vol,Et apprennent, trop tard, qu'ils l'ont affligé dans sa course,N'entrent pas sans violence dans cette bonne nuit. Les hommes graves, près de mourir, qui voient de vue aveuglanteQue leurs aveugles pourraient briller comme météores et s'égayer,Ragent, enragent contre la mort de la lumière. Et toi, mon père, ici sur la triste élévationMaudis, bénis-moi à présent avec tes larmes violentes, je t'en pas sans violence dans cette bonne enrage contre la mort de la lumière. Écouter Dylan Thomas lire "Do not go gentle into that good night"Après la Seconde Guerre mondiale, Dylan Thomas et sa famille ont des difficultés financières Thomas accepte alors d'écrire et enregistrer une séries d'émissions pour la BBC qui rencontrent le succès. De 1945 à 1948, plus d'une centaines d'enregistrements font entendre sa poésie, mais aussi des débats littéraires ou des critiques diverses. Lorsqu'il écrit "Do not go gentle into that good night", Thomas est une célébrité de la radio, et il est logique qu'il ait choisi d'enregistrer une lecture de son poème, que l'on peut écouter ci-dessous Éléments d'analyseLe poème de Dylan Thomas évoque la volonté d'en découdre jusque dans l'agonie, quand bien même il est impossible d'en triompher on songera sur ce sujet au poème "La tour noire" de Yeats. Les strophes montrent comment différentes personnes se comportent face à la mort, de l'homme "sage" de la deuxième strophe au propre près de Thomas dans la sixième. Il s'agit pour chacun de faire un bilan de la vie écoulée, de ce qui a été fait ou non, et dans ce dernier cas d'exprimer des regrets "words had forked no lightning" dans le cas du sage. Ce parcours de témoignage en témoignage est renforcé par le procédé de l'enjambement, par exemple dans la cinquième strophe Grave men, near death who see with blinding sight [enjambement] Blind eyes could blaze like meteors and be gay. On remarquera le passage de "blinding" à "blind", l'affaiblissement ou la perte de la vue due au grand âge permettant paradoxalement, en apparence, une meilleure vision de la vie menée. L'enjambement permet aussi de souligner le mouvement de la lecture et de la vie qui est donc aussi celui du temps qui mène, inéluctable, à la mort défiée. Celle-ci est assimilée évidemment à la nuit, image récurrente qui se décline par le biais de l'obscurité, du soleil faiblissant "The sun in flight" or elle est présentée aussi d'une façon positive, "good night" qui est aussi image d'un paradis ou du moins d'un repos. On pourra aisément faire le lien avec la maladie du père de Dylan Thomas "my father" pour qui la mort pouvait représenter la fin des souffrances dont il connaissait symboliquement les sommets, au plus près donc de la mort "sad height". Or pour le poète, ainsi que le rappelle le refrain, il est hors de question d'accepter la mort quand bien même elle apparaîtrait comme un soulagement. Un exemplaire de la revue Botteghe Oscure, avec Dylan Thomas entre autres noms prestigieux au sommaire... Dans l'ensemble, le poème développe une structure argumentative, de l'impératif de la première strophe, appliqué ensuite à différents types de personne hommes sages, bons, sauvages, sérieux... jusqu'au quatrain conclusif il s'agit toujours de refuser de se soumettre à la mort et d'inciter finalement la figure paternelle à enrager à son tour, selon les modèles qui lui sont fournis. On insistera brièvement sur l'importance de l'adjectif "gentle" dans le texte original, parfois considéré comme une faute de grammaire intentionnelle alors que l'anglais attendrait l'adverbe "gently" on peut suggérer que l'adjectif renvoie bien au sujet à qui est adressé l'injonction "do not go gentle" impliquant un "you", c'est-à-dire une adresse au lecteur, au père, tandis que l'adverbe "gently" s'appliquerait à l'action "go". L'adjectif fonctionnerait donc ici selon un principe d'ellipse grammaticale qui fait ressortir le ver. Un genre poétique, la villanelle Forme classique stricte et répandue dans la poésie anglaise, la villanelle respecte plusieurs critères - elle est constituée de dix-neuf vers répartis en cinq tercets et un quatrain final ; - elle est écrite en pentamètre iambique, ver fréquent de la poésie anglaise qui consiste à faire suivre une syllabe non accentuée d'une syllabe accentuée ; - seuls deux types de rimes sont utilisés tout le long du poème la rime en -ight "night", "light", "brigh"... et la rime en -ey "they", "day", "bay"... ; - le premier ver entier est répété aux sixième, douzième et dix-huitième vers ; - le troisième ver est répété aux neuvième, quinzième et dix-neuvième vers. Exemple de modèle, appliqué par Dylan Thomas A1 b A2 / a b A1 / a b A2 / a b A1 / a b A2 / a b A1 A2. Matthew McConaughey ému dans Interstellar. L'évolution de son personnage renvoie au poème de Dylan Thomas qui l'accompagne, en un sens, tout au long du film. On constate ainsi que dans le poème de Dylan Thomas, les vers "Do not go gentle into that good night" et "Rage, rage against the dying of the light" servent de refrain. La villanelle est traditionnellement associée aux thèmes pastoraux, à la nature, aux choses simples. De ce point de vue, le thème de la mort dans le poème de Thomas est compris comme partie du cycle naturel de la vie. Postérité musicale La popularité du poème de Dylan Thomas a conduit des musiciens à s'en inspirer pour des hommages musicaux très variés. Igor Stravinsky avait ainsi envisagé une collaboration avec Dylan Thomas pour une oeuvre de théâtre musical. Dès 1954, Stravinsky compose en mémoire du poète le chant funèbre In Memoriam Dylan Thomas. Il s'agit d'un chant pour ténor, quatre trombones et quatuor à cordes d'une durée d'environ huit minutes que l'on peut entendre sur youtube. Le deuxième mouvement est consacré à "Do not go gentle into that good night", chanté par le ténor. En 1989, c'est le musicien gallois John Cale ancien membre du groupe Velvet Underground qui utilise des poèmes de Thomas pour son album Words for the Dying, composé en réaction à la guerre des Malouines de 1982 qui oppose le Royaume-Uni à l'Argentine. Sur la face B de l'album se trouve notamment un enregistrement de "Do not go gentle into that good night" John Cale, pour la pochette de l'album Words for the Dying 1989 En 2015, le rappeur G-Eazy lit le début du poème en "Intro" de son album When It's Dark Out, gros succès de la période qui contribue encore à faire découvrir le poème plus d'un million de disques vendus ! Le rappeur G-Eazy pour la pochette de When It's Dark Out 2015. Plus récemment, le "parrain du Punk" Iggy Pop a proposé sa propre version intégralement lue du poème pour son album Free 2019, dont "Do not go gentle into that good night" occupe l'avant-dernière place. Une agence de pub avait contacté le rocker pour qu'il lise le poème en voix d'une publicité le chanteur vieillissant s'est d'abord montré peu enthousiaste, associant le poème à la scolarité "Je ne suis pas au lycée !" déclare-t-il, mais finalement n'a pas résisté au plaisir de l'intégrer à un disque... on peut entendre sa lecture ici, avec une trompette en fond entre autres. Iggy Pop, image promotionnelle pour son album Free 2019 où il chante la villanelle de Dylan Thomas. Postérité au cinéma Le cinéma également a su se souvenir du poème de Thomas... sachant d'ailleurs tirer parti de son statut de classique scolaire, par exemple pour le film Back To school 1986 d'Alan Metter, où l'on voit l'acteur comique Rodney Dangerfield, dans le rôle de Thornton Mellon, découvrir les bancs de la fac pour encourager son fils... et lui-même s'encourage en plein examen en récitant "Do not go gentle into that good night". Rodney Dangerfield récite le poème de Dylan Thomas dans Back to school, 1986. En 1996, c'est le blockbuster Independence Day de Roland Emmerich qui puise dans le poème de Thomas pour le discours patriotique du président des États-Unis joué par Bill Pullman. Celui-ci motive ses troupes avant un assaut décisif contre les envahisseurs aliens, s'exclamant très solennellement "We will not go quietly into the night" ! Curieuse utilisation, peut-être, d'un poème gallois qui n'avait rien à voir avec l'indépendance américaine... Bill Pullman incite à bouter les aliens hors du système solaire en récitant des vers de Dylan Thomas. Interstellar 2014 de Christopher Nolan a plus récemment contribué à la popularité du poème au niveau international, les vers de Thomas accompagnant en leitmotiv les différentes tentatives des personnages d'échapper à l'extinction de l'humanité l'espérance et les lumières des étoiles contrastent avec la noirceur spatiale. On peut écouter ici une lecture de l'acteur Michael Caine le professeur John Brand dans le film, ou encore une version interprétée par d'autres acteurs du film, dont Jessica Chastain ou Matthew McConaughey. La science-fiction et la poésie font bon ménage au cinéma voir Yeats et Equilibirum... Michael Caine cite plusieurs "Do not go gentle..." dans Interstellar 2014. Postérité en peintureOn ne s'étonnera pas sans doute que ce soit encore un gallois qui ait voulu rendre hommage au poème de Dylan Thomas, en l'occurrence l'artiste Ceri Richards 1903-1971. Il peignit trois peintures inspirées du poème, chacune datée respectivement de 1954, 1956 et 1965. Ceri Richards, Do not go gentle into that good night, 1956. Peinture à huile sur toile. Au sujet de la villanelle elle-même, Ceri Richards déclara "'Rage, rage against the dying of the light' est peut-être dans la nature de la contestation - mais futile. Ce ver qui revient à la fin de chaque strophe me semble affirmer la futilité de la contestation et de la proclamation. Ce sont nos oeuvres que nous laissons derrière nous." Référence dans un jeu vidéo Dans le jeu League of Legends de Riot Games, les joueurs peuvent entendre de temps à autre le personnage Aatrox citer "Rage against the dying of the light", Aatrox étant lui-même un ancien "Fils du soleil" devenu un "Darkin" fou de colère... Aatrox, personnage ténébreux du jeu League of Legends. Le poème a eu d'autres influences et continue d'inspirer au fil du temps, sous des formes diverses le premier roman de science-fiction de George R. R. Martin se nomme par exemple Dying of the light !, ce qui d'ailleurs renforce son statut de classique... ainsi que celui de Dylan Thomas dont le nom a notamment inspiré Robert Zimmerman pour devenir Bob Dylan !. Ci-dessous le poème de Thomas et une traduction au format JPG
Lecrépitement du feu, les bruits des grillons, la chaleur des flammes et les bruits diverses d'animaux, tout ce vacarme harmonieux créait une atmosphére radieu
Je sais que certains d’entre vous ont en tout ou partie » fait leur deuil, vous êtes plus sages que moi. N’entre pas docilement dans cette douce nuit, Le vieil âge doit gronder, tempêter, au déclin du jour, Hurler, hurler à l’agonie de la lumière, Si le sage sentant la fin sait que les ténèbres sont justes, Car ses mots n’ont point forgé de foudre, Il n’entre pas docilement dans cette douce nuit, Hurle, hurle à l’agonie de la lumière. Dylan Thomas poème cité dans Interstellar, le film de Chris Nolan Climat l’humanité proche de retombées climatiques cataclysmiques, alerte le Giec – La Libre Ne regrettons pas à l’heure ultime de ne pas avoir été beaucoup beaucoup beaucoup plus offensifs dans notre engagement pour le climat c’est pour la survie de l’humanité que nous nous battons, ni plus ni moins. Parfois, je ne suis même pas sûr que les environnementalistes eux-mêmes comprennent que le corps humain et l’espèce humaine sont comme les autres vivants susceptibles d’extinction face à une rupture climatique inédite dans leur histoire génétique. Et en tant que mammifères supérieurs tout en haut de la chaîne trophique mondiale, nous sommes beaucoup plus vulnérables que la plupart des espèces. Avec cet article dont je vous partage la référence, il y a franchement lieu d’initier une carte blanche signée par 500 scientifiques et personnalités, une lettre ouverte adressée à tous les gouvernements et tous les citoyens et tous les rédac chefs quid du traitement de l’urgence écologique par nos médias nada, pour mettre chacun devant ses responsabilités. Et de mener des actions bien plus fortes. Moi je ne peux pas mais ma plume me démange. Mais je ne peux pas me taire en tant que citoyen, vous me connaissez. Ceci devrait figurer en une de tous les journaux tant que ce n’est pas réglé. Les rédac chefs n’ont aucune excuse. Nous devrions être des centaines de millier dans les rues. Ce devrait être le dossier le plus urgent pour tous les politiques et les citoyens. La condamnation de la Belgique + cet article sur le futur rapport du GIEC on n’a pas le temps d’attendre d’aller en appel ni la publi du rapport en 2022. Ca fait depuis 2018 que la notion d’urgence écologique est martelée, jusqu’au plus haut niveau. Chaque année donne raison aux plus avant-gardistes. Mais regardez autour de vous aucune mobilisation générale. Tout citoyen lucide peut constater qu’on dort littéralement aux niveaux politique et citoyen en ce moment, la transition n’a même pas encore commencé concrètement. Or le déni est total. La fissure est béante entre le principe de réalité et notre vie quotidienne. La souffrance psychologique de ceux qui ont la moindre once de lucidité et d’empathie pour les autres êtres humains et vivants est gigantesque. C’est dramatique, absurde, nihiliste. Qu’on disparaisse, c’est notre sort individuel et même d’espèce. Mais pas sans combattre ! Je me demande tous les jours si ce que je fais là où je suis est digne de l’urgence, avec tout le respect pour des gens qui consacrent leur vie à la politique et à ses méandres. Mais ici on parle de notre vie à tous. Une situation extraordinaire nécessite des gens et des actes extraordinaires. La politique aussi doit se hisser à un niveau de jeu extraordinaire. Le réalisme habituel de ceux qui savent manoeuvrer » devient ici, désolé, un nihilisme qui ne dit pas son nom, aggravé par l’orgueil et le déni. Albert Camus l’homme révolté c’est la révolte face à la barbarie et l’absurde qui fonde notre humanité. Il n’y a pas d’excuse et oui, on accable toujours la minorité active de Margaret Mead, vous amis, mais il n’y a qu’elle, si personne n’est responsable, c’est que nous le sommes, il n’y a personne d’autre. Le silence est assourdissant depuis le début de la pandémie, il faut le crever ou nous allons crever. Il faut pousser un grand cri de révolte maintenant oui encore un, il ne faut cesser d’hurler tant que l’inertie demeure. C’est mon sentiment. Tout seul on ne peut rien faire, ensemble, on peut essayer. Ca nécessite que chacun sorte de sa réserve et de son confort diplomatique prenne des risques donc encore ? oui encore ! encore plus ? oui encore plus ! En 1940, de jeunes gens de 18 ans volaient dans des Spitfire pour empêcher les nazis d’envahir le Royaume-Uni, certains mourraient.
Vousn’entrerez pas docilement dans cette douce nuit ! Hurlez, hurlez. Et levez-les yeux, puisque nous l’avons oublié Note : 9.5/10. Meilleure réplique : Les parents sont le souvenir de leurs enfants. Meilleures scènes : -
N’entre pas apaisé dans cette bonne nuit, Les vieux devraient tonner, gronder quand le jour tombe ; Rage, mais rage encor lorsque meurt la lumière. Si le sage à la fin sait que l’ombre est la norme, Comme aucun de ses mots n’a fourché en foudre il N’entre pas apaisé dans cette bonne nuit. Le bon, près de la vague ultime, qui déplore Que sa vie frêle eût pu danser en verte baie, Il rage, il rage encor lorsque meurt la lumière. Le fou qui prit, chanta, le soleil en plein vol, Et conscient, trop tard, d’avoir bridé sa course, N’entre pas apaisé dans cette bonne nuit. Le juste, agonisant, qui voit d’un œil aveugle Qu’un œil aveugle peut briller, gai, météore, Il crie, il crie encor lorsque meurt la lumière. Et toi, mon père, là, sur ces tristes hauteurs, Maudis-moi, bénis-moi de pleurs durs, je le veux ! N’entre pas apaisé dans cette bonne nuit. Mais rage, rage encor lorsque meurt la lumière. Cette traduction originale, due à Lionel-Édouard Martin, relève du droit de la propriété intellectuelle. Il est permis de la diffuser, à la condition expresse que le nom du traducteur soit clairement indiqué. Do not go gentle into that good night, Old age should burn and rave at close of day; Rage, rage against the dying of the light. Though wise men at their end know dark is right, Because their words had forked no lightning they Do not go gentle into that good night. Good men, the last wave by, crying how bright Their frail deeds might have danced in a green bay, Rage, rage against the dying of the light. Wild men who caught and sang the sun in flight, And learn, too late, they grieved it on its way, Do not go gentle into that good night. Grave men, near death, who see with blinding sight Blind eyes could blaze like meteors and be gay, Rage, rage against the dying of the light. And you, my father, there on that sad height, Curse, bless me now with your fierce tears, I pray. Do not go gentle into that good night. Rage, rage against the dying of the light. in In Country Sleep [éd. New Directions, New York, 1952] D'autres poèmes de Dylan Thomas sur ce blog Dira-t-on que les dieux rouent de coups les nuages / Shall gods be said to thump the clouds Et la mort n’aura point d’empire / And death shall have no dominion
Iln'entre pas docilement dans cette douce nuit, Hurle, hurle, A l'agonie de la lumière. \- エスケープ -/ \- 現実 -/ Je n'ai pas de parents, je fais des cieux et de la terre mes parents. Je n'ai pas de pouvoir magique, je fais de ma personnalité mon pouvoir magique. Je n'ai ni de vie ni de mort, ma vie et ma mort ne font qu'un.
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