Ellesmouillent comme au Mawsynram, alors qu'j'ai rappé 2 lignes. J'suis pas une oeuvre d'art j'suis juste posé contre le mur. Les teens sur lesquelles j'me branlais sont devenus des femmes mûres. Ils veulent boire mon sky et mon thé mais ils veulent pas m'voir monter. J'vais rafaler ta gueule comme si tu émergeait d'un stop mal tracé.
â€č 1 2 3 4 5 â€ș » Fallais pas me quitter tu voisIl est beau le rĂ©sultatJe fais rien que des bĂȘtises Des bĂȘtises quand t'es pas lĂ  Les bĂȘtises de Sabine Paturelje propose le mot chocolat Caramels,bonbons et chocolatsPar moments ,je ne te comprends pour moiMais tu peux bien les offrir Ă  une autre...Paroles ,paroles Dalida et Alain propose le mot Interdit qu'il soit adjectif,forme de verbe ou nom commun Entre l'oubli et l'oubliMais l'oiseau du paradis joue plutĂŽt aux jeux interditsRien ne dure au dessus de la ceinture d'Elodie FrĂ©gĂ©Je propose le mot printemps [ Message Ă©ditĂ© le 11/08/2017 Ă  1205 ] Est-ce que tu vois le printemps ?Celui qui met nos terres au soleilDis-moi est-ce que tu l'entends ?Du bourgeon oui la fleur qui Printemps de Damien SaezJe propose le mot Souffle J'abandonne sur une chaise le journal du matinLes nouvelles sont mauvaises d'oĂč qu'elles viennentJ'attends qu'elle se rĂ©veille et qu'elle se lĂšve enfinJe souffle sur les braises pour qu'elles prennentDĂ©jeuner en paix de Stephan propose le mot doigt [ Message Ă©ditĂ© le 11/08/2017 Ă  1611 ] Elle a les cheveux mayonnaiseMoi j'ai un pull caca d'oieElle c'est Jeanne et moi c'est Blaiseça se passe Ă  St Jean du Jean du doigt de Thomas propose le mot Bois "si tu reviens par lĂ tu verras la riviĂšreet j'ai refait en pierrele petit pont de boispuis je l'ai recouvertde rondins de bois vertpour rendre a la riviĂšreson vieil air d'autrefois"Le petit pont de bois- Yves Duteil Je propose le mot amour Alors elle fait le plus vieux mĂ©tier du mondeAlors elle fait de son mieux l'amour de trente secondesL'amour de trente secondes de Marc propose le mot aviateur HelloMoi je suis faite Pour l'azur et ces conquĂȘtes Pour le cuir des flying jackets En coucou, en piper Un aviateur Veronique Jeannot - aviateurJe propose le mot Ornithorynque.... Heuu non, ptĂȘte pas quand ce sera VARSOVIE euh alors ornithorynque ... c'est compliquĂ© tout ça . Ah Varsovie c'est beaucoup mieux , j'ai eu peur Elle aimait elle aimait ses amisSurtout Ruth et Anna et surtout JĂ©rĂ©mie Et il ses marieraient un jour peut-ĂȘtre Ă  Varsovie Jean-Jaques Goldman - comme toi je propose le mot peur c'est le premier mot qui me vient bizarrement [ Message Ă©ditĂ© le 12/08/2017 Ă  0321 ] â€č 1 2 3 4 5 â€ș »
Rienne dure Au dessus de la ceinture Non pas sur la bouche Je sais c'est louche Puisque ma peau A l'odeur de ton odeur Au dehors il fait chaud Non pas sur les lĂšvres Jamais Paroles de La ceinture par Maximilien PhilippeNon pas sur la bouche MĂȘme si câ€Čest louche Puisque ma langue A le goĂ»t de ta vertu De ton honneur perdu Non pas sur les lĂšvres MĂȘme si j'en rĂȘve MĂȘme si je tremble Et bien que mon coeur soit nu Mon Ăąme est revĂȘtue De pudeur et dâ€Čimpudence Sans te faire offense Mieux n'vaut pas tenter sa chance Rien ne dure Au dessus de la ceinture Non pas sur la bouche MĂȘme sous la douche MĂȘme si c'est dur Je te mordrai câ€Čest promis Tous les coups sont permis Non pas sur les lĂšvres MĂȘme pas en rĂȘve A sang pour sĂ»r Ou tu mangeras ton pain gris Mon cƓur est endurci Ne tire pas sur lâ€Čambulance Car de la potence Plus rien n'a plus dâ€Čimportance Rien ne dure Au dessus de la ceinture Non pas sur la bouche Je sais je touche Le fond du lac Le temps des cerises est mort Le diable est dans le corps Non pas sur les lĂšvres Non c'est pas miĂšvre Câ€Čest pas le trac Mais je prĂ©fĂšre me donner crue Sans revers ni refus Rendons nous Ă  l'Ă©vidence Tout est cuit dâ€Čavance Mieux n'vaut pas tenter sa chance Rien ne dure Au dessus de la ceinture Non pas sur la bouche Je sais c'est louche Puisque ma peau A lâ€Čodeur de ton odeur Au dehors il fait chaud Non pas sur les lĂšvres Jamais de trĂȘve Et pas dâ€Čassauts Le bonheur est dans la pente Entre le sol et le ventre Entre l'oubli et lâ€Čoubli Bel oiseau du paradis Joue plutĂŽt "jeux interdits" Rien ne dure Au dessus de la ceintureWriters Benjamin Biolay
ChaquecentimĂštre carrĂ© de peau visible Ă  la loupe. Faut rien laisser au hasard. Pas de gerçure au coin de la lĂšvre. Pas de poil mutin. Pas de rougeur. Et surtout pas de bouton. C’est gĂ©nĂ©ralement dans les moments fatidiques de la vie qu’un bouton dĂ©cide de pousser entre les deux yeux comme un point rouge de sniper. Mais pas aujourd
La Ceinture est une chanson de Elodie FrĂ©gĂ© pour laquelle les lyrics ont Ă©tĂ© ajoutĂ©s le 08/07/ paroles de La Ceinture ont fait l'objet d'une relecture, cependant, il est probable qu'il y ait encore des incomprĂ©hensions. N'hĂ©sitez pas Ă  me contacter par pouvez regarder le clip de Elodie FrĂ©gĂ© avec la vidĂ©o ci-dessous. Non pas sur la bouche MĂȘme si c'est louche Puisque ma langue A le goĂ»t de ta vertu De ton honneur perdu Non pas sur les lĂšvres MĂȘme si j'en rĂȘve MĂȘme si je tremble Et bien que mon coeur soit nu Mon Ăąme est revĂȘtue De pudeur et d'impudence Sans te faire offense Mieux n'vaut pas tenter sa chance Rien ne dure Au dessus de la ceinture Non pas sur la bouche MĂȘme sous la douche MĂȘme si c'est dur Je te mordrai c'est promis Tous les coups sont permis Non pas sur les lĂšvres MĂȘme pas en rĂȘve Ă  cent pour sĂ»re Ou tu mangeras ton pain gris Mon coeur est endurci Ne tire pas sur l'ambulance Garde la potence Plus rien n'a plus d'importance Rien ne dure Au dessus de la ceinture Non pas sur la bouche Je sais je touche le fond du lac Le temps des cerises est mort Le diable est dans le corps Non pas sur les lĂšvres Non c'est pas miĂšvre C'est pas le trac Mais je prĂ©fĂšre me donner crue Sans revers ni refus Rendons nous Ă  l'Ă©vidence Tout est cuit d'avance Mieux n'vaut pas tenter sa chance Rien ne dure Au dessus de la ceinture Non pas sur la bouche Je sais c'est louche Puisque ma peau A l'odeur de ton odeur Au dehors il fait chaud Non pas sur les lĂšvres Jamais de trĂȘve Et pas d'assaut Le bonheur est dans la pente Entre le sol et le ventre Entre l'oubli et l'oubli MĂȘme l'oiseau du paradis Joue plutĂŽt jeux interdits Rien ne dure Au dessus de la ceinture. Note Loading... Le clip vidĂ©o de La Ceinture TĂ©lĂ©charger le MP3, acheter le CD Audio ou la sonnerie de La Ceinture Liens pour les lyrics de La Ceinture Pour votre site / blog, copiez cette adresse BBCode pour un forum, utilisez ce code
Tun'as vraiment rien d'une star T'es plutĂŽt ringard Non non non non Toi tu n'es pas le King au dodo Non non non non (ad lib.) _____ Merci au dos de la pochette pour les paroles. Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit. Nous nous engageons Ă  en retirer l'affichage en cas de demande de leur part. Commentaires. Voir tous les
Je ne vous avais pas encore parlĂ© de cette petite nouveautĂ© de 2017, alors cela sera chose faite ! Chaque vendredi, je vous proposerais 3 tissus disponibles immĂ©diatement pour rĂ©aliser un corset ou serre taille. Avec votre commande je vous offre une ceinture obi ou une pochouette dans le mĂȘme tissu pour ranger vos trĂ©sors. Lire la suite → Les nymphes, Ă  l’atelier se sont ces ensembles qui mettent en valeur un joli serre-taille par dessus un jupon de tulle placĂ© au dessus de la poitrine. J’ai voulu créé une autre version de la robe nymphe, toujours avec du tulle, toujours avec serre taille. Voici donc une jolie robe en tulle Ă©cru avec un serre taille en toile de jouy coton. Robe nymphe – l’impĂ©ratrice CrĂ©ation la FĂ©e CorsetĂ©e Evidemment, la robe est entiĂšrement pensĂ©e pour que le tulle ne vous gratte pas. Il est doublĂ© coton, et les bords sont faits avec des ourlets de coton pour ne pas avoir le tulle contre la peau. Il s’agit de tulle fin donc il n’irrite pas gĂ©nĂ©ralement, mais de cette maniĂšre, mĂȘme les plus sensibles d’entre nous sont sons crainte ! Que pensez-vous de ce modĂšle ? A la fin de l’annĂ©e, j’ai fait un trĂšs joli serre taille, qui a trĂšs vite trouvĂ© sa demoiselle mais comme je le trouvais trĂšs joli,je me suis permise de lui demander si je pouvais le proposer en petite sĂ©rie. Un oui » plus tard, le voilĂ  donc ici mĂȘme. J’espĂšre qu’il vous plaira par sa simplicitĂ© sans fioriture et pourtant son originalitĂ© de la part du tissu ^^ Lire la suite → Que cela soit pour une sortie au restaurant avec votre cher et tendre, pour le rĂ©veillon, pour aller Ă  un baptĂȘme ou pour 
 pour 
 courir dans les champs sous l’Ɠil amusĂ© d’un photographe amateur ou non ; je vous prĂ©sente ces petits ensembles ! Ils peuvent ĂȘtre aussi un joli cadeau pour NoĂ«l, car ils s’adaptent Ă  toutes ! Ils se composent de ceintures inspirĂ©es des obi asiatiques qui se nouent tout simplement autour de la taille et s’adaptent donc Ă  toutes les mensurations + un jupon de tulle fin noir Ă  positionner au dessus de la poitrine un ruban peut ĂȘtre ajoutĂ© afin de le nouer dans le cou. La ceinture permet de resserrer le tulle et hop une superbe tenue voit le jour ! Vous pourrez aussi porter le jupon de tulle seul en le positionnant Ă  votre taille, ainsi vous avez une jupe longue et vaporeuse ! La collection est trĂšs limitĂ©e les filles ! alors on se dĂ©pĂȘche Ă  me contacter feecorsetee Ensemble Lutine / Obi seul 20€ 1 seul disponible de suite / Obi + jupon tulle 1 seul disponible 150€ livraison octobre *** Ensemble Poney Obi seul 20€ 1 seul disponible de suite / Obi + Jupon tulle 150€ 1seul disponible livraison octobre *** Ensemble Pow Obi seul 20€ 1 seul disponible de suite / Obi+ jupon 150€ 1 seul disponible , livraison octobre *** Ensemble Sailor Obi seul 20€ 2piĂšces disponible , livraison de suite / Obi + Jupon tulle 150€ , 2 disponibles, livraison octobre *** Ensemble Bunny Obi seul 20€, 1 disponible de suite / Obi + jupon tulle 150€, 1 disponible livraison octobre *** Ensemble Flash Obi seul 20€ , 2 disponibles de suite / Obi + Jupon tulle 150€ 2 disponibles, livraison octobre *** Ensemble Stars Obi seul 20€ 1 disponible de suite / Obi + Jupon tulle 150€ 1 disponible, livraison octobre *** Ensemble Little Obi seul 20€ 3 disponibles, envoi de suite / Obi + Jupon tulle 150€ 3 disponibles, livraison octobre *** Ensemble NoĂ«l Obi seul 20€ livraison de suite / Obi + Jupon de tulle 150€, 1 disponible, livraison octobre Alors ? Laquelle prĂ©fĂ©rez-vous ? Vous savez quoi ? Dans un mois nous serons en train de digĂ©rer notre repas de NoĂ«l, mais aussi de dĂ©couvrir un peu mieux les cadeaux et enfin de penser Ă  la tenue du rĂ©veillon ! Bon je sais, ça en fait des choses .. mais ça sera ça,non ? Concentrons nous sur la tenue de NoĂ«l ou du rĂ©veillon, ou encore du repas entre deux fĂȘtes avec les copains ! Cette annĂ©e j’ai dĂ©cidĂ© de sortir les tissus NoĂ«l » que j’avais. RĂ©sultat 5 motifs -inscription NoĂ«l sur du lin -imprimĂ© pĂšre NoĂ«l sur lin Ă©galement – 3 cotons Ă  volutes dorĂ©es sur fond rouge, vert et bleu/violet Il m’en reste un peu de chaque alors hop ! Habillons nous pour les fĂȘtes mais comme je veux que vous puissiez remettre les choses aprĂšs les fĂȘtes c’est mieux, je me contente dans ces tissus de la petite ceinture obi » que l’on peut facilement retourner. Du coup une face NoĂ«l et fĂȘtes et de l’autre un uni noir. Sur les photos c’est un coton noir, mais je vous mettrai un satin noir, ça sera plus chic !! Et comme un obi ça habille moyen quand mĂȘme 
 le PĂšre NoĂ«l n’est pas reconnu pour ĂȘtre un coquin, on va quand mĂȘme s’habiller un peu plus. Alors je vous propose le petit jupon de tulle, Ă©lastiquĂ© Ă  la taille, ce qui permet de le mettre Ă©galement au dessus de la poitrine. Vous le cintrez avec la ceinture et hop ! une robe toute simple et bien chouette voit le jour ! Magique non ? Je rappelle Ă  toutes que la ceinture obi, n’est pas baleinĂ©e. Elle n’a rien Ă  voir avec un serre taille. Elle est juste lĂ  en dĂ©co pour cintrer un peu la silhouette. Je vous les montre ? ModĂšle 1 Vert ModĂšle 2 PĂšre NoĂ«l ModĂšle 3 Rouge ModĂšle 4 Écritures NoĂ«l ModĂšle 5 Bleu/violet Alors lequel Ă  votre prĂ©fĂ©rence ? Voici le tarif -Obi 35€ + 5€ d’envoi -Jupon tulle 145€ + d’envoi -L’ensemble 180€ + 14,50 d’envoi Comme dit plus haut, j’ai un stock limitĂ© des tissus, donc je vous laisse m’envoyer vos demandes d’achat en me prĂ©cisant ce que vous souhaitez via mail feecorsetee et ce soir 17h, je reprends tout en commençant pas les ensembles entiers dans l’ordre d’arrivĂ©e des mails puis s’il reste du tissu par les ceintures seules par ordre d’arrivĂ©e Ă©galement. Vous pourrez rĂ©gler comme d’habitude par chĂšque, Paypal, virement ou mandat. Les commandes seront envoyĂ©es le 17 dĂ©cembre en Colissimo. VoilĂ  mes elfes, j’espĂšre que cette aventure de NoĂ«l vous comblera ! Et 
. n’oubliez pas d’ĂȘtre sage ! Ce vĂȘtement dĂ©rivĂ© du corset est parfois appelĂ© ceinture ou encore underbust. Il possĂšde la mĂȘme logique qu’un corset avec doublure en coutil pour rĂ©sister au serrage sans bouger et avoir une bonne tenue, il a Ă©galement un laçage et des baleines. Son utilitĂ© ? Juste cintrer la taille pour l’affiner et galber joliment le corps. Ici un serre taille avec un laçage au dos pour le rĂ©glage et des brandebourgs pour la dĂ©co sur le devant Il commence au niveau des hanches et se termine en sous poitrine. C’est pourquoi il faut le penser comme un accessoire et donc en complĂ©ment d’une tenue. Beaucoup d’entre vous ne savent pas toujours comment le porter. Vous pouvez pourtant le mettre facilement sur une chemise traditionnelle, avec un pull moulant, une blouse large pour la faire bouffer. Il ira Ă©galement trĂšs bien sur une robe pour casser l’uniformitĂ© et crĂ©er un ensemble jupe et haut trichĂ© ! Avec un jean et un t-shirt, ou encore avec un sarrouel, vous deviendrez une hippie chic au cotĂ© laissĂ© allĂ© et pourtant bien tenue ! Vous voyez, il suffit juste d’oser en fait et de vous surprendre ressortez cette jupe toute simple du placard, ce petit haut et ajoutez un petit serre taille ! Cependant, si vous voulez le mettre facilement, pensez surtout aux couleurs. Nous n’avons pas trop l’habitude de ce vĂȘtement alors pour un premier notamment, respecter un principe d’habitude visuelle. Si j’ouvre votre placard aujourd’hui, quelles sont les teintes que je vais trouver ? Restez dans ces couleurs que vous aimez, il vous sera plus facile Ă  mettre. Si vous avez de tout, alors pensez Ă  une couleur complĂ©mentaire qui pourrait aller avec la plus part de vos vĂȘtements. Et n’oubliez pas le noir, un bon passe partout que vous pourrez facilement associer Ă  votre garde robe en changeant juste la couleur du ruban de laçage ! Utilisation plus surprenante et moins attendue 
. sur une mariĂ©e ! et oui, certaines souhaite un corset, le cotĂ© taille fine, laçage mais avec une toute petite poitrine ce n’est pas forcĂ©ment une bonne idĂ©e. Le corset Ă©crase la base des seins pour les faire remonter mais s’il n’y a pas grand chose, et bien 
. il ne reste plus rien ! Le serre taille casse » sous la poitrine et donne un aspect trichĂ© d’une poitrine plus volumineuse. Avec une jolie chemise bouffante, vous pourrez ainsi avoir une robe de mariĂ©e corsetĂ©e mais adaptĂ©e ! Non mais! Bref, Ă  partir de 115€ pour un serre-taille sur mesure avec 1 laçage vous pourrez renouveler votre garde robe de maniĂšre surprenante ! Bonjour Ă  toutes et tous! Et voilĂ , les douze mois de 2010 sont passĂ©s bien vite avec beaucoup de projets, de travaux, de rencontres. Une quarantaine de mariĂ©es, et beaucoup de commandes de corsets ou serres-taille. L’annĂ©e s’est d’ailleurs terminĂ©e en apothĂ©ose avec l’offre Facebook des Ceintures de NoĂ«l. J’attends d’ailleurs vos photographies alors les filles feecorsetee ? OĂč ĂȘtes vous ? Merci Ă  StĂ©phanie et Audrey qui ont dĂ©jĂ  jouĂ© le jeu. D’autres offres verront le jour .. restez connectĂ©es. 2010 est derriĂšre nous, 2011 devant nous ! Alors on fonce, on ose plein de choses, et surtout on ne regrettera rien. Je vous souhaite Ă  toutes et tous mes meilleurs voeux pour cette nouvelle annĂ©e, une bonne santĂ©, des Ă©clats de rire, des projets, des petits et gros bonheurs tout est bon Ă  prendre. Pour moi 2011 sera une annĂ©e
 corsetĂ©e.. surement avec vous, des projets fourmillent dans mon esprit, il ne reste plus qu’à les mettre en place, Ă  les faire mĂ»rir et pour ça, il faut prendre du recul, respirer, savoir regarder autour de soi et laisser faire les choses tout en poussant juste un peu le destin. Il faut juste lui donner la bonne direction, celle que l’on choisi et Ă  partir de lĂ  il y a de grandes chances pour que les portes s’ouvrent un peu plus grand ! 2011 
. toujours de belles aventures 
. dont VOUS ĂȘtes les hĂ©ros! Kikou tout le monde! fĂ©es, lutins, trolls
. et autres Ăąmes errantes! AprĂšs 15 jours dans mon nouvel appart, je suis descendu Ă  la cave
 une cave au trĂ©sor surement
 ça dĂ©pend pour qui des tissus, des rubans, 
 des vieux mannequins sans valeur 
 mais en faisant un tour lĂ  bas, j’ai remontĂ© ma presse Ă  Ɠillet, un rouleau de baleine, un rouleau de toile et quelques morceaux de tissus. Donc mettez 50cm de tissu, 50 cm de toile, 8m de baleines, 18 Ɠillets, une bobine de fil, une aiguille, du cordonnet et voilĂ  sorti une ceinture 
. et mĂȘme une autre plus simple mais avec une broderie au ruban dessus 
 la premiĂšre sur une crĂ©ation. Un tour d’aiguille , un peu de patience et voilĂ  deux nouvelles ceintures un seul laçage dos ! Vous voulez les voir ? mais qui a dit que j’étais gentille ? mon lutin? non, il sait depuis longtemps que je suis
 mĂ©chante comme le blog de La MĂ©chante cf billet du blog Donc non pas de photo pas de suite 
. Il faut que je refasse le stock pour le jour oĂč on trouvera cette nouvelle boutique ! je vous tiens au jus Ă©videmment 🙂 Car en quittant Limoges je n’avais plus grand chose en rayon
 beaucoup de travail en sur mesure et voilĂ  pas de temps pour remplir les rayonnages 😩 Et puis des commandes qui sont dĂ©jĂ  lĂ  donc du coup
 Ha au fait , certaines m’ont peut ĂȘtre entendues pousser mon coup de gueule contre l’anpe sur RTL hier 
 pendant Les Auditeurs Ont la Parole ? bref un grand moment 
 Et si vous l’avez loupĂ© 
 tant pis pour vous
 moi mĂ©chante ?? La fĂ©e corsetĂ©e continue de crĂ©er pendant que nous sommes pour certains en vacances sous les cocotiers, ou Ă  la plage
. La rubrique serre taille de la fĂ©e s’agrandit ces derniers jours, avec de nouveaux modĂ©les qui agrandissent une famille qui devient consĂ©quente ! Il y en a pour tous les goĂ»ts et les couleurs, alors n’hĂ©sitez pas Ă  flĂąner sur ces modĂšles quelques minutes, et imaginez les sur vous ! De nombreuses nouveautĂ©s arrivent sur les autres rubriques du site fĂ©erique de la fĂ©e corsetĂ©e, restez connectĂ©s ou abonnez-vous Ă  nos flux RSS pour ĂȘtre sur de ne rien manquer. Bonsoir Ă  vous fĂ©es et lutins de la forĂȘt ! Le lutin fĂ©erique souhaitait juste vous dire que la fĂ©e corsetĂ©e travaillait trĂšs dur actuellement pour confectionner de nouveaux produits dont elle a les secrets. Avez-vous remarquer les derniĂšres ceintures ici? Et ces corsets? Le lutin fĂ©erique
Rienne dure Au-dessus de la ceinture Non, pas sur la bouche MĂȘme sous la douche MĂȘme si c'est dur Je te mordrai C'est promis Tous les coups sont permis Non, pas sur les lĂšvres MĂȘme pas en rĂȘve A sang pour sĂ»r Ou tu mangeras ton pain gris Mon coeur est endurci Ne tire pas sur l'ambulance Garde la potence Plus rien n'a plus d'importance
Sous ses airs d'innocente, Petite fille a papa, Se cachent des peines immenses, et des tempĂȘtes de froid Que personne ne voit, A peine quinze ans, C’est vrai qu'elle les fait pas. Mais, Quand tes hanches se balancent, et tu t'Ă©lances vers moi, Je ne rĂ©siste pas J'Ă©coute les Cramps, Tu te mets a genoux, Comme une premiĂšre fois, Comme une premiĂšre fois Si t'as une crampe, cramp’ça en cours de route, S'il te plait prĂ©viens moi, S'il te plait prĂ©viens moi A vouloir vivre trop vite, Vouloir tout essayer je te prĂ©viens petite, Ça va mal terminer, Et ca je ne veux pas J'aurais pu te protĂ©ger, De tous ces obsĂ©dĂ©s Et je me jure bĂȘtement, que je ne te laisserai pas PlutĂŽt crever de froid J'Ă©coute les Cramps, Tu te mets a genoux, Comme une premiĂšre fois, Comme une premiĂšre fois Si t'as une crampe, cramp’ça en cours de route, S'il te plait prĂ©viens moi, S'il te plait prĂ©viens moi Ouaaah ! Ah j'aurais tout fait, J'aurais tout essayĂ© Je sais que tu comprends, Que c'est plus fort que toi Je ne t'attendrai pas J’écoute les Cramps, Tu te mets a genoux, Comme une premiĂšre fois, Comme une premiĂšre fois De crampe en Cramps, ah tu me rendras fou Ne joues plus avec moi, Ne joues plus avec moi ooh ! Aah aaah aaaah Waouh !

Cesfemmes se trompent et donnent au féminisme une tonalité désuÚte. Nous avons trop ri des hommes qui pensent qu'ils portent leur masculinité, leur virilité, en dessous de la ceinture

La ceinture LyricsNon,pas sur la boucheMĂȘme si c'est louchePuisque ma langueA le goĂ»t de ta vertuDe ton honneur perduNon pas sur les lĂšvresMĂȘme si j'en rĂȘveMĂȘme si je trembleEt bien que mon cƓur soit nuMon Ăąme est revĂȘtueDe pudeur et d'impudenceSans te faire offenseMieux n'vaut pas tenter sa chanceRien ne dureAu dessus de la ceintureNon, pas sur la boucheMĂȘme sous la doucheMĂȘme si c'est durJe te mordrai c'est promisTous les coups sont permisNon, pas sur les lĂšvresMĂȘme pas en rĂȘveA sang pour sĂ»rOu tu mangeras ton pain grisMon cƓur est endurciNe tire pas sur l'ambulanceCar de la potencePlus rien n'a plus d'importanceRien ne dureAu dessus de la ceintureNon, pas sur la boucheJe sais, je toucheLe fond du lacLe temps des cerises est mortLe diable est dans le corpsNon, pas sur les lĂšvresNon c'est pas miĂšvreC'est pas le tracMais je prĂ©fĂšre me donner crueSans revers, ni refusRendons nous Ă  l'Ă©videnceTout est cuit d'avanceMieux n'vaut pas tenter sa chanceRien ne dureAu dessus de la ceintureNon, pas sur la boucheJe sais c'est louchePuisque ma peauA l'odeur de ton odeurAu dehors il fait chaudNon, pas sur les lĂšvresJamais de trĂȘveEt pas d'assautsLe bonheur est dans la penteEntre le sol et le ventreEntre l'oubli et l'oubliBel oiseau du paradisJoue plutĂŽt "jeux interdits"Rien ne dureAu dessus de la ceintureHow to Format LyricsType out all lyrics, even repeating song parts like the chorusLyrics should be broken down into individual linesUse section headers above different song parts like [Verse], [Chorus], italics lyric and bold lyric to distinguish between different vocalists in the same song partIf you don’t understand a lyric, use [?]To learn more, check out our transcription guide or visit our transcribers forum ElodieFrĂ©gĂ© " Au dessus de la ceinture" dans "In Live With" (2006)RĂ©alisation Miguel OCTAVE La lumiĂšre a toujours Ă©tĂ© prĂ©sente et a accompagnĂ© l'homme depuis la nuit des temps. En raison des persĂ©cutions, les premiers chrĂ©tiens Ă©taient contraints de se rassembler dans des lieux cachĂ©s, souterrains, oĂč ils avaient besoin de lumiĂšre. De mĂȘme, les premiĂšres Ă©glises laissaient passer trĂšs peu de lumiĂšre pour inspirer le recueillement dans la pĂ©nombre. Durant des siĂšcles, le jonc a Ă©tĂ© utilisĂ© pour faire des chandelles. Fendu avec prĂ©caution pour ne pas abimer la moelle, il Ă©tait trempĂ© dans de la graisse animale ou vĂ©gĂ©tale qu'on laissait durcir. On le faisait brĂ»ler dans un Occident, Ă  partir du Moyen-Ăąge, la chandelle rivalise avec la lampe Ă  d'une mĂšche entourĂ©e de suif de boeuf ou de mouton, la chandelle est plus pratique, sans ĂȘtre excessivement chĂšre mais elle est taxĂ©e et l'huile reste plus Ă©conomique. Le terme bougie n'apparaĂźt dans la langue française qu'au XIV siĂšcle. Il est tirĂ© du mot BUGAYA transcription en arabe du mot kabyle BGAYET, nom d'une ville maritime d'AlgĂ©rie actuellement Bejaia.Cette ville fournissait une grande quantitĂ© de cire utilisĂ©e Ă  la place du suif des chandelles. A l'Ă©poque, les bougies Ă©taient naturellement de couleur jaunĂątre. On pouvait en avoir des blanches si au prĂ©alable on laissait la cire blanchir au soleil plusieurs jours, voire des semaines. Les bougies blanches Ă©taient plus chĂšres et n'Ă©taient alors utilisĂ©es que dans les palais conclusion, le mot bougie n’est utilisĂ© que pour des produits faits de cire d’abeille et le mot chandelle est rĂ©servĂ© aux produits faits de suif. La noblesse et le clergĂ© s’éclairaient avec des bougies en cire d’abeille, alors que le peuple français utilisait des chandelles au suif de mouton ou de vache qui Ă©taient beaucoup moins chĂšres. La bougie, comme nous la connaissons, fĂ»t dĂ©veloppĂ©e au milieu du XIXĂšme siĂšcle et se distingue de la chandelle par sa matiĂšre premiĂšre et par l’utilisation de mĂšches de coton tressĂ©es. La chandelle commence Ă  disparaĂźtre. GrĂące Ă  des dĂ©couvertes de certains chimistes, on invente la bougie stĂ©arique Ă  base d’un acide gras particulier l’acide stĂ©arique. L’apparition de la paraffine solide et de la stĂ©arine extrait de graisse vĂ©gĂ©tale ou animale permet dĂ©sormais la production de bougies de meilleure XIXĂšme siĂšcle va rĂ©volutionner la bougie mais aussi notre ville de Lourdes aux travers des apparitions de la Vierge Marie Ă  Bernadette le long du rĂ©cit des apparitions, nous observons la place prĂ©pondĂ©rante du cierge Ă  a toujours Ă©tait prĂ©sent et symbolise pour chaque pĂšlerin, malade ou visiteur une lumiĂšre dans son angoisse ou sa dĂ©tresse, en tout cas lumiĂšre vers le soulagement et l’espoir. Le cierge de Lourdes vĂ©hicule un message personnel. Bernadette Ă©tait issue du peuple, elle Ă©tait pauvre et n'avait que des cierges en n’était pas blanc mais blanc-crĂšme. Aujourd'hui, les cierges fabriquĂ©s Ă  la Ciergerie de Lourdes ne sont pas non plus blancs purs mais blanc-crĂšme. Ils sont recouverts Ă  la base du bleu marial rappel du bleu de la ceinture de la vierge. Nous les fabriquons ici, dans la citĂ© mariale. Un cierge est un cierge, Mais le cierge de Lourdes a une cierge, la grotte et la Vierge ne font qu'un. Ils sont uniques au faut se replonger Ă  l’époque de Bernadette oĂč le feu et le cierge occupaient une place importante dans la vie des bigourdans. A l’époque, la mĂ©decine n’avait pas acquis sa dimension scientifique que nous connaissons aujourd’hui et on faisait appel le plus souvent au diagnostic des cierges quand les rebouteux avaient atteint les limites de leur connaissance face Ă  la maladie. On disposait aux quatre pieds du lit une bougie Ă  laquelle on donnait le nom de quatre saints favorables Ă  la guĂ©rison. La premiĂšre bougie terminĂ©e indiquait le Saint auquel il fallait se vouer. Au solstice d’étĂ©, comme partout, les lourdais, faisaient de grands feux pour fĂȘter Saint-Jean-Baptiste. Ils offraient des priĂšres puis hommes, femmes et bĂ©tail sautaient Ă  travers les flammes pour solliciter sa feu Ă©tait encore Ă  cette l’époque un alliĂ© contre beaucoup d’incertitudes et d’ ce temps-lĂ , le clergĂ© privilĂ©gie deux Ă©lĂ©ments naturels qu’il bĂ©nissait en diffĂ©rentes occasions l’eau et les cierges. Le cierge appartient Ă  la sphĂšre du sacre. Maintenant que nous avons plantĂ© le dĂ©cor nous pouvons mieux comprendre l'attitude de Bernadette face Ă  la Dame et le rĂŽle du cierge tout au long des la premiĂšre apparition, Bernadette est craintive et soucieuse face Ă  cet Ă©vĂ©nement qu’elle ne comprend pas. Elle va faire face avec les armes qu’elle bĂ©nite et le cierge bĂ©niDĂ©sormais lors de chaque appartion Ă  partir de la troisiĂšme, un cierge sera prĂ©sent et allumĂ©. Bernadette demande Ă  Madame Milhet d’apporter son cierge bĂ©ni de la chandeleur pour les protĂ©ger. Durant l’extase le cierge brĂ»le tout le temps. Bernadette relate que la Dame regarde sans cesse la les apparitions suivantes, Bernadette sera accompagnĂ©e de son cierge de BaptĂȘme allumĂ© par sa tante Lucie, Ă©galement sa marraine. Elle l’allumera jusqu’à la dix-septiĂšme lumiĂšre est omniprĂ©sente dans les apparitions lumiĂšre sur le visage de Bernadette, lumiĂšre invisible de la Dame et lumiĂšre du cierge. Pendant ses extases, Bernadette est coupĂ©e du monde, isolĂ©e. Quand la flamme de son cierge s’éteint par un courant d’air, elle le tend Ă  sa voisine qui le rallume immĂ©diatement. Comme si le cierge Ă©tait partie prenante de l’extase. Comme s’il s’agissait d’un entretien Ă  trois la Dame, Bernadette et le cierge allumĂ©. La dix-septiĂšme apparition sera appelĂ© le Miracle du Cierge »Nous sommes le mercredi aprĂšs PĂąques, le 7 avril 1858. Le cierge Pascal brĂ»le dans l’église paroissiale alors qu’un miracle va se produire Ă  la grotte aux yeux de tous. Et pour comprendre le dĂ©roulement des Ă©vĂ©nements de cette apparition, nous devons nous reporter au 6 avril Lourdes rĂšgne une effervescence hors du commun autour de la maison de la famille Soubirous, dans la rue des petits fossĂ©s. Tout le monde veut toucher et rencontrer Bernadette. Dans la matinĂ©e du 6 avril, le fils VergĂšs vient les inviter Ă  manger car son pĂšre Blazy veut remercier Bernadette pour sa guĂ©rison. La famille Soubirous accepte l’invitation pour Ă©chapper au tumulte lourdais pendant quelques heures. Ils se rendent Ă  AdĂ© oĂč Blazy, ancien maire du village, est un nĂ©gociant en vin. Il souffrait depuis des annĂ©es de rhumatismes handicapants et son mĂ©decin, le docteur LarrĂ©, ne parvenait pas Ă  le soulager. Ayant entendu parler qu’une nouvelle source Ă  Massabielle apaisait les maux, il y conduit son patient qui s'y mouille l'Ă©paule. Rien, aucun effet avant son retour Ă  AdĂ© oĂč, rendu Ă  son domicile, il retrouve l’usage de son Ă©paule. Par cette invitation, il voulait remercier Bernadette d’avoir trouvĂ© la source, ainsi que la Dame et lui rendre GrĂące pour la santĂ© retrouvĂ©e en lui offrant un gros demande Ă  ĂȘtre reconduite Ă  Lourdes chez l’abbĂ© Pomian pour y ĂȘtre confessĂ©e et faire bĂ©nir le cierge de Blazy qu’elle veut apporter Ă  la grotte le lendemain. Le soir, le fils VergĂšs repasse chez les Soubirous. L’atmosphĂšre est invivable. Il leur propose de venir dormir Ă  AdĂ©. Il leur promet de les ramener au petit matin Ă  Lourdes, Ă  la grotte. Ils acceptent. Le matin du 7 avril, il dĂ©pose la famille Soubirous Ă  la grotte oĂč de nombreuses personnes se sont regroupĂ©es et attendent Bernadette. Le docteur Dozous assiste Ă  l’apparition pour attester de la vĂ©racitĂ© des Ă©vĂ©nements. Bernadette est Ă  genoux devant la grotte et a posĂ© le cierge devant elle. EntrĂ©e en extase, elle met ses mains sur la flamme pour la protĂ©ger et ce durant dix minutes. Les tĂ©moins prĂ©sents disent voir la flamme au milieu de ses doigts. Mais elle ne ressent pas la chaleur. L’apparition dure plus ou moins une heure. A la fin, Bernadette se lĂšve et cale le gros cierge au fond de la grotte oĂč il finira de brĂ»ler. Le docteur Dozous l’arrĂȘte pour examiner ses mains sur lesquelles il ne voit aucunes traces de brĂ»lure. Plusieurs personnes familiĂšres Ă  Bernadette et prĂ©sentent lors de cette apparition lui font refaire le soir la mĂȘme chose au-dessus d’une chandelle. Bernadette est surprise de leur attitude car elle ne se souvient pas de ses mains au milieu de la flamme. Elle ne peut maintenir les mains dans la flamme .Elle se la prĂ©cĂ©dente apparition, la Dame lui avait demandĂ© de laisser son cierge brĂ»ler Ă  la grotte. Les lourdais et les visiteurs imitant Bernadette laissent Ă  leur tour leurs cierges brĂ»ler Ă  la grotte. Face Ă  l’ampleur des cierges laissĂ©s, le commissaire Jacomet interdit tout dĂ©pĂŽt en ce tĂ©moignage qui va suivre dĂ©voile le message de est interpellĂ©e par une dame qui a un enfant malade. Elle lui demande de prier pour son enfant et lui donne un cierge pour le prĂ©senter Ă  la rĂ©pond qu’elle prierait pour son enfant. Quant au cierge, elle l’invita Ă  le brĂ»ler elle-mĂȘme Ă  la grotte oĂč Ă  l’église en l’honneur de la Vierge. Ce message s’adresse Ă  chacun de nous. Chacun doit faire une dĂ©marche personnelle de priĂšre accompagnĂ©e d’un cierge allumĂ© en signe de lumiĂšre. C'est ainsi que la lumiĂšre qui symbolise le Christ brille sans cesse dans la citĂ© mariale au travers du cierge. Une des ces manifestations est la Procession aux Flambeaux » La Procession aux Flambeaux date de l'Ă©poque des apparitions, pendant le mois de Marie ». Le 7 mai 1858, le commissaire Jacomet fait planter une pancarte Ă  la grotte il est interdit de dĂ©poser quoi que ce soit, sous peine d’amende. Les lourdais vont s’employer Ă  contourner cet interdit. Les premiĂšres Ă  trouver la faille seront les jeunes filles de la confrĂ©rie des Enfants de Marie. Elles dĂ©cident Ă  la nuit tombĂ©e d’aller en procession Ă  la grotte en chantant des louanges Ă  la Vierge avec des cierges allumĂ©s et de repartir avec. Leur procession rencontre un rĂ©el succĂšs. Le commissaire se fĂąche et envisage de les poursuivre pour tapage nocturne. Il faudra que le curĂ© de la paroisse l’abbĂ© Peyramale gronde pour que la procession ait lieu, avec moins d’ardeur. La procession mariale est nĂ©e. Quelques annĂ©es plus tard un pĂšre capucin de Toulouse, le pĂšre Marie-Antoine de Lavaur, reprendra la procession aux flambeaux lors des premiers pĂ©lerinages en 1872. SĂ©lection de bougies, cierges et articles liturgiques pour accueillir le petit enfant La naissance SĂ©lection de bougies, cierges et articles liturgiques pour le passage Ă  la vie chrĂ©tienne Le baptĂȘme SĂ©lection de bougies, cierges et articles liturgiques pour ces Ă©tapes de l’itinĂ©rance spirituelle des jeunes Les communions SĂ©lection de bougies et cierges et articles liturgiques pour cĂ©lĂ©brer l’amour et la foi Le mariage SĂ©lection de bougies, cierges et articles liturgiques pour ĂȘtre en communion avec les dĂ©funts À nos dĂ©funts Rienne dure Au-dessus de la ceinture. J'aime. 29/08/2007 Ă  20h18 . Bon sang je m tu devrais t'amuser Ă  lire d'autres paroles de chansons qui semblent totalement incohĂ©rentes dĂšs qu'on les dĂ©cortique ! Bref, libre Ă  toi de te presser le citron sur cette chansonnette ! Oui, pour clore le dĂ©bat on apprĂ©hende vraiment pas la lecture d'un texte de la mĂȘme façon. Quand on ne ELLE n'a rien de particulier, rien qui puisse la distinguer ELLE n'est pas particuliĂšrement belle, ni fiĂšre, ni douce, ni dure, ni celle Du genre que l'on n'oublie jamais; je me contente de ce que j'ai Car pour ELLE seule mon coeur palpite ELLE ne m'aide guĂšre Ă  rĂ©flĂ©chir, l'intelligence pour tout vous dire N'est pas sa qualitĂ© premiĂšre ELLE est beaucoup trop terre Ă  terre Je me mĂ©fie de ses conseils, ELLE dit toujours un peu pareil Toujours Ă  la "chose" elle m'incite, Ma B... Elle est loin d'ĂȘtre la plus belle Mais je n'ai qu'elle, alors je l'aime Pour ELLE j'ai les yeux de ChimĂšne Car c'est la mienne, la mienne C'est la mienne. Elle a du goĂ»t et des maniĂšres, la politesse d'ĂȘtre grossiĂšre DĂ©licatesse et attention sont ses uniques obsessions. ELLE sait aussi ĂȘtre ludique, ELLE est parfois mĂ©lancolique mais ELLE n'a pas le coeur en granit, Ma B... A la tĂ©lĂ©, dans les rĂ©clames, des drĂŽlesses nues partout se pĂąment Ça fait des annĂ©es que ça dure, qu'on me vise en dessous de la ceinture. A force d'ĂȘtre une cible Ă  sĂ©duire, c'est devenu un champ de tir. ELLE ne veut plus qu'on la sollicite, Ma B... Elle est loin d'ĂȘtre la plus belle Mais je n'ai qu'elle, alors je l'aime Pour ELLE j'ai les yeux de ChimĂšne Car c'est la mienne, la mienne C'est la mienne. ELLE se moque de mes congĂ©nĂšres, tous ces machos un peu trop fiers Qui prennent la leur pour un gicleur, une taupe ou un marteau piqueur. ELLE ne veut pas qu'on la confonde avec les balourds Ă  la ronde, ELLE ne veut pas qu'on la discrĂ©dite, Ma B... Souvent quand j'entends mes semblables vanter de quoi ils sont capables, J'aimerais ĂȘtre en possession d'un engin de compĂ©tition Pourtant la gent fĂ©minine se fiche des athlĂštes de l'intime Et c'est pourquoi elle plĂ©biscite, plutĂŽt Ma B... Dam di dou dam, di dou dam Da di doum di doum di dou dam
PetitFrÚre fume des spliffs et casse des voitures. Petit frÚre a déserté les terrains de jeux. Il marche à peine et veut des bottes de sept lieues. Petit frÚre veut grandir trop vite. Mais il a oublié que rien ne sert de courrir, petit frÚre. Petit frÚre rÚve de bagnoles, de fringues, et de tunes.
Paroles de la chanson Ici par Psy 4 de la Rime "Enfants de la lune" "On vient d'lĂ  oĂč y a trop d'brume" "Nos rĂȘves se brisent" "LĂ  oĂč la route est floue" "On grandi Ă  contrecƓur" "LĂ  oĂč on s'nourrit de rancune" "Bienvenue" "LĂ  oĂč l'espoir se consume" [Soprano] J'viens d'lĂ  oĂč les cafards ont des buildings LĂ  oĂč Otis pousse ma mĂšre Ă  faire du body-building LĂ  oĂč les petits n'vont plus en classe, passent leur temps Ă  rouler Et avancent avec un joint de culasse La routine comme seul passe-temps LĂ  oĂč les flics te passent les menottes Ă  chaque fois qu'tu tue l'temps LĂ  oĂč on s'serre la ceinture pour ĂȘtre bien sapĂ© LĂ  oĂč on prĂ©fĂšre ĂȘtre Ze Pequeño que BuscapĂ© LĂ  oĂč des Ronaldihno s'blessent avant d'ĂȘtre pros LĂ  oĂč la colo s'appelle mandat de dĂ©pĂŽt LĂ  oĂč l'alcool sert Ă  s'noyer LĂ  oĂč on croit qu'l'amour n'est qu'un mouvement de poignet LĂ  oĂč la guigne t'fait la bise en t'faisant les poches LĂ  oĂč pour s'enterrer nos dualitĂ©s servent de pioches Chez nous l'sourire est mal agrippĂ© Ă  nos lĂšvres Et nos virĂ©es en motos s'transforment en cortĂšge funĂšbre [Alonzo] Sueurs froides, c'est parce que les gens ont changĂ© qu'on s'parle plus Qu'on communique avec tant d'choses sauf avec la bouche Le disque, la seule langue en quoi j'pourrais vous parler Sans vice, pin-up, bien sĂ»r sans pourparlers On est la couche, qui sĂ©pare la maigreur de l'obĂ©sitĂ© Car on est entre Zola, et on sait pas ce qu'on veut Être un vaillant ici ou de l'autre cĂŽtĂ© Les titulaires de la bĂȘtise sont mis en doute Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit Tu crois savoir comment c'est dur ici Si tu savais vraiment, ignorant, c'qu'on vit Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit L'amour nous course, sans prendre de caddie Si tu savais vraiment ignorant, le temps nous fuit [Vincenzo] J'ai pourtant criĂ© tout haut, ce qu'certains pensaient tout bas Tu sais, dure est la vision de voir comme un oiseau d'en bas Dur d'planer sans l'effet d'l'herbe et l'shit Tout comme mes gars amateurs d'grosses caisses et de parties de chatte MalgrĂ© mes dĂ©fauts, j'reste celui qui dĂ©fie les dĂ©fauts de la vie J'te parle du systĂšme et de ceux qu il ennuie J'te parle des maillons faibles qui haussent le ton Avance avec le temps comme ces feuilles mortes oĂč se dirige le vent J'remercie le bon Dieu d'ĂȘtre encore vivant MalgrĂ© des coups passĂ©s chers qui allaient me coĂ»ter la vie mĂ©disant J'suis de ceux qui dĂ©rĂšglent le systĂšme H24 Qui hachent les mots d'la politesse, qui recrachent et qui emplĂątrent De cette gĂ©nĂ©ration dĂ©cidĂ©ment non clean Fan de Fight club, chemise seulement quand les billets s'alignent Au fait j'souligne l'amertume que j'ai quand j'vois mes parents Car c'sont les seuls devant lesquels j'm'aligne Écoute, j'vais pas m'confesser, car tu pourrais pas m'rĂ©pondre Autour de moi t'es juste la seule frĂ©quence qui peut capter mes ondes Veille sur mes gars, en attendant qu'je sorte Ces mĂȘmes Ruff Ryders pilotes d'R6 et RS4 Car j'supporte plus l'envers du dĂ©cor Cet effet sombre, ce bruit en fond qui m'stresse Ă  cause du savon La vie un coup d'sabre, oĂč on sent pas l'mal, on le subit Et moi devant ma fenĂȘtre j'me tais et j't'apprĂ©cie Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit Tu crois savoir comment c'est dur ici Si tu savais vraiment, ignorant, c'qu'on vit Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit L'amour nous course, sans prendre de caddie Si tu savais vraiment ignorant, le temps nous fuit [Alonzo] La plume Ă©crit, moi j'percute deux temps aprĂšs C'est un goĂ»t amer mes vers pas vrai c'est flou comme la brume La brune, lĂąche-moi les burnes, j'les ai Ă  l'envers les tunes AmĂ©liore rien car je suis lĂ©sĂ© LaissĂ© Ă  l'abandon par le courage Mais j'suis un homme il faut qu'j'me relĂšve sans bĂątons, sans hameçon Sans penser qu'autrui a la rage Donc passons, les Ăźlotages sont plus sujets premiers Donc pensons au monde qu'on va laisser aux bambins Chico, la chance veut pas lĂącher d'sourire Elle nous boude depuis l'Ă©poque de la petite souris Ici quand les dents tombent c'est que tu es conscient qui faut en avoir bon sous le lit Ma mĂšre combat mes flammes avec ses larmes Mon fils avec l'urine car c'est le seul mec qui m'pisse dessus Car c'est le seul mec qui prend le dessus Le seul qui m'calme Bonsoir la jeunesse de France, Alonzo J'ai la parole lourde et simple le malheur dans la bouche La triste rĂ©alitĂ© j'ai lĂ , j'ai lĂ  ce qui te touche La mĂ©lodie du drame, le chant d'l'Ă©poque, d'la connerie humaine Ces blocs je cane [Soprano] Comme nos mĂšres qui ne font que mouiller leurs pommettes Car la lettre vient du bled ou des Baumettes Faut que j'collecte les millimĂštres qui me mĂšnent Ă  mon maĂźtre Le seul Ă  pouvoir soigner ce mal-ĂȘtre, qu'on s'relĂšve collĂšgue Qu'on lĂšgue Ă  nos fils la vision d'un homme honnĂȘte Qu'il n'ait pas Ă  le voir du haut d'nos fenĂȘtres Se mettre Ă  semer des roses, au lieu d'chrysanthĂšmes Car sous les larmes, l'espoir est une flamme qui peut s'Ă©teindre Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit Tu crois savoir comment c'est dur ici Si tu savais vraiment, ignorant, c'qu'on vit Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit L'amour nous course, sans prendre de caddie Si tu savais vraiment ignorant, le temps nous fuit
Rienne dure Au dessus de la ceinture Non, pas sur la bouche mĂȘme sous la douche MĂȘme si c'est dur je te mordrai C'est promis, tous les coups sont permis Non, pas sur les lĂšvres mĂȘme
Paroles de la chanson La ceinture par Elodie FrĂ©gĂ© Non pas sur la bouche mĂȘme si c'est louche puisque ma langue a le goĂ»t de ta vertu de ton honneur perdu non pas sur les lĂšvres mĂȘme si j'en rĂȘve mĂȘme si je tremble et bien que mon coeur soit nu mon Ăąme est revĂȘtue de pudeur et d'impudence sans te faire offense mieux n'vaut pas tenter sa chance rien ne dure au dessus de la ceinture non pas sur la bouche mĂȘme sous la douche mĂȘme si c'est dur je te mordrai c'est promis tous les coups sont permis non pas sur les lĂšvres mĂȘme pas en rĂȘve Ă  cent pour sĂ»re ou tu mangeras ton pain gris mon coeur est endurci ne tire pas sur l'ambulance garde la potence plus rien n'a plus d'importance rien ne dure au dessus de la ceinture non pas sur la bouche je sais je touche le fond du lac le temps des cerises est mort le diable est dans le corps non pas sur les lĂšvres non c'est pas miĂšvre c'est pas le trac mais je prĂ©fĂ©re me donner crue sans revers ni refus rendons nous Ă  l'Ă©vidence tout est cuit d'avance mieux n'vaut pas tenter sa chance rien ne dure au dessus de la ceinture non pas sur la bouche je sais c'est louche puisque ma peau a l'odeur de ton odeur au dehors il fait chaud non pas sur les lĂšvres jamais de trĂšve et pas d'assaut le bonheur est dans la pente entre le sol et le ventre entre l'oubli et l'oubli mĂȘme l'oiseau du paradis joue plutĂŽt jeux interdits rien ne dure au dessus de la ceinture.
Ilm'a menĂ© Ă  toi. Et je lui suis reconnaissant pour ça Rose. Je lui suis reconnaissant. Tu dois me faire cet honneur. A prĂ©sent promet moi, que tu vas survivre, que tu n'abandonneras jamais, quoiqu'il se passe, mĂȘme si ça Ă  l'air sans espoir, promet-le moi, maintenant, Rose. Et ne rompts jamais cette promesse. - Je te le promets.
Intro Am Am/G3x2210 Am/F2x2210 Am/F1x2210 2x Am Non pas sur la b G/Bx20033ouche MĂȘme si c'est l C ouche Puisque ma F langue Fmaj7 A le goĂ»t de Em ta vertu Dm De ton honneur Bm7b5x2323xper____du E7 Am Non pas sur les G/B lĂšvres MĂȘme si j'en r C ĂȘve MĂȘme si je t F remble Fmaj7 Et bien que mon Em coeur soit nu Fmaj7 De pudeur et d Em 'impudence Dm Sans te faire of Em fense Fmaj7 Mieux vaut pas ten Em ter sa chance Non pas sur la bouche MĂȘme sous la douche MĂȘme si c'est dur Je te mordrai c'est promis Tous les coups sont per-mis Non pas sur les lĂšvres MĂȘme pas en rĂȘve A sang pour sĂ»r Ou tu mangeras ton pain gris Mon coeur est endur-ci Ne tire pas sur l'ambulance Car de la potence Plus rien n'a plus d'importance Rien ne dure Au dessus de la ceinture Couplet instrumental Non pas sur la bouche Je sais je touche Le fond du lac Le temps des cerises est mort Le diable est dans le corps Non pas sur les lĂšvres Non c'est pas miĂšvre C'est pas le trac Mais je prĂ©fĂšre me donner crue Sans revers ni re-fus Rendons nous Ă  l'Ă©vidence Tout est cuit d'avance Mieux n'vaut pas tenter sa chance Rien ne dure Au dessus de la ceinture Couplet instrumental Non pas sur la bouche Je sais c'est louche Puisque ma peau A l'odeur de ton odeur Au dehors il fait chaud Non pas sur les lĂšvres Jamais de trĂȘve Et pas d'assauts Le bonheur est dans la pente Entre le sol et le ventre Entre l'oubli et l'oubli Bel oiseau du paradis Joue plutĂŽt "jeux interdits"... Rien ne dure Au dessus de la ceinture Couplet instrumental Am -0- - - - -0- - - - -2- -2- - - Am/G - -1-1- - -2 - -3- - - -2- - - - - 1- - - - - Am/F - -1- -2 -2- - -2- - -1- - - - - Am/F - -1- - -2- - -1- - -1 2- - - - - - -* -* - - Am -0- - *- *- -0- - - - -2- -2- - - G/B - -1-3- - - -2- - - - -0- 0- - - - -3- - - - - C -0- - - - -3- - - - -0- -2- - - F -0-1- - - - - -1- - - -2- -3- - - - -1- - - - - - - - - - - Fmaj7 -0- - - -3- - -1- - -1 2- - - - Em -0- - - - - -0- - - -0- -2- - - - -0- - - - - Dm -1- - - -0- - - - -3- -2- - - - Bm7b5 E7 -1- -3-0- -2-1- -3-0- -2-2- -0- - - -* -* - - Fmaj7 -0- - - -3- - -1- - -1 2- - - - Em -0- - - - - -0- - - -0- -2- - - - -0- - - - - Dm -1- - - -0- - - - -3- -2- - - - Em -1-0- - - - - -0- - - -0- 2- - - - -0- - - - - Fmaj7 -0- - - -3 - -1- - - -2- - - - Em -0- 1- - - - -0- - - -0- -2- - - - -0- - - - - Bm7b5 - -3- -2- -3- -2- - - -3- - - - - - 3- - -3- 2- - - -3 2- - - - - - - - - - Dm7b5 - -6- -5 -6- -5- - - -6- - - - - - -6- - - -5- - - - -5- 6- - - - -6- - - - - Am -0- - - - -0- - - - -2- -2- - - Am9 - -1-0- - -2 -0- - - - -2- - - - - 0- - - - - Am - -0H=1 - -2 -0- - - - -2- - - - Am9 - 1-0- - -2 -0- - - - -2- - - - - 0-H=Hammer - - - -
\n \n rien ne dure au dessus de la ceinture paroles
Vicelow: en dessous de la ceinture C'est pire qu'une maladie La fierté, l'attitude (x4) Leeroy : Mets de cÎté ta fierté rude boy Y'a pas d'raison qu'j'ai pas la place pour plusieurs surhommes T'es comme tout le monde mais d'aprÚs toi tu n'crains personne reste tranquille 2 secondes avant qu'on t'retrouve mort

Paroles de la chanson En Dessous De La Ceinture par Keen'V Ecoute ça, Ă©coute ça, Ă©coute ça, Ă©coute ça, Ă©coute ça, Ă©coute ça, C'est Nananana Nana Nanawaach. Ecoute ça, Ă©coute ça, Ă©coute ça, Ă©coute ça, Ă©coute ça, Ă©coute ça, C'est Nananana Nana Nanawaach. Quand c'est en-dessous de la ceinture, Ne te fais pas d'souci pour moi, j'assure. Quand c'est en-dessous de la ceinture, Ne te fais pas d'souci pour moi. On va pas s'mentir, je sais bien que je n'suis pas beau. Je suis plus prĂšs de Shrek que Cristiano Ronaldo. J'ai deux yeux bleus, mais ce n'sont pas ceux d'Leonardo. Mais pour moi, ça n'a jamais Ă©tĂ© un fardeau. Je me laissais pas abattre, je misais sur l'humour. Je n'ai jamais fait croire que je recherchais l'amour. Je n'Ă©tais pas trop Ă  l'aise quand je devais faire la cour. Et quand les filles me draguaient, je prĂ©fĂ©rais faire le sourd. Je suis loin d'ĂȘtre parfait, je vous le dis parce que je le sais. Le matin, faut pas venir m'parler, si j'ai pas eu ma clope et mon cafĂ©. Quand c'est en-dessous de la ceinture, Ne te fais pas d'souci pour moi, j'assure. Quand c'est en-dessous de la ceinture, Ne te fais pas d'souci pour moi. En ce qui concerne la drague, j'n'ai pas le feeling. Je n'aime pas faire de vague, je serais plutĂŽt timide, PlutĂŽt introverti, j'ne trouve pas les mots, Les mots pour que cette fille soit celle qu'il me faut. Quand c'est en-dessous de la ceinture, Ne te fais pas d'souci pour moi, j'assure. Quand c'est en-dessous de la ceinture, Ne te fais pas d'souci pour moi. Quand c'est en-dessous de la ceinture, Ne te fais pas d'souci pour moi, j'assure. Quand c'est en-dessous de la ceinture, Ne te fais pas d'souci pour moi. J'n'ai pas la tchatche de Hitch, ni la gueule de Brad Pitt. J'aime pas trop m'taper l'affiche, ou tout du moins, j'Ă©vite. J'suis pas du genre Ă  briller pour me faire remarquer. J'suis plutĂŽt un mec discret, mais n'empĂȘche que... Quand c'est en-dessous de la ceinture, Ne te fais pas d'souci pour moi, j'assure. Quand c'est en-dessous de la ceinture, Ne te fais pas d'souci pour moi. Quand c'est en-dessous de la ceinture, Ne te fais pas d'souci pour moi, j'assure. Quand c'est en-dessous de la ceinture, Ne te fais pas d'souci pour moi.

Rienne dure Au dessus de la ceinture _____ (Instrumental sur accords du d but de couplet) _____ Non pas sur la bouche Je sais c’est louche Puisque ma peau A l’odeur de ton odeur Au dehors il fait chaud. Non pas sur les l vres Jamais de tr ve Et pas d’assauts Le bonheur est dans la pente Entre le sol et le ventre
Elodie FregeNon pas sur la bouchemĂȘme si c'est louchepuisque ma languea le goĂ»t de ta vertude ton honneur perdunon pas sur les lĂšvresmĂȘme si j'en rĂȘvemĂȘme si je trembleet bien que mon coeur soit numon Ăąme est revĂȘtuede pudeur et d'impudencesans te faire offensemieux n'vaut pas tenter sa chancerien ne dureau dessus de la ceinturenon pas sur la bouchemĂȘme sous la douchemĂȘme si c'est dureje te mordrai c'est promistous les coups sont permisnon pas sur les lĂšvresmĂȘme pas en rĂȘveĂ  cent pour sĂ»reou tu mangeras ton pain grismon coeur est endurcine tire pas sur l'ambulancegarde la potenceplus rien n'a plus d'importancerien ne dureau dessus de la ceinturenon pas sur la boucheje sais je touche le fond du lacle temps des cerises est mortle diable est dans le corpsnon pas sur les lĂšvresnon c'est pas miĂšvrec'est pas le tracmais je prĂ©fĂ©re me donner cruesans revers ni refusrendons nous Ă  l'Ă©videncetout est cuit d'avancemieUx n'vaut pas tenter sa chancerien ne dureau dessus de la ceinturenon pas sur la boucheje sais c'est louchepuisque ma peaua l'odeur de ton odeurau dehors il fait chaudnon pas sur les lĂšvresjamais de trĂšveet pas d'assautle bonheur est dans la penteentre le sol et le ventreentre l'oubli et l'oublimĂȘme l'oiseau du paradisjoue plutĂŽt jeux interditsrien ne dureau dessus de la estaçÔes relacionadas a Elodie Frege no
LOurs: Les fans l’avaient attendue depuis longtemps et enfin le combat pour le premier titre du monde de la wew aurait lieu !!! Et rien de mieux qu’au Wrestlin. World E-Fed Wrestling: Vous souhaitez rĂ©agir Ă  ce message ? CrĂ©ez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer. World E-Fed Wrestling . WeW : Accueil Portail Rechercher .
ï»żNon pas sur la boucheMĂȘme si c'est louchePuisque ma langueÀ le goĂ»t de ta vertueDe ton honneur perdu..Non pas sur les lĂšvres La suite des paroles ci-dessous MĂȘme si j'en rĂȘveMĂȘme si je trembleEt bien que mon coeur soit nuMon Ăąme est revĂȘtueDe pudeur et d'impudenceSans te faire offenseMieux n'vaut pas tenter sa chanceRien ne dureAu dessus de la ceintureNon pas sur la boucheMĂȘme sous la doucheMĂȘme si c'est durJe te mordrai c'est promisTous les coups sont permis..Non pas sur les lĂšvresMĂȘme pas en rĂȘvesA sang pour sĂ»reOĂč tu mangeras ton pain grisMon coeur est endurci...Ne tire pas sur l'ambulanceGarde la potencePlus rien n'a plus d'importanceRien ne dureAu dessus de la ceinture La suite des paroles ci-dessous Non pas sur la boucheJe sais je toucheLe fond du lacLe temps des cerises est mortLe diable est dans le corpsNon pas sur les lĂšvresNon c'est pas miĂšvreC'est pas le tracMais je prĂ©fĂšre me donner crueSans revers ni refusRendons nous Ă  l'Ă©videnceTout est cuit d'avanceMieux n'vaut pas tenter sa chanceRien ne dureAu dessus de la ceintureNon pas sur la boucheJe sais c'est louchePuisque ma peauA l'odeur de ton odeurAu dehors il fait chaud...Non pas sur les lĂšvresJamais de trĂšveEt pas d'assautLe bonheur est dans la penteEntre le sol et le ventreEntre l'oubli et l'oubliBel oiseau du paradisJoue plutĂŽt jeux interditsRien ne dureAu dessus de la ceinture Les internautes qui ont aimĂ© "La Ceinture" aiment aussi RIENNE DURE..au-dessus de la ceinture 02 octobre 2006 Ben oui, elle veut signifier, que gĂ©ographiquement parlant, au-dessus de la ceinture, parfois tu peux croire dans ton piti cƓur, qu’une histoire d’amour, ça dure ; et pis ben nan, tu te rends compte, par une rupture que.RIEN NE DURE AU-DESSUS DE LA CEINTURE " La ceinture " d’Élodie FrĂ©gĂ©, une chanson Ă©crite par Benjamin Biolay sur le deuxiĂšme album d’Elodie FrĂ©gĂ© en 2006. Benjamin Biolay pris le bras tendu sous perfusion gainsbourienne
 Une trĂšs belle chanson, dont le clip tellement sexy a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© par Jaco Van Dormael et que Benjamin Biolay n’hĂ©site plus Ă  reprendre sur scĂšne Par Elodie FrĂ©gĂ©, le texte raconte l’histoire d’une femme qui se refuse Ă  un homme. Enfin, qui se refuse Ă  moitié  C’est une histoire oĂč il est question d’une moitiĂ© de corps " Rien ne dure au-dessus de la ceinture ", dit-elle, une moitiĂ© de territoire, une moitiĂ© d’appartenance
 La jeune femme – d’emblĂ©e – est sur ses gardes et prĂ©vient " Non, pas sur la bouche. MĂȘme si c’est louche. Non, pas sur les lĂšvres. MĂȘme si j’en rĂȘve. " " Pas sur la bouche, pas sur les lĂšvres " fait rĂ©fĂ©rence au " J’embrasse pas " des prostituĂ©es qui dessinent la frontiĂšre entre le commerce du corps et le transports des sentiments par cette interdiction faite aux clients. Cette femme refuse qu’on l’embrasse sur la bouche car ce serait trop donner. Et visiblement, elle ne veut pas trop donner, elle est sur ses gardes. " Non pas sur la bouche, mĂȘme si c'est louche. Puisque ma langue a le goĂ»t de ta vertu. De ton honneur perdu. Non pas sur les lĂšvres, mĂȘme si j'en rĂȘve. MĂȘme si je tremble. Et bien que mon coeur soit nu. Mon Ăąme est revĂȘtue. De pudeur et d'impudence. Sans te faire offense. Mieux n'vaut pas tenter sa chance. " Les informations importantes Ă  retenir ici sont " ton honneur perdu ", " mon cƓur est nu mais mon Ăąme est revĂȘtue " et " mieux ne vaut pas tenter sa chance ". Pour le moment, concentrons-nous sur le refrain " Rien ne dure au-dessus de la ceinture " par opposition Ă  " tout est dur en-dessous de la ceinture ". Le dessous de la ceinture, c’est la zone du sexe, et lĂ  les choses sont possibles, envisageables. Et lĂ , l’hĂ©roĂŻne est consentante. Le dessus de la ceinture, c’est la zone du coeur et c’est plutĂŽt lĂ  que ça coince. C’est lĂ  oĂč rien ne dure, comme l’ont dĂ©jĂ  dit nos aĂźnĂ©s, les Rita Mitsouko " MĂȘme si c’est dur. Je te mordrai. Tous les coups sont permis " on croit ĂȘtre est en pleine fellation avortĂ©e
 Alors que non, on est en plein baiser menacĂ© c’est sa bouche qu’elle va mordre, pas son sexe. Son sexe, elle n’est pas contre. Elle est tout contre. Plus loin, il y a d’autres allusions trĂšs subtiles Ă  l’érection. Par exemple " Ne tire pas sur l’ambulance. Garde la potence " vous savez ce qu’on dit des pendus, c’est qu’en gĂ©nĂ©ral, ils bandent
 L’hĂ©roĂŻne n’est absolument pas contre une partie de jambes en l’air et elle le dit trĂšs joliment d’ailleurs " Non pas sur les lĂšvres. Jamais de trĂȘve et pas d'assaut. Le bonheur est dans la pente entre le sol et le ventre. " Ça, c’est de la punchline de cul ! Mais alors, pourquoi cette fille accepte-t-elle le sexe et pas l’engagement de l’amour - puisque " La ceinture " est une chanson sur les dangers de l’engagement amoureux ? Parce que " La ceinture " est une chanson sur l’infidĂ©litĂ©. " Ton honneur perdu " pourrait laisser entendre qu’il est mariĂ©. " Et bien que mon coeur soit nu. Mon Ăąme est revĂȘtue " pourrait laisser entendre qu’elle est mariĂ©e. Et quand elle dit " Le temps des cerises est mort. Le diable est dans le corps ", " joue plutĂŽt jeux interdits " - tout en faisant rĂ©fĂ©rence Ă  des Ɠuvres connus – " Le temps des cerises ", " Le diable au corps ", " Jeux interdits " - tout laisse penser qu’elle parle de l’adultĂšre
 Je veux bien le tromper avec toi, mais ne me pousse pas Ă  tomber amoureuse de toi. Donc " Non, pas sur la bouche " puisque, de toute façon, " Rien ne dure au-dessus de la ceinture ". Donc restons en dessous
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Paroles Non pas sur la bouche MĂȘme si c'est louche Puisque ma langue A le goĂ»t de ta vertu De ton honneur perdu Non pas sur les lĂšvres MĂȘme si j'en rĂȘve MĂȘme si je tremble Et bien que mon cƓur soit nu Mon Ăąme est revĂȘtue De pudeur et d'impudence Sans te faire offense Mieux ne vaut pas tenter sa chance Rien ne dure Au-dessus de la ceinture Non, pas sur la bouche MĂȘme sous la douche MĂȘme si c'est dur Je te mordrai C'est promis Tous les coups sont permis Non, pas sur les lĂšvres MĂȘme pas en rĂȘve A sang pour sĂ»r Ou tu mangeras ton pain gris Mon cƓur est endurci Ne tire pas sur l'ambulance Garde la potence Plus rien n'a plus d'importance Rien ne dure Au-dessus de la ceinture Non, pas sur la bouche Je sais, je touche Le fond du lac Le temps des cerises est mort Le diable est dans le corps Non, pas sur les lĂšvres Non c'est pas miĂšvre C'est pas le trac Mais je prĂ©fĂšre me donner crue Sans revers, ni refus Rendons nous Ă  l'Ă©vidence Tout est cuit d'avance Mieux vaut pas tenter sa chance Rien ne dure Au-dessus de la ceinture Non pas sur la bouche Je sais c'est louche Puisque ma peau A l'odeur de ton odeur Au dehors il fait chaud Non, pas sur les lĂšvres Jamais de trĂȘve Et pas d'assaut Le bonheur est dans l'attente Entre le sol et le ventre Entre l'oubli et l'oubli Bel oiseau du paradis Joue plutĂŽt aux jeux interdits Rien ne dure Au-dessus de la ceinture

Rienne dure Au dessus de la ceinture Non pas sur la bouche Je sais c'est louche Puisque ma peau A l'odeur de ton odeur Au dehors il fait chaud Non pas sur les lĂšvres Jamais de trĂšve Et Partie en pleine nuit d’AngoulĂȘme, une colonne d’Allemands et de miliciens, forte de quatre cents hommes avec automitrailleuses et artillerie lĂ©gĂšre, arrive le 24 juillet au petit matin par la C. D. 4 devant le barrage Ă©tabli Ă  Varaignes. C’est le type de colonne qui se veut punitive. Pleine d’illusions, elle compte bien arriver Ă  Nontron dans la journĂ©e... elle dĂ©chantera. Extrait du journal de marche de la 2iĂšme Compagnie Manu Le 24 juillet au matin, l’attaque se dĂ©clenche soudain avec violence. Des unitĂ©s de l’armĂ©e allemande et de la Milice, bien renseignĂ©es et Ă©valuĂ©es Ă  quatre cents hommes, surgissent par les routes de BiĂ©e et d’AngoulĂȘme, fonçant sur notre barrage. Il est 7 h 15, les premiers coups de feu sont Ă©changĂ©s entre les miliciens et la sentinelle avancĂ©e, H. Dugas, qui abat le capitaine de la Milice et plusieurs hommes. Dans une lutte inĂ©gale mais hĂ©roĂŻque, il tombe frappĂ© Ă  mort, et rien ne sĂ©pare plus les assaillants de la ligne Ă©tablie. RassemblĂ©s pour le jus, les hommes ont eu le temps de prendre leurs armes et d’organiser la dĂ©fense. L’opacitĂ© du brouillard et le qui commence Ă  crĂ©piter freinent sĂ©rieusement l’avance de l’adversaire qui cherche Ă  nous contourner en longeant le Bandiat. Le tĂ©lĂ©phone coupĂ© par nous, un premier repli est effectuĂ© Ă  200 m en arriĂšre du barrage. DĂ©jĂ  deux de nos camarades, Delaret et Lapeyronnie sont aux mains des miliciens et fusillĂ©s sur‑le‑champ. Mais voici qu’arrivent deux de nos groupes, l’un de La Chapelle‑Saint‑Robert, l’autre de La Victoire, ce qui porte notre effectif Ă  trente. MalgrĂ© l’écrasante supĂ©rioritĂ© de l’adversaire, la 2e Compagnie ne recule que pied Ă  pied. Vaillamment, le chef Manu garde le contact et assure la retraite de ses hommes. Ruais griĂšvement blessĂ© est pris par les miliciens et lĂąchement fusillĂ© peu aprĂšs au chĂąteau des Forges. Venant de demander du renfort, P. Fauconnet, dit Flin, tombĂ© avec sa voiture entre les mains de l’ennemi est aussitĂŽt passĂ© par les armes Ă  la gare de Varaignes. Il est 9 h et l’on se bat encore au Grand‑Moulin, Ă  600 m seulement du barrage. Voici enfin les premiers renforts ‑ des ‑ qui s’installent au passage Ă  niveau des Forges. Le regroupement s’opĂšre mais l’ennemi accentue sa pression au moyen d’automitrailleuses et d’artillerie lĂ©gĂšre, prenant Ă  partie le village du Cousset. Le combat se dĂ©roule, coupĂ© par de rares accalmies jusqu’à 14 h. SupĂ©rieurs en nombre, et surtout en matĂ©riel, les Allemands nous contraignent Ă  la retraite. Dans un sursaut d’énergie, une derniĂšre ligne de rĂ©sistance est Ă©tablie Ă  Forgeneuve. Le F. M. du sergent Vinet fait le vide dans les rangs de l’assaillant. A. Magnan, dit Balo, est alors blessĂ© Ă  l’omoplate. Voulant Ă  tout prix atteindre Nontron avant la nuit, l’ennemi s’acharne et nous refoule jusqu’aux abords de Javerlhac. La partie semble perdue mais l’arrivĂ©e soudaine d’importants renforts renverse la situation. InquiĂ©tĂ©s sur leur flanc droit par une arbalĂšte du GM 1 et se croyant coupĂ©s, miliciens et Allemands rebroussent chemin. Il est 16 h, en repassant la Milice fait sauter nos deux camions restĂ©s au barrage et incendie notre cantonnement. PiĂštre vengeance Ă  cĂŽtĂ© de leurs soixante morts et blessĂ©s. Le soir mĂȘme, le barrage est rĂ©occupĂ© par les F. F. I., tandis que la 2iĂšme Compagnie regroupĂ©e rend les honneurs funĂšbres Ă  ses cinq hĂ©ros. Il est certain que sans les de Jacques, les effectifs de Manu, que l’on peut Ă©valuer Ă  trente combattants dont six seront tuĂ©s, ne sont pas suffisants pour endiguer l’attaque. Heureusement, que le chĂąteau de Puycharneau n’est guĂšre qu’à 19 km et que Jacques est prĂ©venu presque immé­diatement... Seconde version dĂ©crite dans l'ouvrage de Marc Leproux Nous, les terroristes » Lundi 24 juillet Ă  7 h 15 Rageusement la sonnerie du tĂ©lĂ©phone retentit. Jacques s’empare rapidement de l’écouteur et tout de suite sa figure prend son expression dure des mauvais jours. En effet, une colonne d’au moins quatre cents Allemands et miliciens marche sur la ville de Nontron, libĂ©rĂ©e par les maquisards depuis quelques semaines. Le capitaine Dupuy, commandant le 1er Bataillon de Dordogne‑Nord, signale Ă  l’autre bout du fil que Marthon a Ă©tĂ© dĂ©passĂ© et le barrage du Grand‑Moulin de Varaignes attaquĂ©. Jacques, la figure sombre, passe dans les chambres rĂ©veiller son monde et en quelques mots donne ses ordres pour que chacun se tienne prĂȘt - Vite debout, Antoine ! Il y a alerte, les boches sont signalĂ©s Ă  Varaignes ! J’ai vite fait de m’habiller et, encore mal rĂ©veillĂ©, je retrouve dans la cour tout le monde en tenue de campagne. DĂ©jĂ  les deux diesels ronflent et tournent autour de la pelouse comme pour se mettre en train. Pour le moment nous sommes seulement alertĂ©s, ce qui nous déçoit un peu ; mais nous devons nous attendre Ă  partir d’un moment Ă  l’autre et chacun donne son avis - Encore une alerte Ă  la c... - Si c’est pour ça qu’on nous a rĂ©veillĂ©s... - Moi, ça me tue le germe... Là‑haut, dans le bureau, la sonnerie du tĂ©lĂ©phone retentit de nouveau ; soudain Jacques apparaĂźt Ă  la fenĂȘtre et crie Embarquez !... II est tout juste 7 h 30. Une trentaine de dĂ©signĂ©s, auxquels se joignent les six AmĂ©ricains qui veulent participer au sport », se ruent vers les voitures comme une bande de pirates. Un ordre bref - Antoine, vous ferez la route par le chemin le plus court direction Varaignes. Il y a 15 kilomĂštres environ. Et sous le soleil qui monte au levant nous dĂ©marrons au milieu des braillantes sans nom » et sous le regard dĂ©sap­pointĂ© de ceux qui restent. Nous partons sous une avalanche de merde » retentissants. Le beau temps aidant, tout le monde est surexcitĂ© on chante des chansons patriotiques, on rit, on blague. Cette exaltation n’est cependant pas une vaine fanfaronnade, car les nouvelles sont loin d’ĂȘtre bonnes mais nos types sont gonflĂ©s Ă  bloc et puis... quel idĂ©al les anime!... Les camions filent Ă  toute allure. Jacques fait dire Ă  Antoine de ralentir mais Jean Dick continue Ă  appuyer sur le champi­gnon. Nous traversons quelques villages un peu Ă©tonnĂ©s et troublĂ©s par ces Ă©nergumĂšnes. DĂ©jĂ , sur la droite, Varaignes apparaĂźt tapi dans sa vallĂ©e. Soudain devant nous un civil nous fait signe d’arrĂȘter. C’est un monsieur bien habillĂ©, rosette de la LĂ©gion d’honneur au revers - N’allez pas plus loin. Faites attention, les boches sont au Grand‑Moulin. Jacques remercie cet aimable informateur et ajoute Cela n’a pas d’importance. C’est donc vrai, cette fois nous allons les voir !. Nous repartons, Jean Dick conduit cette fois comme un fou ; les bois sont dĂ©passĂ©s, une descente est amorcĂ©e ; voici la route Nontron‑AngoulĂȘme, derriĂšre la voie ferrĂ©e et la maisonnette du passage Ă  niveau, Ă  quelques mĂštres du barrage. Nous arrivons en trombe sur une personne qui gesticule sur la voie pour nous arrĂȘter. C’est la garde‑barriĂšre qui nous crie ArrĂȘtez‑vous ! ArrĂȘtez ! Vous allez tous vous faire tuer, les Allemands viennent de passer montĂ©s sur deux vĂ©hicules dont un blindĂ©. Ils ont parcouru cinq ou six cents mĂštres en direction de Javerlhac et viennent de repasser, Ă  l’instant. Le barrage est donc forcĂ©. Les camions franchissent le passage Ă  niveau et s’arrĂȘtent. Le chef Jacques attrape vertement Antoine pour s’ĂȘtre engagĂ© Ă  toute allure sur une route qui risquait d’ĂȘtre battue par l’ennemi. Vous m’avez dit d’aller vite et par le plus court chemin Mais la discussion est interrompue par des coups de feu qui partent du moulin et qui semblent donner raison au Chef, car 300 mĂštres de plus et les voitures Ă©taient hachĂ©es par les mitrailleuses ennemies. Un ordre bref Tout le monde en bas, dans les fossĂ©s, vite... En un clin d’Ɠil tous sont Ă  terre et les camions tournĂ©s se replient Ă  l’arriĂšre. Le barrage est Ă  moins de 1 500 mĂštres. Sur la route blanche qui va Ă  La Chapelle‑Saint‑Robert, couchĂ©s derriĂšre les platanes ou abritĂ©s par le parapet du pont sur le Bandiat, nous observons d’oĂč partent les coups de façon Ă  ne pas tirer sur les rescapĂ©s du groupe Manu, qui, aprĂšs avoir dĂ©fendu le terrain pied Ă  pied, se replient faute de munitions. Jacques prend immĂ©diatement la direction du combat et met en place un systĂšme dĂ©fensif. Marc avec quelques Ă©lé­ments, se porte en bordure de la voie. Antoine et Robert le Gendarme, avec un autre groupe, prennent position sur la route, c’est‑à‑dire au centre du dispositif. Jacques avec le reste de la troupe franchira le Bandiat pour se porter sur la rive opposĂ©e. Chacun des groupes dispose d’un F. M. Celui du centre, avec le TatouĂ©, dispose en plus d’un Piat » genre de bazooka. Le drapeau de la collection de la famille Duruisseau Boby avec son F. M. en batterie est abritĂ© par le parapet du pont. Le long du talus les hommes sont plaquĂ©s au sol. Le TatouĂ© en bordure de la route, veille avec son Piat » camouflĂ© derriĂšre un chĂątaignier. Henri avec son F. M. prend la route en enfilade. BientĂŽt quelques coups de feu espacĂ©s hachent les branches qui viennent claquer contre le parapet. Une mitrailleuse lourde lĂąche quelques rafales. Cette fois cela s’annonce sĂ©rieux. Tout Ă  coup Boby, dĂ©signant une soixantaine d’hommes qui courent dans la prairie, hurle Les voilĂ  ! ‑ Ne tire pas encore ; ce sont peut‑ĂȘtre des types du groupe Manu ! lui rĂ©pond Antoine. Faute de jumelles, on ne distingue rien Ă  cette distance. Ils sont en bleu marine. Certains croient mĂȘme voir un brassard tricolore. Une violente rafale nous enlĂšve nos derniers doutes. Jacques Ordonne Feu !, une rafale de Boby en culbute plusieurs. Les autres regagnent prĂ©cipitamment la route et le fossĂ©. Antoine, rage d’impuissance avec sa malheureuse mitraillette qu’il Ă©change bien vite contre le fusil de Baron, pourvoyeur au F. M. de Boby. A son tour il tire et chacun bientĂŽt y va de son coup de feu. A droite le groupe de Robert le Gendarme a recueilli, dĂ©sem­parĂ©, un homme du groupe Manu. Ailleurs, le TatouĂ© et son Piat » violemment pris Ă  partie sont obligĂ©s de se replier Ă  travers champs, c’est au tour du gendarme de dĂ©guster. Tiens, voilĂ  du nouveau... une auto‑mitrailleuse dĂ©bouche sous le couvert des arbres, balaye la route et nous canarde sĂ©rieusement. Les boches invisibles tirent toujours; quant Ă  nous, ne voyant plus rien, nous attendons. Une rafale bien ajustĂ©e vient Ă©corner le parapet du pont Ă  30 cm au‑dessus de la tĂȘte de Boby. Les mortiers entrent en action et appuient boches et miliciens dont nous devinons la manƓuvre d’encerclement. La prolongation de la rĂ©sistance en cet endroit avec une poignĂ©e d’hommes s’avĂšre impossible. Les ont tenu jusqu’à l’extrĂȘme limite en soldats qui savent ce que compte chaque minute en pareille circonstance. Chacun se demande pourquoi les renforts ne sont pas dĂ©jĂ  lĂ  et ce qu’ils foutent » Ă  Nontron et Ă  Saint‑EstĂšphe ? Devant cette carence, Jacques crie Ă  un agent de liaison d’aller chercher le reste de sa troupe Ă  Puycharnaud Tous les hommes, y compris les cuisiniers et les malades ! En attendant, Jacques ramĂšne ses hommes sur une ligne de repli plus solide. Henri reçoit l’ordre de tenir le pont coĂ»te que coĂ»te pendant que le groupe Marc se dĂ©file le long de la ligne du chemin de fer et qu’Antoine et Robert le Gendarme se replient sur la rive gauche du Bandiat pour y prendre une position favorable ». PliĂ©s en deux, rampant dans la poussiĂšre, les hommes quittent le pont. Lorsqu’à mon tour, dit Antoine, je quitte l’abri du parapet je ne me sens pas fier avec ces mouches qui bourdonnent et qui pourraient bien se prendre d’amitiĂ© pour moi. Nous dĂ©gringolons dans la prairie et bondissons Ă  travers le prĂ©, faisant une courte pose derriĂšre un tas de bois. C’est haletants et essoufflĂ©s que nous atteignons le bord de la riviĂšre. Antoine entre dans l’eau Ă  la recherche d’un guĂ© L’eau m’arrive au genou ; je passe le Bandiat. M... ! je suis encore canardĂ©... Je repasse plus loin sur la rive droite. A cent mĂštres derriĂšre, les rafales continuent ; quelques coups de canons aussi mettent leur note profonde sur les crĂ©pitements secs des armes automatiques. Sur l’autre rive, Jacques m’appelle. Il y a au moins deux mĂštres d’eau; je longe toujours le Bandiat dans l’espoir de trouver un endroit favorable. Je traverserais bien, mais mes zĂšbres ne savent pas nager. De l’autre cĂŽtĂ©, Jacques est mauvais » . Une demie‑heure passe; le calme persiste. L’adversaire hĂ©site. TrompĂ© sur leur nombre par la bonne contenance des il n’ose reprendre le contact. Pendant ce temps, Ă  Puycharnaud, les hommes qui s’énervaient dans l’attente ont saluĂ© l’ordre de rejoindre par des cris de joie. Blaireau a presque de la peine Ă  maĂźtriser sa troupe et, quand le convoi s’ébranle, le Grand Puy entonne un La RĂ©publique nous appelle » vite repris en chƓur. Le bruit des mortiers qui tonnent, des mitrailleuses et mĂȘme des qui crĂ©pitent parvient distinctement. La fĂȘte est belle et il y aura du monde ! hurle Dudule. Tous trouvent que le camion ne va pas assez vite, bien que plusieurs virages soient pris sur les chapeaux de roues dans la descente de Javerlhac traversĂ© au chant de la Marseillaise. Tous les habitants tiennent Ă  saluer ces braves petits gars qui vont se faire casser la figure. II y a des gens sur la place, aux fenĂȘtres, sur les portes, tout au long de la route ; et tout ce monde leur crie On compte sur vous ! On y compte si bien que personne ne songe Ă  fuir ; et pourtant le souvenir horrible d’Oradour‑sur‑Glane est encore tout frais dans les mĂ©moires. A la sortie de Javerlhac, un homme du groupe Manu, hallucinĂ© par la vision de ses camarades fusillĂ©s, se replie avec son ayant Ă©puisĂ© ses derniĂšres cartouches. Il semble avoir perdu l’usage de la parole et ne peut rĂ©pondre aux questions des Ceux‑ci le dĂ©chargent de son qu’il est incapable d’utiliser et qui sera un prĂ©cieux appoint Ă  leur armement. ArrivĂ©e du renfort Blaireau en tĂȘte du renfort approche des positions avancĂ©es. La fusillade ralentie pendant un moment, Ă©clate plus vive et plus nourrie ; le canon de 20 par instants couvre de sa grosse voix le bruit des autres armes. Le renfort se divise alors en deux colonnes, une longeant la voie, l’autre le Bandiat. DĂšs que Jacques les aperçoit Vite un F. M. et cinq hommes avec moi. Henri est encerclĂ©; il faut le sortir de lĂ  ! Carte de la bataille de Javerlhac Jean le Cuistot, les deux Delage, Bibendum, le Pompier et Gauvin emboĂźtent le pas Ă  leur chef. Chemin faisant, Jean le Cuistot s’enquiert Sont‑ils nombreux ? ‑ Tu n’entends pas ? Ça ne fait rien, il faut les arrĂȘter quand mĂȘme ! lui rĂ©pond Jacques. Il s’agit de traverser le Bandiat pour se rapprocher d’Henri. Jacques donne l’exemple ; tous le suivent de l’eau jusqu’à la ceinture, ils gagnent l’autre rive oĂč ils prennent position sur une butte tandis que quelques hommes partent en recon­naissance pour voir ce qu’il est advenu d’Henri et de son Pendant ce temps, celui‑ci, restĂ© Ă  son poste, avait continuĂ© Ă  interdire le passage aux boches en faisant mordre la poussiĂšre Ă  pas mal d’entre eux. Cependant, ils avaient rĂ©ussi Ă  con­tourner la position et Henri, se voyant sur le point d’ĂȘtre encerclĂ©, avait dĂ©pĂȘchĂ© un coureur auprĂšs de Jacques pour lui faire connaĂźtre la situation. Le cercle s’étant refermĂ©, le coureur n’avait pu rejoindre Henri et lui annoncer l’arrivĂ©e du secours. ComplĂštement isolĂ©s, ne voulant pas se laisser faire prisonniers avec leur prĂ©cieux Henri et son pourvoyeur tentent un repli Ă  travers bois. Et c’est ainsi que Jacques et sa patrouille virent arriver, essoufflĂ©s, les deux hommes, qui par miracle avaient rĂ©ussi Ă  s’évader de l’étreinte allemande. Jacques, avec ses hommes, profite d’une circonstance favo­rable pour revenir sur les positions prĂ©cĂ©dentes. Avec une trentaine d’hommes, il tient les hauteurs sur la gauche du Bandiat, tandis que le reste de la troupe s’organise sur la rive droite entre la riviĂšre et une sĂ©rie de hauteurs beaucoup moins Ă©levĂ©es et plus difficiles Ă  tenir que celles de l’autre rive. Antoine avec une dizaine d’hommes dont Pierrot Chabasse est Ă  cheval sur la route et la ligne de chemin de fer. Il est appuyĂ© par Marc le TatouĂ© qui avec son Piat guette toujours l’auto­mitrailleuse. Le Bouc installe son sur une hauteur d’oĂč il prend la route en enfilade. Blottis avec quelques hommes du groupe Roy dans les genĂȘts et les buissons, ils attendent l’occa­sion d’ouvrir le feu. Robert le Gendarme et ses hommes sont sur l’autre versant, Ă  l’extrĂ©mitĂ© du dispositif ; quelques hom­mes ont pris position dans un petit bois Ă  flanc de coteau. C’est sur ce point que la fusillade qui s’était ralentie depuis un moment Ă©clate de nouveau, soutenue et nourrie. Nouvelle attaque ennemie Quelques balles recommencent Ă  siffler prĂšs de la route oĂč nous sommes. Une moto arrive de l’arriĂšre c’est Emile qui fait la liaison Alors quoi de neuf, mon petit Antoine ? Rien, ça gaze, on attend... » Il est gonflĂ©, ce bougre d’Emile, de se balader ainsi sur la route. Le Bouc tire par moments. A notre droite Ă©clate encore la fusillade. Nouveau repli de quelque 40 mĂštres en arriĂšre. Le Bouc et son F. M. se retirent les derniers, appuyant la retraite, pendant que le gros de la troupe prend place sur une crĂȘte. Nous tenons cette fois deux ponceaux celui de la route et celui de la voie. A droite Robert le Gendarme et son groupe, planquĂ©s derriĂšre des gerbes et des haies, attendent aussi. A notre gauche quelques coups de feu isolĂ©s. BientĂŽt c’est le silence complet. En face ces messieurs se tĂątent. Bon Dieu, qu’il fait chaud... ! Les maquisards viennent de manƓuvrer en retraite sur une distance d’environ 2 kilomĂštres en combattant quatre heures consĂ©cutives. La situation n’est pas belle pourtant elle n’est pas catastrophique. L’arrivĂ©e d’un renfort pourrait permettre de reprendre l’initiative. La liaison avec Jacques est rompue et les forces maquisardes combattent isolĂ©ment en deux groupes. NĂ©anmoins, des deux cĂŽtĂ©s, sur leurs nouvelles positions les hommes se prĂ©parent. Une volontĂ© farouche les anime malgrĂ© la vaine promesse d’un renfort qui n’arrive jamais. Ils savent que, si les boches rĂ©ussissent Ă  passer, ils assouviront leur furie sur les civils et les villages de la zone libre... Accalmie relative 10 heures Des hauteurs qu’il occupe Jacques observe le champ de bataille. Un silence impressionnant et qui n’annonce rien de bon plane maintenant sur le lieu du violente odeur de poudre atteste la quantitĂ© considĂ©rable de munitions dĂ©pensĂ©es par les boches qui font la guerre en grands seigneurs ». - Certainement qu’ils combinent un sale coup, murmure quelqu’un. - Oui, rĂ©pond Jacques, et je crois que nous ferons bien de ne pas rester lĂ  comme des aveugles Ă  les attendre. Joignant les actes aux paroles, il dĂ©signe deux patrouilles qui avanceront le plus possible pour se rendre compte de ce que les boches prĂ©parent. La premiĂšre s’engage dans l’intĂ©rieur des terres, sur le coteau. Jean le Cuistot et François sont accompagnĂ©s par un civil qui leur servira de guide. Il est d’origine polonaise ; tout de suite il demande une arme ; mĂ©fiant François la lui refuse ; mais il ne tardera pas Ă  s’apercevoir que c’est un type rudement gonflĂ© » quelques jours plus tard, il sera du reste admis dans les ; il s’agit de Potazuck [Le Polak]. La deuxiĂšme patrouille avec DĂ©dĂ© Delage, Baron, Bibendum et Boby a reçu l’ordre de progresser de butte en butte jusqu’à ce qu’elle prenne contact avec l’ennemi. DĂ©dĂ© Delage marche en Ă©claireur jusqu’au petit village de la MĂ©nardie qui domine toute la vallĂ©e du Bandiat. LĂ , Boby et Baron se mettent aussitĂŽt en devoir de construire avec des pierres un emplacement pour leur pendant que Bibendum les couvre sur leur gauche et que DĂ©dĂ© Delage pousse en avant pour repĂ©rer l’adversaire. Profitant des cheminements et du moindre couvert, celui-ci s’éloigne de plus de 800 mĂštres du qui ne peut plus le protĂ©ger ; il se sent terriblement seul » ; mais poursuit nĂ©anmoins sa route et se trouve Ă  la lisiĂšre d’un bois ; devant lui un champ de topines » et de l’autre le pont, sans doute occupĂ© par les boches. Il avance encore, dissimulĂ© par les rangĂ©es de topinambours ; de temps en temps il s’arrĂȘte et Ă©coute... il entend le bruissement du vent Ă  travers les feuilles et surtout... les battements de son cƓur. A un moment donnĂ©, il distingue des voix gutturales allemandes et des commandements français et comme bruit de fond le ronronnement de camions qui s’approchent, au ralenti. DĂ©dĂ© Delage avance encore ; deux rangs de feuillage le sĂ©parent seulement de l’orĂ©e du champ et lui cachent la vue. Il les Ă©carte, une rafale tirĂ©e Ă  moins de 50 mĂštres arrache les feuilles au‑dessus de sa tĂȘte et le plaque au sol. AndrĂ© a eu chaud, mais cette fois il sait » et il se replie prĂ©cautionneusement pour ne pas agiter les sommets des tiges qui dĂ©cĂšleraient sa prĂ©sence ; avec des ruses de Sioux il atteint enfin la MĂ©nardie oĂč ses trois camarades fort inquiets sur son sort sont aussi heureux de le revoir que d’accueillir les renseignements qu’il apporte. Pour parer au danger qui se fait plus pressant, Baron et Boby restent avec leur au poste qu’ils ont amĂ©nagĂ© ; Jean le Cuistot et le grand Robert placent le leur derriĂšre un mur parallĂšle Ă  la route ; Gauvin et François s’installent Ă  cĂŽtĂ© d’eux. Bibendum reste Ă  son poste de surveillance et DĂ©dĂ© Delage assure la protection sur la droite des derriĂšre une muraille clĂŽturant un prĂ© qui descend en direction du Bandiat. Les positions prises, chacun se sent plus rassurĂ©. Maintenant on peut les voir venir... ». Sur l’autre rive, Antoine est accroupi derriĂšre le garde‑fou mĂ©tallique prĂšs du ballast. La ligne est droite sur 200 mĂštres environ ; Ă  gauche la route en contrebas, et quelques hommes dans les fossĂ©s dont Marc, Jackye, Roy, Pierrot Chabasse avec son mousqueton bulgare ; Ă  droite, de l’autre cĂŽtĂ© du remblai, une petite vallĂ©e pour l’instant tout est tranquille. Robert le Gendarme avec le reste de la troupe tient le coteau. La liaison avec ce groupe reste assurĂ©e. TrĂšs loin devant nous, par instant, des groupes d’hommes dĂ©filent amis ou ennemis ? sans jumelle on ne peut prĂ©ciser. Laissons‑les approcher. Le pĂšre Roy, quelques mĂštres derriĂšre moi, est tapi contre les rails, le mousqueton prĂȘt Ă  faire feu. Ils » approchent prudemment, les salauds ; ils n’ont pas l’air trĂšs combatifs. Nous entendons des Ă©clats de voix, des gueulantes » en allemand et français des miliciens puis un bruit de moteur dont le ronflement grandit. Tiens, tiens, qu’est‑ce qu’ils foutent » ceux‑lĂ  sur la voie ? Une dizaine d’hommes en bleu marine approche prudemment le long de la ligne. Je fais signe au pĂšre Roy il a vu aussi. Laissons‑les approcher encore... » Clac ! un coup de mousqueton du pĂšre Roy m’assourdit l’oreille droite. Je vise mon bonhomme soigneusement et pan !... il culbute la tĂȘte la premiĂšre sur le gravier du chemin de ronde; je vise maintenant le groupe qui s’avance un deuxiĂšme tombe et s’agite Ă  terre comme un hanneton. Quelques silhouettes se faufilent Ă  droite du remblai; le pĂšre Roy les oblige Ă  se planquer. Je tire toujours, mais mon tir est imprĂ©cis et je ne peux pas en savoir le rĂ©sultat. Maintenant, la voie est dĂ©serte; de temps en temps une silhouette furtive se glisse derriĂšre une haie et disparaĂźt. A droite la fusillade reprend de plus belle; des rafales partent de l’autre cĂŽtĂ© du remblai, juste Ă  ma hauteur. J’hĂ©site un bon moment avant de lancer une grenade. Ce sont peut‑ĂȘtre des copains, embusquĂ©s dans le creux de la vallĂ©e. Le tir est toujours violent, le crĂ©pitement aigre des mitraillettes domine le concert. Tant pis je me mets debout et vlan... ! la grenade dĂ©crit une longue parabole et disparaĂźt de l’autre cĂŽtĂ© du remblai. Deux secondes se passent et une violente explosion arrĂȘte, d’un coup, la fusillade. Devant, maintenant, personne Ă  l’horizon ; sur la route, Ă  ma gauche, un ronflement indique l’approche de l’auto‑mitrailleuse. Le pont oĂč je suis semble ĂȘtre la cible en vogue. Ils tirent trop haut heureusement les fils tĂ©lĂ©graphiques tombent, tranchĂ©s net, des balles font ricocher les cailloux du ballast, les feuilles des arbres voisins sont lacĂ©rĂ©es et d’en bas, sur la route, la voix de Pierrot Chabasse crie Attention ! voilĂ  l’auto‑mitrailleuse qui avance !... » Son mousqueton bulgare claque sec. Nouvelle tentative de percĂ©e 12 heures Une accalmie relative prĂ©lude Ă  un nouvel assaut. Chaque combattant serre nerveusement son arme en scrutant le sont lĂ , tapis dans les moindres replis du sol. MalgrĂ© leur expression mĂąle, les visages reflĂštent le petit serrement du cƓur et l’angoisse qui Ă©treint chacun. Anxieux, il attendent sur ce petit coin paisible de Dordogne oĂč plane un silence de mort. Le tir de harcĂšlement qui reprend ne tarde pas Ă  dĂ©celer que l’ennemi entend porter son effort sur sa gauche, vers le groupe Antoine‑Robert le Gendarme oĂč le terrain se prĂȘte moins facilement Ă  la dĂ©fense. Ceux qui sont sur la crĂȘte aperçoivent bientĂŽt des miliciens encadrĂ©s d’Allemands circuler en fouillant taillis et bosquets. Un coup de feu avertit ceux de la vallĂ©e que l’ennemi tente sa percĂ©e de leur cĂŽtĂ©. En quelques secondes les armes automatiques et individuelles se remettent Ă  cracher. Les nĂŽtres dĂ©fendent le pont Ă  tout prix l’ennemi veut s’en emparer. On ne se distingue plus dans la fumĂ©e. Les Ă©clatements assourdissent attaquants et attaquĂ©s qui se fusillent Ă  bout portant. AprĂšs cet assaut, un silence angoissant plane Ă  nouveau sur la vallĂ©e. Ceux du coteau, inquiets, ne peuvent rien voir ; craignant que le pont ne soit tombĂ© entre les mains de l’ennemi, Robert le Gendarme poste deux hommes avec un au sommet d’une cĂŽte pour protĂ©ger son repli. Sur le pont seul Ă  prĂ©sent, Ă©crit Antoine, j’essaie de percer le rideau d’arbres qui me cache la route dans une Ă©claircie de feuillage je dĂ©couvre, Ă  une vingtaine de mĂštres, l’engin qui canarde tour Ă  tour la route et la voie. De l’endroit oĂč Ă©tait Pierrot il y a un instant une rafale de mitraillette se fait entendre. InterloquĂ©, j’écoute rien ... Je commence Ă  ne plus ĂȘtre trĂšs fier ‑ Qui est lĂ  ? ... » Personne ne rĂ©pond. Pas trĂšs rassurĂ© je me retire Ă  mon tour quand une volĂ©e de balles balaye l’endroit que je viens de quitter. Dans la ferme, les gens ne sont pas rassurĂ©s du tout, et derriĂšre nous sont les premiĂšres maisons de Javerlhac. Que faire ? ... rĂ©sister encore dans les maisons ? ... C’est exposer les gens aux reprĂ©sailles terribles des boches. D’ailleurs, Jacques a recommandĂ© de ne pas se battre dans les agglomĂ©rations. BĂ©bert est dĂ©jĂ  parti; avec le Bouc nous empruntons un chemin suis tellement crevĂ© », j’ai faim, j’ai soif, j’ai chaud. Mes chaussures mouillĂ©es, envahies par le sable du chemin, m’irritent diablement les pieds. Je suis furieux et vexĂ© de partir ainsi. Le Bouc se traĂźne pĂ©niblement. Il a perdu son pourvoyeur et porte son arme inutile pour l’instant. Le chemin est interminable. Je pense avec amertume Ă  notre infĂ©rioritĂ©. Pour terminer la fĂȘte, un mouchard nous survole maintenant ; il passe bas, peut-ĂȘtre 50 mĂštres ; de rage je lui lĂąche un coup de fusil. A son tour, Robert le Gendarme, ses hommes regroupĂ©s, traverse le barrage de feu ; les autres suivent Ă  intervalles irrĂ©guliers. A peine arrivĂ© au sommet du talus, dominant la voie ferrĂ©e et la route il aperçoit trois hommes Ă  une vingtaine de mĂštres plus bas Eh ! les gars avez‑vous dĂ©crochĂ© ? Les trois hommes ne rĂ©pondent pas. Ce sont des miliciens ! crie Marcou. Ceux de l’autre rive se rendent compte qu’Antoine et Robert le Gendarme sont, avec leurs hommes, en sĂ©rieuse difficultĂ©. Jean le Cuistot dĂ©cĂšle une mitrailleuse qui les harcĂšle sur la voie ferrĂ©e. Tu la vois ? dit‑il Ă  son voisin le grand Robert. ‑ Non. ‑ Eh bien, regarde oĂč je tire. ‑ Fais pas le couillon, tu vas nous faire repĂ©rer ! ‑ Nous ne pouvons tout de mĂȘme pas laisser dĂ©molir les copains comme ça! ... En effet, la crĂȘte de la MĂ©nardie n’a pas encore Ă©tĂ© mitraillĂ©e; tout l’effort des Allemands s’est portĂ© sur leur gauche. Pourtant Jean le Cuistot ponctue sa derniĂšre rĂ©ponse d’un coup de F. M. suivi d’une courte rafale qui rĂ©duit la mitrailleuse au silence. ‑ Tu as vu ? dit‑il Ă  Robert. ‑ Un de moins ! rĂ©pond celui‑ci tout heureux. La bagarre se poursuit toujours aussi intense. Depuis plus d’une demi‑heure les armes crachent et brĂ»lent aux mains. François tire sans arrĂȘt. La MĂ©nardie subit Ă  ce moment le feu violent de deux canons de 20 et de quatre mitrailleuses. Le marronnier lĂąche sur Jean le Cuistot et le grand Robert des branches grosses comme le vĂ©ritable pluie de feuilles assure leur camouflage. Boby voit les pierres de son abri, si soigneusement Ă©difiĂ©, s’en aller une Ă  une sous la mitraille. Le crĂ©pi du mur de la ferme voltige en poussiĂšre. Trop haut ! crie Jean le Cuistot qui, lui, fait mouche ! De minute en minute la MĂ©nardie devient intenable. Ah! si chaque homme avait son Bren ! Pour ne pas ĂȘtre encerclĂ©e la petite troupe doit se replier elle aussi, satisfaite cependant d’avoir stoppĂ© le convoi. Au coup de sifflet le repli, s’effectue en ordre. Cent mĂštres plus loin, c’est la rencontre avec Blaireau. Les voilĂ  seize maintenant ; il n’en faut pas davantage pour leur remettre l’esprit Ă  la blague, d’autant plus que Jacques est en arriĂšre avec un Personne ne sent plus le poids de l’effort qu’il fournit depuis le matin, ni le criaillement de son estomac qui crie famine. Dernier recul 15 heures MalgrĂ© toutes les raisons qu’il cherche Ă  se donner, Jacques enrage de ne pouvoir rien faire pour encercler les ennemis. Avant d’abandonner la partie, il se raccroche Ă  un dernier espoir. Trois volontaires sont expĂ©diĂ©s Ă  La Chapelle-Saint‑Robert chercher du secours. La mission est pĂ©rilleuse ; les risques de tomber sur les boches sont grands. Blaireau, DĂ©dĂ© Delage et le grand Pierrot partent immĂ©diatement par le plus court chemin. Ils rencontrent deux hommes du pays armĂ©s de fusils de chasse qui dĂ©clarent que les boches occupent maintenant La Chapelle‑Saint‑Robert. Prudemment, nos cinq hommes pĂ©nĂštrent dans le bourg. Un habitant leur assure que les boches, non seulement n’occupent pas le village, mais en sont Ă  200 mĂštres. Le maire, un fusil Ă  la main, survient Ă  son tour. Antoine et sa troupe sont dĂ©jĂ  Ă  Javerlhac qui est dĂ©sert ; personne dans les rues. Sur la route principale nous retrouvons quelques camarades qui, isolĂ©s, ne savent oĂč aller. Que sont devenus les copains ? DerriĂšre nous les rafales se succĂšdent, ponctuĂ©es de coups de canons et d’éclatements de mortiers. Devant, un blessĂ© avec une balle dans l’épaule. La soif nous dĂ©vore. Devant une maison une brave femme nous distribue des biscuits et des petits‑beurre. Elle nous offre du vin, un vin clairet appĂ©tissant et fruitĂ©. Mais il faut partir Ah! mes braves petits gars, faites attention! » Javerlhac va‑t‑il ĂȘtre abandonnĂ© ? Je suis complĂštement assommĂ©, Ă©crit Antoine. Il fait une chaleur terrible et pas un souffle de vent. Nous mangeons du pain et du fromage que nous apportent des gens. Dans la vallĂ©e les coups de feu se sont tus, des rafales Ă©loignĂ©es et sans suite rĂ©sonnent encore de temps Ă  autre. Retour offensif 17 heures Une fois de plus, le petit paquet d’hommes se prĂ©pare Ă  se porter Ă  la rencontre de l’ennemi. Des patrouilles sont poussĂ©es Ă  nouveau dans la direction de Javerlhac. Le Chef prend la tĂȘte de l’une d’elles et, suivi de Bidendum, Pivois, et Ministre, avance dans Javerlhac qui pourrait avoir Ă©tĂ© occupĂ©. Ils arrivent rĂ©solument sur la place, le pont lui-mĂȘme est rapidement franchi. Une vieille femme qui est restĂ©e seule, barricadĂ©e dans sa maison, montre son nez et dit que les boches ne se sont pas aventurĂ©s dans ce coin. Sur la place quelques habitants prĂ©tendent mĂȘme que l’ennemi se retire sur AngoulĂȘme et font fĂȘte Ă  leurs dĂ©fenseurs ; c’est Ă  qui leur apportera un petit quelque chose qui puisse les rĂ©conforter. La joie renaĂźt aussi chez les hommes. Avec une vingtaine d’hommes Jacques part en direction du barrage du Grand‑Moulin. Prudemment, les longent les fossĂ©s. Les deux derniĂšres maisons de Javerlhac ont Ă©tĂ© pillĂ©es, preuve que les boches sont venus jusque‑lĂ . Devant eux le silence qui pĂšse sur la campagne leur fait se demander si les Allemands sont bien partis ou s’ils font seulement semblant. L’avance est poursuivie ; partout on suit Ă  la trace l’ennemi en retraite. Compagnie de Ă  Puycharnaud LĂ  des boĂźtes de conserve et du pain attestant que le ravitaillement a Ă©tĂ© meilleur que chez les ; plus loin, des pansements imprĂ©gnĂ©s de sang font dire au capitaine Jacques qu’ici il y en a qui ont dĂ» comprendre leur douleur ». Ailleurs, ce sont des douilles vides et des munitions ; leur amoncellement tĂ©moigne du sĂ©rieux de la lutte ; les hommes s’arrachent tous ces dĂ©bris en guise de souvenirs. L’équipe de la MĂ©nardie retrouve avec une joie doublĂ©e d’une lĂ©gitime fiertĂ© l’emplacement marquĂ© par des dĂ©bris de bois et de verre oĂč elle a stoppĂ© les camions que les Allemands ont pu malheureusement remorquer [L’ouvrage de M. Leproux est excellent. Il sait admirablement reproduire l’atmosphĂšre du combat. Avec lui le lecteur n’en perd aucun Ă©pisode, entend les cris des combattants et sent mĂȘme l’odeur de la poudre. Cependant, Ă  ne se baser que sur les rĂ©cits de ceux qui sont aux premiĂšres loges, on peut commettre certaines erreurs. Ainsi, dans le rĂ©cit du combat de Javerlhac, oĂč les le 24 juillet 1944, ont Ă©tĂ© formidables, il juge sĂ©vĂšrement un certain capitaine dont il ne donne pas le nom. Ce capitaine c’est Dupuy, commandant du 1er Bataillon, qui a donc Jacques sous ses ordres reproche Ă  cet officier de s’ĂȘtre prĂ©sentĂ© sur les lieux du combat dans une tenue impeccable », d’avoir promis Ă  Jacques l’appui de centaines de combattants puis d’ĂȘtre reparti sur Nontron. Quel plus bel Ă©loge de ce chef ?.Dupuy n’a commis aucune faute, bien au contraire. Le matin, apprenant l’attaque, il part immĂ©diatement, prenant la route, il entend le sifflement des balles et voit Jacques. Que doit‑il faire ? Évidemment pas lui faire connaĂźtre ses difficultĂ©s , celles qu’il va avoir Ă  rĂ©unir les renforts annoncĂ©s et surtout Ă  les acheminer. Ils sont Ă©parpillĂ©s sur 30 ou 40 kilomĂštres par petits groupes, presque sans moyens de transport. Le devoir essentiel du chef qu’était Dupuy Ă©tait de faire preuve de calme et de donner confiance Ă  Jacques, son subordonnĂ©, en lui annonçant qu’il allait ĂȘtre soutenu. De tout cela, les combattants qui n’ont comme objectif que leur ligne de mire et le boche qui est au bout, ne peuvent se rendre compte. Et puis, surtout, ce sont des soldats français, donc des grognards rouspĂ©teurs par principe... On les laisse seuls, sans appui face Ă  un ennemi dix fois plus nombreux et mieux armĂ©... l’officier au bel uniforme est un lĂącheur! Ah ! s’il avait pris un fusil lui aussi ! ce serait sans doute un frĂšre; mais tel n’était pas le devoir du chef de Bataillon qui devait revenir Ă  son et donner ses ordres. Reprise du terrain perdu 18 heures Le groupe atteint le pont oĂč a eu lieu la premiĂšre escarmouche ce matin Ă  8 heures. BientĂŽt c’est la vision d’un homme du groupe Manu qui est lĂ  Ă©tendu, un trou Ă©norme dans le crĂąne ; avec prĂ©caution, son horrible blessure est recouverte d’un mouchoir. Enfin, le barrage est atteint. LĂ  deux camions de 5 tonnes ont le moteur complĂštement dĂ©truit; mais la grange qui servait de poste de garde brĂ»le et une Ăącre colonne de fumĂ©e s’élĂšve dans le ciel clair de cette radieuse journĂ©e d’étĂ©. Une minute de silence est observĂ©e devant d’autres corps qui ont trouvĂ© la mort Ă  cet endroit. Au loin, vers Feuillade et Marthon, la fusillade crĂ©pite par instant les boches, de dĂ©pit, arrosent les civils dans la traversĂ©e des villages. Jacques rage de ne pouvoir les poursuivre. Jacques dĂ©cide alors de revenir vers le Grand‑Moulin ; lĂ  aussi les boches se sont comportĂ©s selon leur maniĂšre habituelle. M. Dauvergne, un sympathisant, a Ă©tĂ© battu avec fureur; sa femme a Ă©tĂ© martyrisĂ©e. Pendant ce temps, Robert le Gendarme et ses hommes, sans carte et sans boussole, s’étaient repliĂ©s un peu Ă  l’aveuglette. La fatigue ravage leurs figures Sur leur visage bronzĂ© oĂč la sueur a dĂ©layĂ© la poussiĂšre, de longues traĂźnĂ©es brunes s’allongent ; au coin de leurs lĂšvres la bave sĂ©chĂ©e par le soleil forme des lignĂ©es blanchĂątres et tout cet ensemble leur donne des faces carnavalesques et effarantes. Dans la ferme oĂč ils se reposent, soudain des voix se font entendre. Tous se prĂ©cipitent sur le seuil et voient arriver Max et ses camarades qui, encerclĂ©s dans la ferme, aprĂšs cinq heures de lutte ont rĂ©ussi Ă  se dĂ©gager. On se serre les mains, on s’embrasse, tous veulent parler Ă  la fois pour exprimer leur joie. Victoire Au soleil de juillet, 19 heures Les camions des divers groupes du secteur sont arrivĂ©s amenant des chargements de maquisards. Les F. T. P. ont mis un canon anti‑char en batterie prĂšs de la gare de Varaignes ; une foule occupe maintenant la vallĂ©e. C’est bien le moment d’arriver... Les chants de victoire retentissent de et ses hommes, Ă©puisĂ©s par leur rude journĂ©e, laissent la place Ă  ceux qui savent si bien fĂȘter la victoire et, rompus de fatigue, cherchent un coin pour prendre un peu de repos. Dans le jour qui descend nous nous installons sur les hauteurs voisines. Une note de Rac nous permet de situer l’affaire par rapport Ă  l’ensemble des opĂ©rations. Situation gĂ©nĂ©rale Elle se prĂ©sentait le 24 au matin de la façon suivante Attaque ennemie en direction Javerlhac‑Nontron. Menace d’attaque en direction de Thiviers 3e Bataillon alertĂ©. Menace d’attaque en direction de Dournazac‑ChĂąlus se prĂ©cisant dans la matinĂ©e 2e Bataillon alertĂ© appuyĂ© par rĂ©serves alertĂ©es partiellement. Mesures prises Lorsque la Compagnie Manu fut sur le point d’ĂȘtre dĂ©sorganisĂ©e par la violence du choc ennemi sur Javerlhac, le Commandant du 1er Bataillon fit appel Ă  la unitĂ© qui n’entrait pas dans le systĂšme dĂ©fensif Ă  cause de ses missions spĂ©ciales de sabotage. Le Commandant de secteur, tenu au courant de la situation critique devant Javerlhac, dĂ©cida de prĂ©lever dĂšs le dĂ©but de l’aprĂšs‑midi des renforts sur le 3iĂšme Bataillon oĂč la menace sur Thiviers semblait provisoirement renforts difficiles Ă  regrouper toutes les troupes Ă©taient en effet en place lents Ă  se mettre en route mauvais Ă©tat des vĂ©hicules n’arrivĂšrent Ă  Javerlhac que dans la soirĂ©e du 24 juillet. Maintenant n’oublions pas l’action de Roland Canva, en place en fin de matinĂ©e, de Brachet et de Bersas avec les Ă©lĂ©ments du 1er Bataillon. Le boche, les ayant tĂątĂ©s, dĂ©cida d’abandonner son attaque. Javerlhac 24 juillet 2016 - JournĂ©e de souvenir et inauguration d'une plaque Ă  JommeliĂšres lien 24 juillet 2014 CommĂ©moration du 70e anniversaire de la bataille de Javerlhac lien VidĂ©o de la commĂ©moration en 2013 Lien Photos d'une commĂ©moration rĂ©cente prises par Jacques Hesault Lien StĂšles commĂ©morent la bataille de Javerlhac du 24 juillet 1944 Lien English version - 24 July 1944 In the early hours of the 24th of july 1944 more than four hundred German soldiers and the Milice were en route to Nontron. Their objective is to re-take the town and burn it to the ground, Nontron had been liberated by the maquis since June. The German trucks had been seen taking the road from AngoulĂȘme towards Javerlhac. A road block is set up at dawn at Varaignes 2 miles from Javerlhac by about thirty maquisards from the groupe Manu, part of the 2e Brigade Rac. Just after 7 in the morning the german trucks are just a few miles from Javerlhac and are spotted by Roger Dugas who is placed as a sentry before the road block. He opens fire on the Germans as they drive along the route. He kills several Germans and the Chef de la Milice. In the skirmish that follows Dugas is shot and killed. Manu’ and his men are now faced with holding back four hundred Germans. Henry Delaret and Roger Lapeyronnie are caught by the milice and shot on the spot. Manu’ gives the order for his men to retreat and he stays behind armed with a sack of grenades. Eventually the milice encircle him and after and hour of interrogation and torture he is killed. Even the Germans turn away at the brutal scene. Manu’ – Manuel AcĂ©bĂšs was born in the Basque region of Spain and moved with his family to Bordeaux in 1911 when he was 3 years old. He was a cabinet maker by trade and in 1944 formed the RĂ©sistant group Radio’ and set up camp in the woods of Picpeyrou near Javerlhac in the Dordogne. He was positioned well to warn the maquis at Nontron of any German movements in the area. Manu’, Espagnol par le sang, mais Français par le Coeur, est mort ce matin-lĂ  en hĂ©ro’s d’épopĂ©e. One of his groupe Pierre Fauconnet Flin’ returning from requesting reinforcements falls into the hands of the enemy and is killed. It is now 9h in the morning and fighting is taking place around Le Gd. Moulin. The Germans take over the village of Le Cousset, and totally outnumbered, the maquisards are pushed back. Intent on reaching Nontron by nightfall the Germans push back the maquis to the entrance of Javerlhac. All seemed lost when reinforcements arrived and the situation is turned around. Jacques Nancy, stationed at the Section SpĂ©ciale de Sabotage HQ at the chateau at Puycharneau near to PiĂ©gut 19 kms away had received a message from capitaine Dupuy 1er bataillon AS Dordogne-Nord to get to Javerlhac. He rounds up thirty of his men and six American soldiers one of them is Herbert Brill that are stationed with them, jump in some trucks and drive like madmen to get to Javerlhac. Jean Dick is driving one of the trucks, foot hard on le champignon’ and everyone in the back is singing patriotic songs and laughing and joking to ease the tension as they drive towards a head on battle with four hundred Germans. As they approach Varaignes they are flagged down by a civilian wearing a rosette de la lĂ©gion d’honneur who warns them to go no further as les boches are at Le Grand Moulin. They continue towards the barricades that the Groupe Manu had set up earlier and a railway worker shouts out to them “Stop, stop, you’re going to get killed, there are Germans coming in two armoured vehicles five or six hundred metres away direction Javerlhac”. They jump out, strengthen the barricade and start to attack the Germans as they come closer. Amongst those in the attack are Jacques, Marc, Antoine, Robert le Gendarme and le tatouĂ© with his Piat’ bazooka. The Germans are continually firing on them. Jacques decides to send for all of his men left back at Puycharneau including les cuisiniers and les maladies! Reinforcements arrive. En route they sing La Marseillaise’ and civilians seeing them salute them. The reinforcements include Blaireau, Jean le Cuistot, the two Delages, Bibendum, le pompier and Gauvin. A lot of the men wade across the river Bandiat, water up to their belts and take position on the other side of the bank. The Germans push forward and the maquisards are forced back 2 kms, all is not looking good. The groupe maquis attack from the right and slowly the Germans and Milice begin to get pushed back. When they are back to the two trucks left at the roadblock they set them alight. At this point a civilian originally from Poland who is acting as a guide for Jean le Cuistot and François asks for a weapon so he can help. Not sure what to do François says no. A few days later this chap turns up at their HQ at Puycharneau and joins the his name is Potazuck Le Polak’. Fierce fighting goes on the whole day but by 18h all ground lost is regained and a minutes silence is held for Delerat and Lapeyronnie as their bodies are found near the initial roadblock. At 19h the Germans abandon their attack and as they leave they set fire to a school and some other buildings at Mainzac and shoot at any civilians they see. Fifty six Germans and Milice were killed during the combat, the heaviest loss for them in the PĂ©rigord during the Occupation. Radio Vichy broadcasted that day that a German column had entered Nontron described by them as le capital du maquis. In reality the Germans had lost the combat , burnt and pillaged houses along the route of Varaignes and Javerlhac and thanks to Jacques Nancy, the the Groupe Manu and other members of the brigade Rac, the Germans could not get through to Nontron. Five RĂ©sistants lost their lives that day – Roger Dugas, aged only 20 Roger Lapeyronnie also aged 20 Each year on the 24th of July a commemoration is organised by l’Amicale des anciens rĂ©fractaires et CVR Javerlhac-Marthon and held at the different locations along the Route DĂ©partmentale 75 where the rĂ©sistants fell and are marked by monuments stĂšles. Also visited is the stĂšle of Roger Laville, agent de transmissions de la 2e compagnie de la brigade Rac, who died in a motorcycle accident near to Souffrignac on the 6th july 1944 and the plaque in honour to Henry Marchadier of la Section Special de Sabotage who died the following day. Each year nearly two hundred people attend the ceremony which usually starts at and ends up at the Monument aux Morts by mid-day. DVD et tapis de souris du film "Les Saboteurs de l'Ombre et de la LumiĂšre" lien
ElevageDe la dent dure, chiens de race Petit Ă©pagneul de munster , drahthaar, chiens, chien, chiots, chiot,sangliers,chasse,recherche au sang , localisation gĂŻÂżÂœographique: Chiens-de-france.com. De la dent dure LES CHIOTS. Chiots disponibles Futures portĂ©es Chiots nĂ©s chez nous. LES CHIENS. MĂąles Femelles Etalons Productions RetraitĂ©s. LES RUBRIQUES.
.Rien ne dure au-dessus de la ceinture ... Non pas sur la bouche, mĂȘme sous la douche, mĂȘme si c'est dur. Je te mordrai c'est promis. Tous les coups sont permis ... Rien ne dure au-dessus de la ceinture .... '_ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ "'_ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ "'_ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ "'_ " ___________________________________________ _ "'_ " ___________________________________________ _ "'_ " __De l'autre cĂŽtĂ© de l'enfer, elle se souvient__ _ "'_ " _'_d'avoir dit oui, Ă  la passion, Ă  la lumiĂšre,__ _ "'_ " t_Ă  l'amour fou, Ă  l'infini... Et prier cet hom-__ _ "'_ " i__me sur la croix, c'est encore se donner Ă _i_ _ "'_ " tilui, et quand lui viennent ces idĂ©es lĂ , c'est+ _ "'_ " _t_Ă  peine si elle en rougit. La religieuse a __i _ "'_ " icomme moi, des nuits d'amour en _ "'_ " _'La religieuse a quelques fois, des sanglots_' _ "'_ " _'longs de jalousie. MĂȘme Ă  genoux, mĂȘme'+ _ "'_ " _t_en priĂšre, elle a des frissons de dĂ©sir ..._i+ _ "'_ " ___________________________________________ _ "'_ " ___JĂ©sus, Marie et notre PĂšre ... C'est peu_i__ _ "'_ " __vous dire qu'elle vous oublie ... Elle revoit__ _ "'_ " __t__des chambres d'hĂŽtel, Ă  des lĂšvres _____ _ "'_ " ______i+___assoiffĂ©es d'envie ... ____________ _ "'_ " ___________________________________________ _ "'_ " __i_Tellement de sorciers l'ensorcellent ..._i_i_ _ "'_ " _i____Que le diable y prend du plaisir ...__i___ _ "'_ " ___________________________________________ _ "'_ " ___________________________________________ _ "'_ " ___Comme une alarme qui sonne ...___'+____ _ "'_ " __Gare Ă  la folie des hommes ..._______+____ _ "'_ " _Les princes ne charment plus personne ..._'+ _ "'_ " ___________________________________________ _ "'_ " ___________________________________________ _ "'_ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ "'_ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ "'_ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ " _ " ' . ' _ " Posted on Thursday, 15 March 2007 at 1113 PMEdited on Monday, 03 November 2008 at 936 PM Parolesde LA CEINTURE par Élodie FrĂ©gĂ©: Rien ne dure Au dessus de la ceinture Cliquez ici maintenant pour le savoir pourquoi autres comme cette chanson! Home; Chansons. Chansons Contre le mensonge envahissant dont l’ennemi est le pĂšre, lui qui est meurtrier depuis le commencement Jean 8 44 LSG, les chrĂ©tiens conduits par le Saint-Esprit, sont appelĂ©s Ă  bĂątir leur vie sur la vĂ©ritĂ© immuable de la Parole de Dieu. Cette Parole ne cesse de nous sanctifier Jean 17 17 LSG, et ne dĂ©pend ni de nos cinq sens, ni de nos sentiments, ni encore moins de la rĂ©alitĂ© qui nous entoure, car elle vient de l’Eternel, le CrĂ©ateur de toutes choses. Cependant, dans Sa sagesse inouĂŻe, le Seigneur, au travers de l’apĂŽtre Paul, nous demande de revĂȘtir cette vĂ©ritĂ© dans un endroit prĂ©cis A nos reins, autour de notre ceinture. En effet, dans EphĂ©siens 6 14 b LSG la Bible dĂ©clare ayez Ă  vos reins la vĂ©ritĂ© pour ceinture. » Le mot Ceinture » vient du grec » Perizonnumi , qui signifie se ceindre, ou encore mettre autour du corps, envelopper, entourer, serrer, attacher. Cela signifie aussi se prĂ©parer au combat. MĂ©taphoriquement, cela consiste Ă  s’entourer, s’envelopper, serrer et attacher sur soi, la connaissance de la vĂ©ritĂ© que constitue la Parole de Dieu, pour nous permettre, et le Seigneur insiste lĂ -dessus, de faire face Ă  tout type de combat dans notre marche avec Lui. En effet, ce mot revient deux fois dans la mĂȘme phrase pour exprimer l’emphase du Seigneur Tenez donc ferme ayez perizonnumi Ă  vos reins la vĂ©ritĂ© pour ceinture perizonnumi; revĂȘtez la cuirasse de la justice ». Et nous savons aussi que la Parole de Dieu est la vĂ©ritĂ© Psaume 119 160 LSG Jean 17 17 LSG. La vĂ©ritĂ© elle, vient du grec aletheia » qui signifie La vĂ©ritĂ© appuyĂ©e sur Dieu et l’exĂ©cution de Ses desseins Ă  travers Christ, dictant les devoirs de l’homme, rejetant les superstitions des paĂŻens, les inventions des Juifs, et les opinions corrompues des faux enseignants. Mais concrĂštement, qu’est-ce que cela reprĂ©sente que d’avoir Ă  nos reins la vĂ©ritĂ© pour ceinture ? 1. Comme une ceinture chez le soldat, la vĂ©ritĂ© doit rĂ©gir notre marche avec Christ. La bonne marche du soldat dĂ©pend de la maniĂšre dont il a ceint sa ceinture, autour de sa taille. Sinon, il perdrait beaucoup de temps Ă  ranger constamment ses armes, ses vĂȘtements, etc. Nous les chrĂ©tiens, devrions aussi nous assurer que la vĂ©ritĂ© de la Parole de Dieu soit bien ancrĂ©e en nous, pas juste de maniĂšre intellectuelle, mais vĂ©ritablement insĂ©rĂ©e au plus profond de nous, au point de nous emmener Ă  Lui donner la premiĂšre place avant les faits scientifiques, avant la connaissance des hommes, avant la sagesse des hommes, et bien Ă©videmment avant la sagesse charnelle et diabolique. La vĂ©ritĂ© de Dieu doit donc primer, au-delĂ  des choses que nous pouvons voir avec nos cinq 5 sens. Au point que si nous voyons ou percevons quelque chose avec nos cinq 5 sens, mais qui ne soit conforme avec ce que Dieu dit, ou encore si une personne nous fait part de quelque chose contraire avec ce que dit la Parole de Dieu, on doit la considĂ©rer comme un mensonge. En effet dans Romains 3 4a LSG la Bible dĂ©clare Que Dieu, au contraire, soit reconnu pour vrai, et tout homme pour menteur ». Nous devons donc nous remplir de cette vĂ©ritĂ©, afin qu’elle dĂ©borde toujours de notre bouche, surtout pendant nos rapports avec les les autres. Dans ÉphĂ©siens 4 25 LSG la Bible dĂ©clare C’est pourquoi, renoncez au mensonge, et que chacun de vous parle selon la vĂ©ritĂ© Ă  son prochain; car nous sommes membres les uns des autres ». Chacun de nous doit atteindre et marcher dans la dimension oĂč l’on ne fait dĂ©sormais rien sans la Parole de Dieu. Ainsi, on lit dans 2 Thessaloniciens 2 13 LSG C’est pourquoi nous rendons continuellement grĂąces Ă  Dieu de ce qu’en recevant la Parole de Dieu, que nous vous avons fait entendre, vous l’avez reçue, non comme la parole des hommes, mais, ainsi qu’elle l’est vĂ©ritablement, comme la Parole de Dieu, qui agit en vous qui croyez ». C’est ainsi que nous pourrions expĂ©rimenter la rĂ©ussite et le succĂšs en toutes choses. Dans JosuĂ© 1 8 LSG le Seigneur Que ce livre de la loi ne s’éloigne point de ta bouche; mĂ©dite-le jour et nuit, pour agir fidĂšlement selon tout ce qui y est Ă©crit; car c’est alors que tu auras du succĂšs dans tes entreprises, c’est alors que tu rĂ©ussiras. » 2. Comme une ceinture, la vĂ©ritĂ© doit devenir la piĂšce centrale de toute chose. Dans l’armĂ©e romaine qui est la source de rĂ©fĂ©rence que l’apĂŽtre Paul utilise en parlant des armes de Dieu, les militaires portaient la ceinture autour de la taille, et ils y accrochaient leur Ă©pĂ©e, leur couteau, leur gourde, leur portion de nourriture, leurs effets personnels, etc. C’est la ceinture qui Ă©tait la piĂšce centrale de l’armure, puisqu’elle entourait tout le corps, et offrait beaucoup de places pour accrocher beaucoup de choses. Paul nous exhorte donc Ă  faire aussi de la vĂ©ritĂ© de la Parole de Dieu, la piĂšce centrale de notre marche avec Christ. Toutes les armures que le soldat transporte, tirent leur source de cette ceinture et c’est aussi le cas pour toutes les armes de Dieu. Avoir cette conscience bien ancrĂ©e en nous, nous permettra d’y recourir Ă  tout moment, comme le font les soldats. Dans Psaume 119 101-105 LSG la Bible dĂ©clare Je retiens mon pied loin de tout mauvais chemin, afin de garder Ta Parole. Je ne m’écarte pas de Tes lois, car, c’est Toi qui m’enseignes. Que Tes paroles sont douces Ă  mon palais, plus que le miel Ă  ma bouche ! Par Tes ordonnances je deviens intelligent, aussi je hais toute voie de mensonge. Ta Parole est une lampe Ă  mes pieds, et une lumiĂšre sur mon sentier. » 3. Comme une ceinture, la Parole de Dieu est ce qui nous donne la force au combat. La ceinture est la piĂšce centrale qui maintient toutes les armes en place, mais elle est aussi ce qui nous donne la force et la vigueur pour le combat. Et quand nous sommes forts dans la Parole de Dieu, tout comme le jeune David, il n’y a aucun gĂ©ant qui pourrait nous effrayer. Celui qui porte cette ceinture de vĂ©ritĂ© a donc les reins ceints », et il sera donc toujours prĂȘt pour tous types de combat Luc 12 35 LSG, car il saura que sa force rĂ©side en l’Eternel des armĂ©es, qui a dit dans JĂ©rĂ©mie 1 19 LSG Ils te feront la guerre, mais ils ne te vaincront pas; car Je suis avec toi pour te dĂ©livrer, dit l’Eternel. » C’est aussi dans la Parole de Dieu que David en son temps, puisa la force nĂ©cessaire pour vaincre Goliath. En effet, dans 1 Samuel 17 45-47 LSG David dit au Philistin Tu marches contre moi avec l’épĂ©e, la lance et le javelot; et moi, je marche contre toi au nom de l’Eternel des armĂ©es, du Dieu de l’armĂ©e d’IsraĂ«l, que tu as insultĂ©e. Aujourd’hui l’Eternel te livrera entre mes mains, je t’abattrai et je te couperai la tĂȘte; aujourd’hui, je donnerai les cadavres du camp des Philistins aux oiseaux du ciel et aux animaux de la terre. Et toute la terre saura qu’IsraĂ«l a un Dieu. Et toute cette multitude saura que ce n’est ni par l’épĂ©e ni par la lance que l’Eternel sauve. Car la victoire appartient Ă  l’Eternel. Et Il vous livre entre nos mains ». Dans Psaume 119 28 LSG la Bible nous fortifie en ces termes mon Ăąme pleure de chagrin RelĂšve-moi selon ta parole ! ». Lire aussi Actes 20 32 et Zacharie 4 6-7. 4. Comme une ceinture, nous devons protĂ©ger chaque semence de la vĂ©ritĂ©. C’est dans leurs ceintures que les militaires mettaient jadis leurs soldes, leurs provisions ainsi que leurs armes. Aujourd’hui encore, beaucoup de soldats recourent Ă  leurs ceintures pour accrocher plusieurs choses, surtout leurs armes de poing. Ils ne laisseraient donc personne leur prendre leur ceinture, car en zone de guerre, leurs vies en dĂ©pendent. Nous aussi devrions protĂ©ger et veiller sur chaque Parole de Dieu que nous recevons, comme si notre vie en dĂ©pendait, de peur que l’ennemi ne vienne nous la voler, et qu’on finisse par ne jamais porter de fruits pour la gloire de Dieu. En effet dans Marc 4 4 LSG la Bible dĂ©clare Comme il semait, une partie de la semence tomba le long du chemin les oiseaux vinrent, et la mangĂšrent ». Et le Seigneur dira dans Marc 4 13-15 LSG Il leur dit encore Vous ne comprenez pas cette parabole ? Comment donc comprendrez-vous toutes les paraboles ? Le semeur sĂšme la parole. Les uns sont le long du chemin, oĂč la parole est semĂ©e; quand ils l’ont entendue, aussitĂŽt Satan vient et enlĂšve la parole qui a Ă©tĂ© semĂ©e en eux ». Le Roi David a pu dire dans Psaume 119 11 LSG Je serre Ta parole dans mon cƓur, Afin de ne pas pĂ©cher contre Toi ». VoilĂ  qui nous permettra de ne pas chanceler Psaume 37 31 LSG. 5. Comme la ceinture, la Parole de Dieu doit constamment nous sanctifier. Le soldat se rĂ©jouit de retrouver et de porter sa ceinture, remplie de toutes ses armes et de ses multiples trĂ©sors de dĂ©fense ou d’attaque. Car sans elle, il sent diminuĂ© et faible. Sa ceinture lui redonne en fait une confiance inouĂŻe dans ses capacitĂ©s, au point de le mettre bien Ă  part, dans la liste des combattants qui remplissent toutes les conditions. Nous aussi devrions constamment porter la ceinture de la vĂ©ritĂ© autour de nous, afin qu’elle ne cesse de nous sanctifier, de nous purifier, de nous emmener Ă  vivre une vie qui glorifie Dieu, en tout temps. En effet, dans Jean 17 17 LSG la Bible dĂ©clare Sanctifie-les par Ta vĂ©ritĂ© Ta parole est la vĂ©ritĂ© ». Et Ă  force de nous sanctifier, la vĂ©ritĂ© de la Parole de Dieu que nous aurions revĂȘtue comme ceinture, ne cessera de nous transformer en la mĂȘme image que Christ, en plus de nous faire porter beaucoup de fruits. Dans Jean 18 37 LSG la Bible dĂ©clare Quiconque est de la vĂ©ritĂ© Ă©coute ma voix ». En rĂ©alitĂ©, cette vĂ©ritĂ© dont chaque enfant de Dieu doit se ceindre, c’est le Seigneur JĂ©sus-Christ mĂȘme, Lui qui est le chemin, la vĂ©ritĂ© et la vie Ă©ternelle Jean 14 6 ; 2 TimothĂ©e 4 3 ; 1 Pierre 2 1. C’est Lui qui rĂ©git notre marche, qui est la pierre angulaire de notre Ă©difice, qui nous donne la force, lui que nous devrions aimer plus que tout, car Il est celui qui nous sanctifie. Il doit devenir notre prioritĂ©, car en Lui, nous avons tout pleinement, car Il est le chef de toute domination et autoritĂ© Colossiens LSG. Avoir Christ autour de nos reins, nous octroie l’assurance et la capacitĂ© de combattre dans la victoire et non plus, pour la victoire. Aussi, l’ApĂŽtre Jean a dit dans 3 Jean 1 4 LSG Je n’ai pas de plus grande joie que d’apprendre que mes enfants marchent dans la vĂ©ritĂ© ». Comme l’ApĂŽtre Jean, je dis Ă  chacun de mes frĂšres et sƓurs dans le Seigneur À cause de la vĂ©ritĂ© qui demeure en nous, et qui sera avec nous pour l’éternitĂ© que la grĂące, la misĂ©ricorde et la paix soient avec vous de la part de Dieu le PĂšre et de la part de JĂ©sus-Christ, le Fils du PĂšre, dans la vĂ©ritĂ© et la charitĂ© ! ». 3fJPUFN.